Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un film purement wrightien qui, pourtant, mène son cinéma tout autre part.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Un vrai plaidoyer pour la création et l'imaginaire, où les moments de virtuosité et les arguments fantastiques s'empilent sans que jamais la suspension d'incrédulité n'en soit impactée. On appelle ça du cinéma.
Ouest France
par Thierry Chèze
Edgar Wright raconte par le prisme du fantastique les aspects sombres d'une décennie flamboyante, avec deux merveilleueses interprètes.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les performances en miroir d’Anya Taylor-Joy («Le Jeu de la dame ») et Thomasin McKenzie (« Leave No Trace ») sont l'atout majeur de cette fable flippante à souhait.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un thriller psychologique et féministe à l’esthétisme soigné.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Le nouvel Edgar Wright est un retour en forme du cinéaste [...], et une forme de radicalisation de son obsession pour la toxicité de la régression, considérée comme un vain bouclier faisant semblant de protéger des affronts du monde.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
La sublime exploration des arcanes de la nostalgie tourne un peu court lors d'un dernier acte se confondant en maladresses narratives. Mais cela n'affaiblit qu'à peine la grande beauté de Last Night in Soho.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Un film d’horreur classieux mais un peu trop classique à côté duquel il serait néanmoins dommage de passer.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Arnold Petit
Probablement le film le plus audacieux et maîtrisé de son auteur.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
On est envoûté par l’atmosphère inquiétante, l’univers visuel sophistiqué et la singularité de ce récit initiatique ambitieux et malin, sur le passage à l’âge adulte d’une héroïne coincée dans un autrefois idéalisé, qui cherche en vain sa place dans le monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Philippe Guedj
Un festin visuel fascinant et angoissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Edgar Wright s’en donne à cœur joie avec cet exercice de style horrifique habité par deux fantastiques actrices.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Comme le Once upon a time…in Hollywood de l’ami Tarantino, c’est un film à la patine fun mais bourré d’idées noires. Un bonbon coloré au goût amer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Avec maestria, Edgar Wright orchestre un thriller horrifique très référencé, mais avec un dernier tiers trop explicatif.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
S'il en passe par une multitude de références au cinéma du passé, c'est moins pour le pasticher que pour lui inventer une énergie nouvelle. (...) Ce n'est pas toujours du meilleur goût, mais il s'en tire par sa vélocité à accumuler les idées sans s'appesantir.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Mise en scène et bande-son à tomber, la première heure est époustouflante. Las ! Edgar Wright alourdit tout, ôtant mystère et frissons à son giallo polanskien aux airs clinquants de comédie musicale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Mais c’est surtout pour la présence d’Anya Taylor-Joy, actrice que tout le monde s’arrache depuis son interprétation magistrale dans la série « Le Jeu de la dame », que « Last Night in Soho » vaut le coup d’œil.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Sandra Onana
Que nos villes rêvées, figées dans le temps, continuent à exister parallèlement à celles où l’on vit, et viennent parfois nous tirer hors de nos draps, est la belle idée du film. [...] On regrette dès lors que Last Night in Soho déraille une fois que la poupée Sandie dégringole dans l’enfer de l’exploitation des corps [...]. On croirait alors le film transféré aux mains bourrines d’un Ryan Murphy [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marie Sauvion
Si le scénario finit par s’effilocher, ce nouveau film d’horreur post-#MeToo a le mérite de régler son compte à une idée reçue qui a la vie dure — c’était mieux avant, vraiment ? — tout en rappelant à l’écran deux stars emblématiques de ces années-là, Diana Rigg et Terence Stamp.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
Drôle de paradoxe que celui d’Edgar Wright, dont l’appétit pour les images et le goût pour l’hybridité des genres produisent des films irrémédiablement tièdes, sans fièvre ni passion.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par C. J.
Après une demi-heure aux couleurs bonbon et à l'optimisme naïf, la fable dérape dans un « giallo » gore et laid. Superposant récit féministe, allégorie de la folie avec les codes du film de fantômes, ce voyage dans le temps tourne au millefeuille indigeste à l'issue prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Le film bascule ensuite dans le thriller psychologique saturé d'effets sonores et visuels (...) sacrifiant récit et personnages au nom de coups de force formels.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Wright s’emmêle tellement les pinceaux dans son histoire d’horreur que son héroïne finit plus ou moins par venger des fantômes de violeurs – comment en est-on arrivé là ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
Un film purement wrightien qui, pourtant, mène son cinéma tout autre part.
Mad Movies
Un vrai plaidoyer pour la création et l'imaginaire, où les moments de virtuosité et les arguments fantastiques s'empilent sans que jamais la suspension d'incrédulité n'en soit impactée. On appelle ça du cinéma.
Ouest France
Edgar Wright raconte par le prisme du fantastique les aspects sombres d'une décennie flamboyante, avec deux merveilleueses interprètes.
20 Minutes
Les performances en miroir d’Anya Taylor-Joy («Le Jeu de la dame ») et Thomasin McKenzie (« Leave No Trace ») sont l'atout majeur de cette fable flippante à souhait.
CNews
Un thriller psychologique et féministe à l’esthétisme soigné.
Culturopoing.com
Le nouvel Edgar Wright est un retour en forme du cinéaste [...], et une forme de radicalisation de son obsession pour la toxicité de la régression, considérée comme un vain bouclier faisant semblant de protéger des affronts du monde.
Ecran Large
La sublime exploration des arcanes de la nostalgie tourne un peu court lors d'un dernier acte se confondant en maladresses narratives. Mais cela n'affaiblit qu'à peine la grande beauté de Last Night in Soho.
Filmsactu
Un film d’horreur classieux mais un peu trop classique à côté duquel il serait néanmoins dommage de passer.
L'Ecran Fantastique
Probablement le film le plus audacieux et maîtrisé de son auteur.
Le Journal du Dimanche
On est envoûté par l’atmosphère inquiétante, l’univers visuel sophistiqué et la singularité de ce récit initiatique ambitieux et malin, sur le passage à l’âge adulte d’une héroïne coincée dans un autrefois idéalisé, qui cherche en vain sa place dans le monde.
Le Point
Un festin visuel fascinant et angoissant.
Les Fiches du Cinéma
Edgar Wright s’en donne à cœur joie avec cet exercice de style horrifique habité par deux fantastiques actrices.
Première
Comme le Once upon a time…in Hollywood de l’ami Tarantino, c’est un film à la patine fun mais bourré d’idées noires. Un bonbon coloré au goût amer.
Télé Loisirs
Avec maestria, Edgar Wright orchestre un thriller horrifique très référencé, mais avec un dernier tiers trop explicatif.
Cahiers du Cinéma
S'il en passe par une multitude de références au cinéma du passé, c'est moins pour le pasticher que pour lui inventer une énergie nouvelle. (...) Ce n'est pas toujours du meilleur goût, mais il s'en tire par sa vélocité à accumuler les idées sans s'appesantir.
L'Obs
Mise en scène et bande-son à tomber, la première heure est époustouflante. Las ! Edgar Wright alourdit tout, ôtant mystère et frissons à son giallo polanskien aux airs clinquants de comédie musicale.
Le Parisien
Mais c’est surtout pour la présence d’Anya Taylor-Joy, actrice que tout le monde s’arrache depuis son interprétation magistrale dans la série « Le Jeu de la dame », que « Last Night in Soho » vaut le coup d’œil.
Libération
Que nos villes rêvées, figées dans le temps, continuent à exister parallèlement à celles où l’on vit, et viennent parfois nous tirer hors de nos draps, est la belle idée du film. [...] On regrette dès lors que Last Night in Soho déraille une fois que la poupée Sandie dégringole dans l’enfer de l’exploitation des corps [...]. On croirait alors le film transféré aux mains bourrines d’un Ryan Murphy [...].
Télérama
Si le scénario finit par s’effilocher, ce nouveau film d’horreur post-#MeToo a le mérite de régler son compte à une idée reçue qui a la vie dure — c’était mieux avant, vraiment ? — tout en rappelant à l’écran deux stars emblématiques de ces années-là, Diana Rigg et Terence Stamp.
Critikat.com
Drôle de paradoxe que celui d’Edgar Wright, dont l’appétit pour les images et le goût pour l’hybridité des genres produisent des films irrémédiablement tièdes, sans fièvre ni passion.
Le Figaro
Après une demi-heure aux couleurs bonbon et à l'optimisme naïf, la fable dérape dans un « giallo » gore et laid. Superposant récit féministe, allégorie de la folie avec les codes du film de fantômes, ce voyage dans le temps tourne au millefeuille indigeste à l'issue prévisible.
Le Monde
Le film bascule ensuite dans le thriller psychologique saturé d'effets sonores et visuels (...) sacrifiant récit et personnages au nom de coups de force formels.
Les Inrockuptibles
Wright s’emmêle tellement les pinceaux dans son histoire d’horreur que son héroïne finit plus ou moins par venger des fantômes de violeurs – comment en est-on arrivé là ?