Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un émouvant portrait.
Libération
par J. Pi.
[...] le film parvient [...] à faire affleurer le tourment d’une vie aux prises avec moult diktats, et ce sur le seuil de son émancipation.
Positif
par Yannick Lemarié
Verida Beitta Ahmed Deiche porte avec élégance cette histoire attachante.
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Le désir de la réalisatrice de nous transporter en un partage émotionnel fort dans le monde de Verida, se voit grandement exaucé, au point peut-être de nous faire sentir et ressentir le corps de toute femme comme lieu historique d’une liberté toujours à gagner, préserver, imposer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Pour parler des diktats de la beauté féminine, la réalisatrice choisit de raconter le gavage des futures épouses en Mauritanie (sur la base de témoignages). Par ricochet, cette tradition fait aussi réfléchir aux critères esthétiques de l'Occident et à la pression sociale qui semble toujours se focaliser sur le corps des femmes.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le trait est sec sans être tranchant et dessine autour d’une héroïne victime mais capable aussi de trahison affective de beaux seconds rôles comme ceux de la mère impuissante, d’un amoureux de l’ombre et d’une amie aux rêves d’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
L’actrice Verida Beitta Ahmed Deiche a elle-même vécu cette pratique, d’où sa performance très juste et sans misérabilisme. Un regard différent et sans jugement sur une tradition qui subsiste dans un monde modernisé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce premier film imparfait mais émouvant met en lumière cette tradition méconnue du gavage. Il échappe à la pesanteur, réservant quelques sourires et moments de légèreté en esquissant le portrait d’une génération qui écoute du R’n’B et lit Sagan.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Cette fiction féministe a l’intelligence de ne pas emprunter le chemin tout tracé de la « libération » vue selon un regard occidental. Mais Le Mariage de Verida reste un film à sujet. Verida trouve ses échappées et ses voies d’émancipation. Politiquement, on ne peut que s’en réjouir, mais esthétiquement rien de bien nouveau sur le grand écran.
Le Parisien
par La Rédaction
Si le rythme du film est un peu lent, son image très soignée et l'interprétation sobre et juste de Verida lui donnent une jolie profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
La forme est ici d'une élégante sobriété, le regard, tout en pudeur, à juste distance, et parvient à traduire la complexe intériorité de son héroïne malgré une grande économie de gestes et de paroles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Le recours à des actrices non professionnelles et le style documentaire de la mise en scène contribuent à l’authenticité du film, parfois au détriment du romanesque. Mais la séquence finale, très symbolique, impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le mariage de Verida est une plongée courageuse au cœur de la Mauritanie où se jouent, autour d’une jeune héroïne, les tensions entre l’aspiration à la modernité et la perpétuation des traditions culturelles. Intéressant et mystérieux, à la limite parfois de la démagogie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Réalisée par une documentariste italienne, cette fiction s’appuie sur une réalité de la vie locale. Mais, dans ce film irréprochable et progressiste, la fiction reste en retrait par rapport au regard documentaire, qui relativise la dramaturgie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Cette dénonciation de la tradition du gavage des femmes en Mauritanie avant leur mariage est d’une fadeur soporifique. Le style léché et propre de la photo n’arrange rien. Sans rythme ni lignes de force dramaturgiques, le film finit par banaliser son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Mais la force de la thématique abordée semble l’empêcher de se déployer d’un pur point de vue cinématographique. Son Mariage de Veridas’inscrit pleinement dans cette famille des films à sujet, tant prisés des festivals, où le fond écrase la forme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Dauphiné Libéré
Un émouvant portrait.
Libération
[...] le film parvient [...] à faire affleurer le tourment d’une vie aux prises avec moult diktats, et ce sur le seuil de son émancipation.
Positif
Verida Beitta Ahmed Deiche porte avec élégance cette histoire attachante.
Culturopoing.com
Le désir de la réalisatrice de nous transporter en un partage émotionnel fort dans le monde de Verida, se voit grandement exaucé, au point peut-être de nous faire sentir et ressentir le corps de toute femme comme lieu historique d’une liberté toujours à gagner, préserver, imposer.
Femme Actuelle
Pour parler des diktats de la beauté féminine, la réalisatrice choisit de raconter le gavage des futures épouses en Mauritanie (sur la base de témoignages). Par ricochet, cette tradition fait aussi réfléchir aux critères esthétiques de l'Occident et à la pression sociale qui semble toujours se focaliser sur le corps des femmes.
L'Obs
Le trait est sec sans être tranchant et dessine autour d’une héroïne victime mais capable aussi de trahison affective de beaux seconds rôles comme ceux de la mère impuissante, d’un amoureux de l’ombre et d’une amie aux rêves d’émancipation.
Le Figaro
L’actrice Verida Beitta Ahmed Deiche a elle-même vécu cette pratique, d’où sa performance très juste et sans misérabilisme. Un regard différent et sans jugement sur une tradition qui subsiste dans un monde modernisé.
Le Journal du Dimanche
Ce premier film imparfait mais émouvant met en lumière cette tradition méconnue du gavage. Il échappe à la pesanteur, réservant quelques sourires et moments de légèreté en esquissant le portrait d’une génération qui écoute du R’n’B et lit Sagan.
Le Monde
Cette fiction féministe a l’intelligence de ne pas emprunter le chemin tout tracé de la « libération » vue selon un regard occidental. Mais Le Mariage de Verida reste un film à sujet. Verida trouve ses échappées et ses voies d’émancipation. Politiquement, on ne peut que s’en réjouir, mais esthétiquement rien de bien nouveau sur le grand écran.
Le Parisien
Si le rythme du film est un peu lent, son image très soignée et l'interprétation sobre et juste de Verida lui donnent une jolie profondeur.
Les Inrockuptibles
La forme est ici d'une élégante sobriété, le regard, tout en pudeur, à juste distance, et parvient à traduire la complexe intériorité de son héroïne malgré une grande économie de gestes et de paroles.
Télérama
Le recours à des actrices non professionnelles et le style documentaire de la mise en scène contribuent à l’authenticité du film, parfois au détriment du romanesque. Mais la séquence finale, très symbolique, impressionne.
aVoir-aLire.com
Le mariage de Verida est une plongée courageuse au cœur de la Mauritanie où se jouent, autour d’une jeune héroïne, les tensions entre l’aspiration à la modernité et la perpétuation des traditions culturelles. Intéressant et mystérieux, à la limite parfois de la démagogie.
L'Humanité
Réalisée par une documentariste italienne, cette fiction s’appuie sur une réalité de la vie locale. Mais, dans ce film irréprochable et progressiste, la fiction reste en retrait par rapport au regard documentaire, qui relativise la dramaturgie.
Les Fiches du Cinéma
Cette dénonciation de la tradition du gavage des femmes en Mauritanie avant leur mariage est d’une fadeur soporifique. Le style léché et propre de la photo n’arrange rien. Sans rythme ni lignes de force dramaturgiques, le film finit par banaliser son sujet.
Première
Mais la force de la thématique abordée semble l’empêcher de se déployer d’un pur point de vue cinématographique. Son Mariage de Veridas’inscrit pleinement dans cette famille des films à sujet, tant prisés des festivals, où le fond écrase la forme.