Mon compte
    Slalom
    Note moyenne
    3,4
    2028 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Slalom ?

    168 critiques spectateurs

    5
    37 critiques
    4
    43 critiques
    3
    53 critiques
    2
    25 critiques
    1
    7 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 404 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Alors que la parole des victimes d’agressions sexuelles se libère de plus en plus, le mouvement #Metoo a bouleversé le paysage cinématographique. Il est désormais fréquent de retrouver cette libéralisation dans des longs-métrages et “Slalom” en fait partie. La comédienne Noée Abita incarne une adolescente sportive de quinze ans qui rejoint la prestigieuse section ski-études du lycée de Bourg-Saint-Maurice. L’ex-champion Fred est désormais entraîneur et prend la jeune fille sous son aile. La lycéenne s’investit pleinement dans cette aventure au point de se livrer totalement à son entraîneur, joué par Jérémie Renier. Le film met à nu les pulsions interdites d’un homme pourtant stable en apparence. Nous sommes alors témoins de cette relation qui dérive froidement vers la manipulation malsaine. “Slalom” montre avec justesse l’emprise psychologique d’un prédateur sexuel sur sa victime.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Sylvain P
    Sylvain P

    343 abonnés 1 361 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2021
    La première partie de Slalom est d'une esthétique parfaite. Les paysages de montagnes et les superbes clichés de téléphériques, de canons à neige ou de pistes sont dignes de tableaux de maître. La seconde partie commence cruement et le glauque s'installe immédiatement. L'emprise de l'entraîneur sur sa très jeune athlète, la relation ambiguë entre les deux personnages qui ont mutuellement besoin l'un de l'autre, tout est finement joué. La mise en scène des "rapports" sexuels montre bien qu'il ne la considère que comme un objet sexuel, il est complètement seul, même à deux.
    Ferdinand D.
    Ferdinand D.

    12 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2021
    Slalom, réalisé par Charlène Favier, est un film très émouvant sur l’arrivée d’une jeune fille dans une école de ski, et son ascension au très haut niveau de son sport et de sa passion, le slalom en ski. Au premier abord, Slalom semble reprendre une structure cinématographique classique du récit d’un jeune talent: l’entraîneur trop strict, qui la pousse jusqu’à la rupture, la famille quasi absente et désintéressée, les très hauts et les très bas, et bien sûr la victoire finale… Cependant, le film parvient à se détacher subtilement de ces codes. Lyz est une adolescente reconnue pour son talent de skieuse; le film débute à son entrée d’une école de ski dans la montagne. Il n’est pas facile de saisir l’emplacement de cette école, à l’exception d’un “Val d’Isère” inscrit sur le pull de Lyz, alors qu’elle court dans la neige plus tard dans le film. Les paysages sont magnifiques, avec un bâtiment au beau milieu d’une forêt de neige perpétuellement grandissante au fur et à mesure que la fausse poudre blanche, très réaliste par ailleurs, tombe en douces vagues au sol. Pourtant, on ne se croirait pas dans une mauvaise rom-com de Noël: l’atmosphère ne s’y prête pas. En effet Lyz, déterminée à réussir, se pousse au bout de ses limites en s’entraînant jour et nuit tout en écoutant les critiques aussi incessantes qu’irritantes de son entraîneur, Fred. Elle ne semble que rarement y prendre du plaisir, tant elle souffre sous le coup des interminables exercices intensifs qui font tressaillir le spectateur: elle stimule électriquement ses muscles à l’aide d'électrodes qui la font grimacer de douleur, coure dans la neige tombante jusqu’à en saigner du nez, et même manque de se briser le genou en soulevant une haltère.
    Et autour de tout cela, et même presque au centre de tout, il y a Fred. Après ses débuts très difficiles à l’école, elle s’améliore grandement et une relation très particulière s’installe entre les deux protagonistes. Fred est un entraîneur très strict, dur avec ses élèves et violent à la fois verbalement et physiquement. Pourtant, cela ne semble pas repousser Lyz.
    Jonglant entre les amitiés jalouses de son grand succès sportif, les amours qui apparaissent soudain, ses joies de victoires, une mère omniprésente dans l’histoire mais jamais présente physiquement, et bien sûr la confusion d’une relation intime, violente et pour le moins problématique, Lyz entre brusquement dans un autre monde, et semble expérimenter tout en même temps. Tout au long du film, elle donne l’impression d’être entraînée dans un ouragan inévitable duquel elle ne peut jamais sortir, sans qu’elle n’ai le temps de réfléchir ou de respirer. Elle se lance dans tout les bras ouverts, dans un nouveau monde, dans un monde qui n’était pas le sien mais dans lequel elle semble tout de même s’accrocher.
    Slalom n’est pas seulement le beau récit de l’ascension d’une jeune athlète au sommet, mais aussi le récit d’une femme pleine de maturité qui se cherche soi-même tout au long du film.
    C’est un film très excitant à regarder. Le spectateur peut se prendre à exulter lorsque Lyz exulte, à s’attrister lorsqu’elle ne réussit pas. Il propose également des scènes déchirantes et horribles qui font froid dans le dos.
    Cependant, certaines scènes paraissent forcées, presque “trop” pour faire pleurer le spectateur.
    Sans jamais vraiment atteindre le statut de grand film ou de film génial, Slalom est une image particulièrement émouvante et presque attristante d’une femme en devenir, qui se cherche parmi toutes les distractions que lui offre la vie.
    Yves G.
    Yves G.

    1 517 abonnés 3 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Liz (Noée Abita) a quinze ans et une seule passion : le ski alpin. Elle vient d'intégrer la section sport-étude du lycée de Bourg Saint-Maurice. Son entraîneur, Fred (Jérémie Renier), est connu pour son exigence mais aussi pour son efficacité. Il a tôt fait de repérer Liz et de la pousser dans ses retranchements pour qu'elle se dépasse.
    Entre la jeune championne et l'entraîneur sadique se noue une relation toxique.

    J'ai souvent parlé des "Dossiers de l'écran" dans mes critiques quotidiennes, au risque de n'éveiller d'écho que parmi les seuls lecteurs âgés de cinquante ans ou plus. Eux seuls se souviennent de cette émission-débat du mardi soir sur France 2, ouverte par un film censé illustrer le thème du jour : "Marathon Man" sur la chasse aux criminels nazis, "La Dérobade" sur la prostitution, "La Maison du lac" sur le troisième âge, etc.

    "Slalom" aurait pu parfaitement introduire un débat sur les violences sexuelles dans le sport. Le sujet est hélas d'une brûlante actualité. Arte lui consacrait l'été dernier un documentaire édifiant. Les faits divers, souvent scabreux se succèdent, dans le patinage artistique, le moto-cross, la natation...

    "Slalom" décrit à la perfection le phénomène d'emprise. Il montre l'ambiguïté structurelle de la relation qui unit une jeune sportive à son entraîneur, ce mélange explosif d'admiration, de soumission, de crainte, d'attraction aussi (le film montre, trop brièvement peut-être cette dimension-là aussi). Loin de sa famille, à un âge difficile, la jeune adolescente ne sait opposer aucune défense à l'adulte qui abuse de sa situation.

    Jérémie Renier est comme d'habitude parfait dans un rôle qui aurait pu verser dans la caricature. Il ne s'agit pas d'un pervers sexuel, d'un prédateur, mais d'un homme à l'ego malmené qui transfère sur la jeune championne l'ambition qu'il n'a pas su réaliser pour lui-même.

    Le seul défaut de "Slalom", qu'on se sent bien mesquin de pointer, est de suivre un peu trop à la lettre ce projet-là. Toutes les étapes de cette emprise sont scrupuleusement consignées, les unes après les autres : l'apprivoisement, la complicité naissante, le basculement, la révolte, la disparition de tous les soutiens possibles (famille, amis...), la prostration... jusqu'au sursaut final et ce mot de trois lettres qui conclut le film en laissant un beau message d'espoir à tous ceux et celles qui pourraient connaître un tel sort.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    784 abonnés 1 542 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Savoir dire NON aux avances déplacées d'un entraîneur de sport de 35 ans quand on est une jeune fille de 15 ans et que l'on est loin de sa famille et totalement sous l'emprise de ce coach, voilà un sujet bien tabou (et d'actualité) dans lequel se lance la réalisatrice Charlène Favier, avec un certain talent et une certaine finesse, il faut bien le reconnaître.
    Le sport choisi pour aborder ce thème délicat est ici le ski, ce qui nous transporte au grand air frais et pur de la montagne, avec en prime de très belles images de cimes enneigées.
    Les deux comédiens jouent très juste, Jérémie Renier (vu dans "Cloclo" en 2012 ) est parfait dans ce rôle de manager de club alpin franchissant petit à petit la limite. Noée Abita est également irréprochable de bout en bout.
    Malgré quelques défauts, une assez bonne surprise pour un sujet si délicat.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    criticA
    criticA

    19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Ce film met en lumière les relations ambiguës et malsaines dans le monde du sport entre un entraîneur et "son poulain".
    Noée Anita, l'actrice jouant la championne de ski, interprète à merveille son rôle d'adolescente laissée à elle-même qui va mûrir tout au long du film malgré "les épreuves". Son très bon jeu du regard est d'ailleurs à observer attentivement dans le film.
    Jérémie Renier, l'acteur interprétant le coach, joue très bien ce rôle d'entraîneur tout puissant et dangereux prêt à tout pour vivre une carrière sportive échouée, par le biais de Lyz ( Noée Abita).
    Le cadre du film est somptueux avec ses nombreux plans généraux montrant les paysages alpins enneigés. C'est pour cela qu'il faut voir ce film au cinéma sur très grand écran.
    La musique n'est pas omniprésente. Hormis lors des scènes de compétitions de descentes. J'aurais aimé que la chanson de la bande d'annonce (les 4 saisons - l'été de Vivaldi) soit plus présente dans le film. On l'entend une seule fois. Certainement, l'une des parties où l'état d'esprit de Lyz bascule.

    Je conseille ce film réalisé par Charlène Favier car il expose des faits qui existent malheureusement dans le sport. La réalisatrice a su me faire vibrer ( moments avant les descentes à ski et slalom) tout en mettant en évidence la violence physique/psychologie et la quête de liberté/émancipation de Lyz.
    Ce premier long métrage est réussi.
    Retournez au cinéma, ça vaut le détour.
    Jipéhel
    Jipéhel

    42 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Slalom

    Triple domination

    C’est le 1er long métrage de Charlène Favier qui sort sur les écrans… avec les difficultés que l’on sait, il était programmé la semaine où le confinement épisode 2 a débuté. Heureusement pour nous voici enfin ces 92 minutes qu’on airait regretté ne pas découvrir. Lyz, 15 ans, vient d'intégrer une prestigieuse section ski-études du lycée de Bourg-Saint-Maurice. Fred, ex-champion et désormais entraîneur, décide de tout miser sur sa nouvelle recrue. Galvanisée par son soutien, Lyz s'investit à corps perdu, physiquement et émotionnellement. Elle enchaîne les succès mais bascule rapidement sous l'emprise absolue de Fred... Voilà un modèle de film trouble, à l’ambiance malsaine mais où le manichéisme que l’on pouvait craindre, est parfaitement contourné, tant les personnages sont complexes. A ce propos, la bande-annonce est extrêmement trompeuse… regrettable ou pas ? A vous de juger. Ce film a été sélectionné dans 4 grands festivals, dont Cannes 2020, et ce n’est pas par hasard.
    A une époque où les langues se délient enfin et révèlent des affaires de violences sexuelles à l'encontre de mineur(e)s dans le monde du sport - judo, patinage, tennis… -, Charlène Favier, qui a été elle-même une victime durant son adolescence était fort bien placée pour évoquer les tourments d'une très jeune fille qui subit emprise psychologique et agressions, tout en posant une question cruciale : est-elle totalement une victime ? L’ambivalence est omniprésente. Habile et surprenant, ce film nous fait pénétrer jusqu’au plus intime la psychologie de personnages souvent ambigus. Le malaise s’insinue dans l’esprit du spectateur et n’en finit pas de le bouleverser bien après le mot FIN. Le plus intéressant ici, c’est la manière d’aborder le phénomène d’emprise psychologique, qu’un coach sportif adulte peut imposer à une jeune athlète vulnérable. Tout est ici, insidieux, subtil. Le glissement vers la peur de cette championne en herbe, une guerrière avançant les poings serrés, avec une extraordinaire énergie de survie comme bouclier, habilement décrit. Peut-être pas le film dossier à charge que certains auraient aimé voir, mais un quasi huis-clos, étouffant dans l’enfer des sections sport/étude de haut niveau. Dérangeant mais nécessaire.
    Depuis 2017 et son 1er film Ava, Noée Abita n’en finit plus de crever l’écran. C’est encore le cas dans ce drame intimiste où elle ne quitte pas l’image une seule seconde. Elle nous fait partager, à travers son regard incandescent, les troubles, les joies, les craintes et les souffrances d’une jeune fille qui plus est athlète de haut niveau. Les scènes de compétitions de ski, qu’elle a assurées elle-même sont admirablement filmées. – Une excellente bande-son à souligner -. Face à elle, le toujours excellent et juste Jérémie Renier, qui, bien que belge, reste un de nos comédiens les plus fins. Citons encore les très bonnes prestations de Marie Denarnaud et Muriel Combaud. A ne pas manquer !
    Aika Miura
    Aika Miura

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mai 2021
    J'aime beaucoup Noée Abita et elle est véritablement impressionnante de justesse et extrêmement touchante dans ce film. Bref, j'ai beaucoup aimé et la fin m'a ravi. Jérémie Rénier est lui aussi excellent dans ce film, même s'il n'a pas le beau rôle. Oui, très beau film à voir, ne vous laissez pas abuser par la note moyenne à moins de 4, ce n'est pas du tout justifié.
    Yan B
    Yan B

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Un film fort dans son jeu d'acteur, on sent que la réalisatrice maîtrise bien son scénario. C'est un film très soigné esthétiquement, la photographie ne laisse pas indifférente. Au niveau de la trame c'est très linéaire, l'histoire se veut un peu trop social et psychologique dans le fond. Il ne se passe pas grand chose dans la mise en scène, on reste sur sa faim...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Magnifique! Quelle claque... Un film si important, qui slalome à travers ce sujet complexe sans manichéisme et avec une virtuosité cinématographique qui me marquera pour longtemps!
    ffred
    ffred

    1 744 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Un des nombreux films de la sélection de Cannes 2020 qui n'a pas eu lieu et qui n'a pas pu sortir l'an passé. Slalom est le premier film de Charlène Favier dont l'idée de base est inspirée de sa propre histoire. Sa mise en scène est d'une belle maitrise, sans fioriture, au service d'un scénario tout en subtilité et en finesse. Mais aussi terrible. Dans cette période de #MeToo qui touche aussi le sport, un récit qui dénonce sans manichéisme et sans jugement. Sans la comprendre vraiment, on peut trouver la réaction de la jeune fille justifiée. Mais entre un amour mal placé et un désir de réussite, il est parfois difficile d'avoir la tête froide. On retrouve dans le rôle titre la jeune Noée Abita révélée dans Ava en 2017. Elle est une fois de plus vraiment bluffante, de toutes les scènes et portant tout le film sur ses épaules. A ses côtés, Jérémie Rénier est lui, comme d'habitude, d'une belle justesse dans un rôle pas facile. Les images de la montagne sont splendides. Au final, le très beau portrait d'une jeune fille qui devient adulte. Un premier long métrage sur un sujet délicat et dérangeant, mais fait avec beaucoup de tact et de sensibilité. Un beau film.
    Michel C.
    Michel C.

    280 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2021
    La reprise tant attendue et bienvenue !! Merci ( J'ai retrouvé "mon" siège au milieu de la dernière rangée ....
    Un film dans l'ambiance ambiguë et complexe entre les coach et les athlètes à fort potentiel : les affaires récentes illustrent ce point d'équilibre si fragile ! Ici Jeremie Renier (Fred) apporte tout son talent dans l'exercice de pousser des champions potentiels, même si pour beaucoup les promesses ne pourront se réaliser ( Ils partirent nombreux... etc ). Plus en difficulté avec le rôle de Noée Abita (Lyz), sans doute par ce qu'elle reste secrète, ne nous laisse pas découvrir son ressenti, sinon celui assez classique des ados renfermés et à fleur de peau. Cela est un peu frustrant, bien que nous nous forgeons forcément une réponse. Hormis cette étanchéité, ce film offre une belle dynamique sportive - très belles images de glisse et de compétition - également de montagne en saison froide, une précision de mise en scène, avec une belle construction, sauf peut être vers la fin, précipitée et nous laissant en plan. Lyz aura ainsi le dernier mot de l'histoire, se libérant de l'emprise malsaine .. !!**
    Victor B
    Victor B

    2 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2021
    Une photographie magnifique et de bonnes idées de réalisation mais un scénario trop peu abouti. Néanmoins les personnages sont très bien construits. C'est un bon film de cinéma mais qui ne décolle pas et ne m'a pas emballé émotionnellement. A voir tout de même, ne serait-ce que pour la photographie.
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 372 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2021
    Si j'ai autant aimé ce film c'est parce que je l'ai vue au ciné.
    Je n'ai pas vu la bande d'annonce ni le résumé avant d'y aller.

    spoiler: L'histoire est triste et sombre, c'est une ado qui pour mener à bien son rêve va rien faire contre son entraineur qui abuse sexuellement d'elle. Elle reste dans un mutisme pour ne pas compromettre sa carrière alors que lui se sert d'elle pour s'approprié les mérite de ses multiples victoires. Ce n'est qu'a la fin après avoir gagné la dernière course qu'elle trouvera la force de lutter contre lui.
    Lucie O.
    Lucie O.

    41 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2021
    Alors pour la réouverture des cinémas j’ai décidé de choisir ce film. Mon premier avis est que c’est un très beau film visuellement franchement chapeau je n’ai pas été déçue. Le scénario est un peu glauque mais en même temps c’est un film français dramatique par excellence. Le choix des acteurs est bon. Un film plutôt cool
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top