Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Si certaines scènes n’aboutissent pas (pourquoi montrer le vieux père, culotte basse, dans les toilettes ?), en revanche, la progression de l’emprise de l’enseignante sur son élève est diabolique. C’est à la fois terrifiant et poignant, émotions que Nina Hoss magnifie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
La fin du film saigne de cette recherche performative vaine, qui n'aura conduit qu'au cauchemar. Audition ratée pour son personnage, mais pas pour sa réalisatrice.
Le Point
par Brigitte Hernandez
Nina Hoss excelle (...).
Le Figaro
par La Rédaction
Belle interprétation de Nina Hoss, secrète et nuancée, comme de Simon Abkarian, dans un film malgré tout assez morne, barricadé dans ses complications psychologiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Ce portrait de femme est à l’image de son héroïne : intense et mystérieux, presque opaque. Il confirme surtout le magnétisme de son interprète, Nina Hoss.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Le classicisme formel est rattrapé par la magistrale interprétation de Nina Hoss.
Positif
par Eithne O'Neill
Si Hoss puise dans ses dons d'actrice considérables, son personnage reste insondable.
Première
par Thierry Chèze
L'Audition raconte cette bombe à retardement émotionnelle tout en développant, derrière son classicisme formel, une tension de plus en plus étouffante.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film aigu.
Voici
par La Rédaction
Ça ressemble à du Whiplash. Et quand la version féminine de l'obsession glisse vers la perte de repères et le drame intime, on a une pensée émue pour l'insupportable et attachante Cate Blanchett.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Le réalisme classique peut ennuyer, surtout si on n’est pas sensible à Bach.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Un film noir, tendu comme une corde de violon prête à rompre.
Le Parisien
par Catherine Balle
Si le personnage d'Anna est porté par une actrice impeccable, son portrait reste toujours impressionniste : à travers un enchaînement de séquences très courtes, le film donne des pistes pour expliquer d'où viennent les tensions et les angoisses d'Anna, mais laisse beaucoup de points d'interrogation… Comme des notes suspendues en l'air.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Guillaume Tion
Narrant les relations entre une prof de violon et son poulain, Ina Weisse n’évite pas les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
La formidable Nina Hoss interprète ce beau personnage de femme à qui chacun réclame amour et attention, l’élève comme le mari et le fils, apprenti violoniste aussi. Mais cette partition sensible ne gagne pas à être poussée vers le thriller psychologique pour faire surgir, trop brusquement, des notes aiguës, cruelles, qui passent mal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
L'excellence du jeu de Nina Hoss ne peut malheureusement pas grand-chose contre la rigidité stylistique, la pauvreté psychologique et la pâleur de ce cinéma allemand-là. Il manque à ce drame familial, second film de la réalisatrice Ina Weisse, une singularité de point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
Si certaines scènes n’aboutissent pas (pourquoi montrer le vieux père, culotte basse, dans les toilettes ?), en revanche, la progression de l’emprise de l’enseignante sur son élève est diabolique. C’est à la fois terrifiant et poignant, émotions que Nina Hoss magnifie.
La Septième Obsession
La fin du film saigne de cette recherche performative vaine, qui n'aura conduit qu'au cauchemar. Audition ratée pour son personnage, mais pas pour sa réalisatrice.
Le Point
Nina Hoss excelle (...).
Le Figaro
Belle interprétation de Nina Hoss, secrète et nuancée, comme de Simon Abkarian, dans un film malgré tout assez morne, barricadé dans ses complications psychologiques.
Les Fiches du Cinéma
Ce portrait de femme est à l’image de son héroïne : intense et mystérieux, presque opaque. Il confirme surtout le magnétisme de son interprète, Nina Hoss.
Ouest France
Le classicisme formel est rattrapé par la magistrale interprétation de Nina Hoss.
Positif
Si Hoss puise dans ses dons d'actrice considérables, son personnage reste insondable.
Première
L'Audition raconte cette bombe à retardement émotionnelle tout en développant, derrière son classicisme formel, une tension de plus en plus étouffante.
Sud Ouest
Un beau film aigu.
Voici
Ça ressemble à du Whiplash. Et quand la version féminine de l'obsession glisse vers la perte de repères et le drame intime, on a une pensée émue pour l'insupportable et attachante Cate Blanchett.
Le Journal du Dimanche
Le réalisme classique peut ennuyer, surtout si on n’est pas sensible à Bach.
Le Monde
Un film noir, tendu comme une corde de violon prête à rompre.
Le Parisien
Si le personnage d'Anna est porté par une actrice impeccable, son portrait reste toujours impressionniste : à travers un enchaînement de séquences très courtes, le film donne des pistes pour expliquer d'où viennent les tensions et les angoisses d'Anna, mais laisse beaucoup de points d'interrogation… Comme des notes suspendues en l'air.
Libération
Narrant les relations entre une prof de violon et son poulain, Ina Weisse n’évite pas les clichés.
Télérama
La formidable Nina Hoss interprète ce beau personnage de femme à qui chacun réclame amour et attention, l’élève comme le mari et le fils, apprenti violoniste aussi. Mais cette partition sensible ne gagne pas à être poussée vers le thriller psychologique pour faire surgir, trop brusquement, des notes aiguës, cruelles, qui passent mal.
Les Inrockuptibles
L'excellence du jeu de Nina Hoss ne peut malheureusement pas grand-chose contre la rigidité stylistique, la pauvreté psychologique et la pâleur de ce cinéma allemand-là. Il manque à ce drame familial, second film de la réalisatrice Ina Weisse, une singularité de point de vue.