Mon compte
    Last Night in Soho
    Note moyenne
    3,7
    4986 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Last Night in Soho ?

    267 critiques spectateurs

    5
    29 critiques
    4
    102 critiques
    3
    78 critiques
    2
    31 critiques
    1
    15 critiques
    0
    12 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    frdric m.
    frdric m.

    22 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 novembre 2021
    ça part bien mais après ça part en vrille et c'est du grand n'importe quoi. le sujet était pourtant porteur, il s'est effondré sous le.poids de l'incapacité de l'auteur à le faire exister.
    lmc-3
    lmc-3

    272 abonnés 463 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 octobre 2021
    Synopsis bancale accompagné d’une bande annonce énigmatique, le produit finale est une pure réussite.
    Expériences visuelles et auditives sont de mises, entre la qualité des décors, des costumes, des musiques d’époque, de montages singuliers et autres effets spéciaux, au-delà d’un scénario peu banal, d’un duo Thomasin McKenzie/Anya Taylor-Joy du tonnerre, du rythme général effréné, de la construction très propre, du suspens en surcouche, des rebondissements, (encore plus si bande annonce (comme dans mon cas) non vue avant le film (mais seulement après), crédibilité dans les comportements humains face à telle situation, de personnages détestables détestables, de personnages attachants attachants, une atmosphère qui fonctionne parfaitement, tout ce tat de travaux effectués par toutes ces équipes, à l’alchimie parfaite: le film mérite largement sa réception positive générale. On est face à un thriller horrifique sortant des moules préconçus, face à quelque chose de neuf, d’intéressant, et d’accrocheur.
    Très soigné, des idées neuves écrasant un postulat de base pourtant déjà vu, un film dont-il ne faut pas passer à côté, particulièrement sur grand écran. Maintenant, les voix françaises de ces deux femmes… sont ce qu’elles sont. Riche, bon mélange entre horreur psychologique et horreur visuel, mais peut-être hélas une révélation finale trop facilement soupçonnable dès le début, bien que bien présentée concernant spoiler: l’identité de Sandie
    , bien qu’avec un élément clef inattendu.
    Certains s’arrêteront aux éléments appartenant au domaine du ‘déjà exploité’, pour ma part je suis séduit, et le reverrai avec grand plaisir.

    Hautement recommandé.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 octobre 2021
    Si *Last Night in Soho* est le premier film d'Edgar Wright que je vois (son cinéma m'apparaissant complètement inintéressant), il ne s'affirme pas non-plus comme celui qui pourrait me donner envie de découvrir l'œuvre du cinéaste britannique. Comme un sous-*Mulholland Drive*, *Last Night in Soho* n'agace pas tant par son vide il faut le dire : il ne raconte surtout rien de bien fascinant. Le jeu de miroir d'Edgar Wright entre le présent et les sixties marque bien trop sa frontière : il sur-explique tout et surexpose tout (l'utilisation de flash-backs étant comme le graal de l'énervement). L'abondance même d'apparitions engendre une destruction totale du potentiel volume du film. *Last Night in Soho* finit par perdre tout son mystère, toute son horreur, et inévitablement tout son potentiel charme. Son fameux récit de l'incursion du cauchemar dans le rêve et la nostalgie chavire ainsi à l'eau.

    Il est certain qu'Edgar Wright sait jouer de sa caméra, faisant parfois penser à un De Palma par exemple. Mais le problème, c'est qu'il semble ne savoir faire que ça.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    532 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2021
    Le film s'est arrêté. Les pieds franchissent la porte de sortie. Lentement, on fait son retour sur terre. Seulement l'esprit est encore accroché à Last Night in Soho. Ce n'est pas nouveau d'avoir du mal à lâcher un Edgar Wright. Le réalisateur s'est toujours assuré d'offrir moults expériences revigorantes à son public. Scott Pilgrim abolissait les frontières stylistiques entre cinéma, bande dessinée et musique pour délivrer une lettre d'amour à la culture geek. Baby Driver visait la fusion parfaite entre les images et la bande-sonore pour vous coller au fond de votre fauteuil pendant 120 minutes. Par bien des aspects, ce nouvel opus est une suite logique. Mais aussi une cassure.

    La musique joue un rôle fondamental chez Wright. Plus qu'un outil, c'est elle qui donne le tempo sur laquelle se plaque l'intrigue. Pas pour rien que l'univers de Scott Pilgrim basculait lors d'un concert. Quant à Baby, c'est bien simple, il n'était plus le Driver d'exception ni rien du tout sans sa playlist sur les oreilles. Dans Last Night in Soho, Ellie (l'héroïne) se sent plus en phase avec les standards des années 60 que ceux de son temps. Comme bon nombre d'entre nous, en somme. Les mélodies sont des points de départs auxquels se greffent des récits légendaires puis l'imaginaire prend le relais. À partir de là, deux passés cohabitent : le réel et l'idéalisé. Comme la plupart des personnages de Wright, Ellie est une outsider hantée par le manque, une marginale dont la santé mentale ne tient qu'à quelques notes. Aussi quand elle se retrouve projetée dans les sixties qu'elle chérit, on est en droit de se poser des questions. La suite ne va pas nous donner tort.

    Plus encore que par le passé, le metteur en scène joue sur les perceptions qu'il va amener à faire évoluer. La première heure est un déferlement de séquences proprement renversantes, d'une vélocité remarquable alliée à une précision d'orfèvre. Comme Ellie (excellente
    Thomasin McKenzie), on sort de nous-mêmes, on swingue, on lévite au milieu d'un festival de mouvements et de couleurs. Retour vers le passé ? Oui et non. Le film avance, l'effervescence créative aussi, sauf que le trip nostalgique devient motif d'inquiétude.
    Edgar Wright n'est pas là pour glorifier les fantasmes associés à une ère révolue, plutôt pour en discuter la soi-disant grandeur. Le puzzle se remet en place, l'image qu'on en retire fait froid dans le dos. On frayera dans les recoins les plus désagréables au bras de spectres monstrueux tirés à quatre épingles. Last Night in Soho se transforme alors en train fantôme qui erre au milieu d'espoirs noyés dans le sang. Si le message n'était pas assez clair à l'issue de cette première moitié, le flamboyant grand final enfonce le clou.
    La fête battait son plein ? La gueule de bois sera sévère.

    Entre-deux, le long-métrage retombe quelque peu. La construction devient répétitive et pour peu qu'on soit attentif aux petits détails, on désamorcera plusieurs rebondissements bien avant que l'intrigue se décide à les dénouer. Dans l'intervalle, plusieurs éléments sont laissés sur place (la mère, l'investigation). C'est embêtant car tout cela aurait pu prêter le flanc à une attitude plus suspicieuse quant au fin mot de l'histoire. Il y a bien une résolution qui survient mais aussi touchante soit-elle, son épilogue un brin facile vient tempérer la réussite. Mais juste un peu, car Wright nous en donne largement pour notre argent, nos yeux et nos oreilles.
    Cinévore24
    Cinévore24

    344 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2021
    Edgar Wright revient en Angleterre avec cette histoire de miroirs, de regards et de manipulations, où le passé résonne avec le présent.

    Mélange d'époques, un nouveau film à l'esthétique soignée (à travers une reconstitution fantasmée des 60's) et à la mise en scène toujours rythmée et inventive.

    Un film pop basculant peu-à-peu dans l'horreur, et dans lequel la femme est dépeinte comme l'objet du désir des hommes.
    Un film immersif et parfois oppressant, malgré une résolution un peu décevante (et attendue) et quelques invraisemblances narratives.

    Entre rêve et cauchemar, une œuvre étincelante et prenante, mais aussi un peu boitillante.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    188 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2021
    Shaun of the Dead (2004), Hot fuzz (2007), Scott Pilgrim (2010), le dernier pub avant la fin du monde (2013)... Edgar Wight nous a offert quelques comédies devenues cultes, puis un Baby Driver en 2017 assez jouissif grâce à l'action mené littéralement tambour battant. Il revient en 2021 avec brio dans un thriller horrifique extrêmement maîtrisé. Last Night in Soho nous fait valser avec le duo Thomasin McKenzie (vu dans Jojo Rabbit) et Anna Taylor-Joy (Le jeu de la Dame) dans une synchronisation renversante. La musique, la lumière, tout est en rythme, la réalisation est précise, vraiment captivante. L'histoire nous emporte très rapidement, on ne voit pas le temps passer, on suit les protagonistes et profite de cette mise en scène tantôt angoissante, tantôt intrigante, mais toujours impeccable aux sons si charmants des années 60. Rien à dire, on savoure ce film jusqu'aux dernières minutes. Last Night in Soho est un thriller teinté d'horreur qui vaut vraiment le détour, à ne pas manquer !
    Vador Mir
    Vador Mir

    260 abonnés 793 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2021
    Un "film d'horreur pour ado" un peu perturbant qui est cependant dans l'air du temps avec un message féministe un peu caricatural. L'aura de Anya Tatlor-Joy est intact et l'actrice principale est correcte.
    Violent et angoissant pour un public de jeunes c'est clairement maladroit.
    ffred
    ffred

    1 711 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2021
    Nouveau film de Edgar Wright (Hot Fuzz, Scott Pilgrim, Baby Driver…). Ça part un peu mou, comme une banale comédie pour ados, mais petit à petit de plus en plus intéressant et prenant. Un coté carrément fantastique pour le portrait d’une jeune femme de la campagne qui commence à connaitre la vie à Londres, à cheval sur deux époques. On retrouve Thomasin McKenzie (Old, Jojo Rabbit, The power of the dog) et l’excellente Anya Taylor-Joy (Le jeu de la dame, The Witch, Glass…), les deux sont très biens. Avec aussi Diana Rigg dans un de ses derniers rôles. J’ai trouvé le tout très bien fait, de la mise en scène à la direction artistique, et un scénario très féministe et dans l’actualité. Un très bon moment, un très bel univers et une très belle, mais aussi angoissante, ambiance. Une très belle surprise.
    lionelb30
    lionelb30

    441 abonnés 2 598 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2021
    Film un peu étrange , assez confus , un peu mélange de genre est qui n'a au final que peu d’intérêt.
    zinjero
    zinjero

    20 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 janvier 2022
    Le film fléchit à sa moitié. Les effets se répètent et le scenar prend une mauvaise direction pour se conclure de manière convenue. On retient quelques moments de grâce, deux jeunes actrices douées mais le film ne restera pas dans les annales. Last Night in Soho. So-so.
    jthuil
    jthuil

    13 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 octobre 2022
    Les références au Dario Argento de la belle époque pleuvent en abondance, mais aussi référencé et esthétique soit-il, ce thriller ne parvient pas à convaincre, handicapé par sa narration ennuyeuse et ses scènes répétitives.
    Simon R
    Simon R

    54 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 octobre 2021
    Assez déçu de ce film qui flirte plus avec le nanar qu'avec le cinéma de genre.
    Grand casting, mais inexploité...
    Dommage car le pitch était aguicheur !
    Jake S.
    Jake S.

    82 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Un film rétro qui nous fait voyager dans le Swinging London des années 60 on ne peut que le savourer ! Edgar Wright revient pour la première fois depuis son intéressant mais décrié "Baby Driver" de 2017 avec une proposition encore plus ambitieuse dénommée : "Last Night in Soho".

    Eloise, une jeune fille passionnée par la mode, est acceptée dans une prestigieuse école londonienne pour y faire ses études. Marquée par le décès de sa mère alors qu'elle n'avait que 7 ans, elle décide de marcher sur ses traces en quittant sa campagne pour réaliser ses rêves. Et alors qu'elle parvient à rentrer dans une sorte de monde parallèle des années 60, son voyage au départ idyllique va très vite laisser les faux-semblants de côté pour s'attacher à un ensemble de crimes et de mystères lugubres.

    La première chose à noter dans ce film, ce sont les intéressantes fausses pistes proposées par le scénario pour ne pas comprendre immédiatement d'où vient la menace. Dans le même temps, de petits indices cachés par ci par là (et dont on se souvient d'ailleurs lors du twist final) auraient pu nous indiquer la voie, mais nous ne souhaitons pas y croire immédiatement ou bien ils nous passent sous le nez.

    Ensuite, les costumes et décors sont remarquables. Le travail de forme est bien présent et l'équipe du film n'y est pas allée de main morte. Les prestations de chacun des acteurs sont également marquantes, tout spécialement pour Anya-Taylor Joy qui brille une nouvelle fois de par sa grâce en chanteuse a capella de "Downtown" ou encore en danseuse de twist ou de "mashed potatoes". Une belle carrière l'attend, ce n'est que le début !

    spoiler: Attention Spoilers ! Au-delà de toute cette mise en scène et de cette ambiance sixties mélangée à un véritable théâtre d'horreur, l'intrigue propose évidemment un message assez répandu depuis ces dernières années mais qui reste cependant engagé et atypique. Tout au long de l'histoire, Eloise est une sorte de proie parfaite pour compatir et s'identifier à tout ce qui est arrivé à Alexandra Collins (Sandie). Elle aussi a vécu le trauma de perdre très jeune ses deux parents (l'un décédé, l'autre volatilisé). En vivant de façon omnisciente l'idylle de la jeune Sandie et son basculement progressif dans un Londres beaucoup plus sinistre et sans pitié envers les jeunes femmes, elle va finir par en saisir les enjeux et définir le véritable coupable : la société. L'expérience de Sandie n'est qu'un reflet de ce qu'Ellie vit à Soho. Edgar Wright utilise le miroir pour justement créer une passerelle entre les survivants du passé et les acteurs du présent, une sorte d'assistance morale mutuelle et perpétuelle. Suite au twist, la situation change totalement et devient pour le moins ambivalente et complexe puisque Alexandra (Sandie) deviendrait presque l'anti-héros meurtrière tandis que les hommes assassinés deviendraient ses victimes. Ce retournement nous convaincrait que "Last Night in Soho" prend le contre-pied de la plupart des films post Me-Too en suggérant que le désir de vengeance de la femme n'apportera aucune justice, encore moins de guérison. Seulement des remords. Mais alors les crimes de ces hommes doivent-ils rester impunis ? Que fait-on d'une justice impartiale ? C'est comme si le film ne voyait que la vengeance par la violence pour ces femmes meurtries comme solution. Si la violence envers les femmes est évidemment le sujet central du film et qu'on reconnait que celle-ci n'a vraisemblablement pas réduit en 60 ans, la vision globale des scénaristes est quant à elle un peu plus floue et il est difficile de définir à 100% ce que l'histoire souhaite véhiculer de par son twist. La culpabilité des différents partis est remise en cause et cela parait pour le moins étrange. Peut-être que l'objectif majeur était seulement d'appuyer sur le fait qu'une vengeance facile n'est jamais la solution. Ne pas foncer tête baissée, agir avec recul sur la situation de façon magnanime. Je ne sais pas.



    Hormis ces quelques visions énigmatiques, le film est absolument à voir, et tout âge confondu !
    Antho B
    Antho B

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 novembre 2021
    très décevant pour un réalisateur qui nous a habitué à bien mieux. le scénario est nul, les personnages on s'en fout bien de ce qu'ils peuvent leur arriver, l'humour de Wright est lourd (c'était qd même son point fort ds ses précédents films). bref c'est plutôt raté
    S5Clem
    S5Clem

    83 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 mars 2022
    La hype était à la hauteur de la déception... Je ne m'attendais vraiment pas à ça. Un teenage movie qui débute à la American Pie version Girly, pas dingue et hyper nanard j'ai failli m'arrêter à la 20eme minutes, avec en surcroît une réal cheap qui sent le studio à plein nez. Cependant, dès le premier transfert dans les années 60 la prod prend un gros coup de mieux, la BO est elle aussi excellente, le film n'a pas que des défauts. Mais malgré l'effort et le budget alloué, ça reste un gros teenage movie digne d'une diffusion sur Gulli au mieux. Très décevant
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top