Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Freedom n'est pas qu'un film-sujet. La mise en scène, l'interprétation ont une place essentielle.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Christophe Foltzer
S'il n'évite pas quelques écueils classiques des premiers films, Freedom est une belle réussite. Poignant, fort, tout autant que choquant et dur, il nous plonge en totale immersion durant une heure et demie. Servi par des comédiens charismatiques et une mise en scène au cordeau, il marque probablement la naissance d'un futur grand réalisateur. En tout cas, c'est ce que l'on se plait à croire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
L’odyssée de Chakra, de l’innocence à l’enfer, est révoltante et poignante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Robin Cannone
Avec Freedom, le réalisateur australien Rodd Rathjen met en scène une tragédie ignorée
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Frédéric Strauss
La brutalité et l’espoir sont réunis dans un film palpitant, qui fait surgir un monde jamais vu au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit initiatique un peu répétitif, mais impitoyable.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Dénonçant un fait de société dramatique en Asie du Sud-Est - les enfants esclaves prisonniers sur des bateaux - « Freedom » fait figure de voyage au bout de l'enfer qui prend le spectateur aux tripes. Et ce, même si le réalisateur australien a tendance à alourdir son propos en brossant des portraits sans nuances et trop caricaturaux des « méchants » de cette histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Thriller social sur une forme méconnue d’esclavage moderne, Freedom rejette le pathos mais peine à faire passer l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Un huis clos à ciel ouvert terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène brutale et spectaculaire des tribulations d’un adolescent cambodgien, embarqué sur un bateau thaïlandais commandé par une brute sadique, va à l’encontre du projet, donnant la sensation d’une fascination presque obscène pour la misère et la souffrance.
CinemaTeaser
Freedom n'est pas qu'un film-sujet. La mise en scène, l'interprétation ont une place essentielle.
Ecran Large
S'il n'évite pas quelques écueils classiques des premiers films, Freedom est une belle réussite. Poignant, fort, tout autant que choquant et dur, il nous plonge en totale immersion durant une heure et demie. Servi par des comédiens charismatiques et une mise en scène au cordeau, il marque probablement la naissance d'un futur grand réalisateur. En tout cas, c'est ce que l'on se plait à croire.
L'Obs
L’odyssée de Chakra, de l’innocence à l’enfer, est révoltante et poignante.
Le Figaro
Avec Freedom, le réalisateur australien Rodd Rathjen met en scène une tragédie ignorée
Télérama
La brutalité et l’espoir sont réunis dans un film palpitant, qui fait surgir un monde jamais vu au cinéma.
Le Journal du Dimanche
Un récit initiatique un peu répétitif, mais impitoyable.
Le Parisien
Dénonçant un fait de société dramatique en Asie du Sud-Est - les enfants esclaves prisonniers sur des bateaux - « Freedom » fait figure de voyage au bout de l'enfer qui prend le spectateur aux tripes. Et ce, même si le réalisateur australien a tendance à alourdir son propos en brossant des portraits sans nuances et trop caricaturaux des « méchants » de cette histoire.
Les Fiches du Cinéma
Thriller social sur une forme méconnue d’esclavage moderne, Freedom rejette le pathos mais peine à faire passer l’émotion.
Première
Un huis clos à ciel ouvert terrifiant.
Le Monde
La mise en scène brutale et spectaculaire des tribulations d’un adolescent cambodgien, embarqué sur un bateau thaïlandais commandé par une brute sadique, va à l’encontre du projet, donnant la sensation d’une fascination presque obscène pour la misère et la souffrance.