Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Parisien
par Michel Valentin
Après un "Carbone" inspiré de l'actualité, Olivier Marchal revient à ses fondamentaux dans "Bronx" : des personnages cabossés, des dilemmes moraux, les ravages de la corruption, les liens du sang… une vraie tragédie grecque saupoudrée de plusieurs scènes d'action décapantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaro
par Nathalie Simon
Lannick Gautry incarne avec brio un flic de l’antigang.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
La nouvelle réalisation [d'Olivier Marchal] est efficace et mise sur un casting surprenant, avec Lannick Gautry et Kaaris en super flics sur la tangente.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Très classique dans son intrigue et ses dialogues, mais exécuté sans temps mort grâce à une mise en scène immersive et un casting viril.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Olivier Marchal pousse la noirceur jusqu'à la tragédie, quitte à friser la grandiloquence. Il n'empêche, le récit de ces vies violentes, des policiers comme des voyous, se révèle haletant.
Télérama
par Frédéric Strauss
Entre propos d’actualité et cinéma de genre, le film trouve son équilibre. Il bénéficie, surtout, d’une distribution parfaite qui, outre les comédiens déjà cités (comme Moussa Maaskri, qui mérite d’être salué une seconde fois), réunit à la fois Stanislas Merhar, le rappeur Kaaris et l’ex-cascadeur David Belle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Bertrand Parent
La testostérone omniprésente, les fusillades à tout va, les scènes sursaturées de clichés ne nous font pas oublier qu’il y a un scénario très faible et souvent peu crédible. La violence essaie de masquer tout ça pour tenter de nous maintenir dans notre canapé sans toucher à la télécommande.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
Comme une cuite au pastis, "Bronx" fait mal par où il passe, mais a la décence de ne pas laisser le moindre souvenir à sa victime.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Philippe Ridet
Moins intéressé par son scénario que par ses personnages, le réalisateur accumule les clichés du polar tragique gonflé de testostérone.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Ce polar, sombre et violent, bénéficie d'un casting original, mais se perd dans une intrigue compliquée où ça flingue à tout-va.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Olivier Marchal est-il sévèrement menacé par le radotage ? On le redoute en découvrant ce « Bronx » saturé de clichés, où les acteurs cabotinent à tout-va.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Sourd à toute remise en question, à commencer par celle d'une époque où les usages de la violence, quelle qu'elle soit, sont questionnés, Marchal rejoue depuis ses débuts la même tragédie complaisante et sans nuance de l'héroïsme rance des forces de l'ordre, dépeinte ici encore telle une bande de bad boys osant tout mais dont la morale cède face à la noirceur du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Cheze
Car là où des Depardieu et Auteuil transcendaient leurs rôles et emmenaient le récit ailleurs, cette bande mal accordée a tendance à le plomber. La mécanique Marchal s’est enrayée. Une fin de cycle définitive ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Après un "Carbone" inspiré de l'actualité, Olivier Marchal revient à ses fondamentaux dans "Bronx" : des personnages cabossés, des dilemmes moraux, les ravages de la corruption, les liens du sang… une vraie tragédie grecque saupoudrée de plusieurs scènes d'action décapantes.
Le Figaro
Lannick Gautry incarne avec brio un flic de l’antigang.
Télé Loisirs
La nouvelle réalisation [d'Olivier Marchal] est efficace et mise sur un casting surprenant, avec Lannick Gautry et Kaaris en super flics sur la tangente.
Le Journal du Dimanche
Très classique dans son intrigue et ses dialogues, mais exécuté sans temps mort grâce à une mise en scène immersive et un casting viril.
Télé 7 Jours
Olivier Marchal pousse la noirceur jusqu'à la tragédie, quitte à friser la grandiloquence. Il n'empêche, le récit de ces vies violentes, des policiers comme des voyous, se révèle haletant.
Télérama
Entre propos d’actualité et cinéma de genre, le film trouve son équilibre. Il bénéficie, surtout, d’une distribution parfaite qui, outre les comédiens déjà cités (comme Moussa Maaskri, qui mérite d’être salué une seconde fois), réunit à la fois Stanislas Merhar, le rappeur Kaaris et l’ex-cascadeur David Belle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La testostérone omniprésente, les fusillades à tout va, les scènes sursaturées de clichés ne nous font pas oublier qu’il y a un scénario très faible et souvent peu crédible. La violence essaie de masquer tout ça pour tenter de nous maintenir dans notre canapé sans toucher à la télécommande.
Ecran Large
Comme une cuite au pastis, "Bronx" fait mal par où il passe, mais a la décence de ne pas laisser le moindre souvenir à sa victime.
Le Monde
Moins intéressé par son scénario que par ses personnages, le réalisateur accumule les clichés du polar tragique gonflé de testostérone.
Le Point
Ce polar, sombre et violent, bénéficie d'un casting original, mais se perd dans une intrigue compliquée où ça flingue à tout-va.
Les Echos
Olivier Marchal est-il sévèrement menacé par le radotage ? On le redoute en découvrant ce « Bronx » saturé de clichés, où les acteurs cabotinent à tout-va.
Les Inrockuptibles
Sourd à toute remise en question, à commencer par celle d'une époque où les usages de la violence, quelle qu'elle soit, sont questionnés, Marchal rejoue depuis ses débuts la même tragédie complaisante et sans nuance de l'héroïsme rance des forces de l'ordre, dépeinte ici encore telle une bande de bad boys osant tout mais dont la morale cède face à la noirceur du monde.
Première
Car là où des Depardieu et Auteuil transcendaient leurs rôles et emmenaient le récit ailleurs, cette bande mal accordée a tendance à le plomber. La mécanique Marchal s’est enrayée. Une fin de cycle définitive ?