La Femme des steppes, le flic et l'oeuf : Critique presse
La Femme des steppes, le flic et l'oeuf
Note moyenne
3,9
16 titres de presse
Ouest France
Positif
aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Monde
Paris Match
Télérama
Cahiers du Cinéma
Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Quand une jeune bergère malicieuse vient donner un coup de main au policier novice chargé de retrouver le coupable, ce film bascule dans une fable surréaliste. Menée à un train de sénateur, parfois ennuyeuse, elle est superbement filmée qu'elle remporte quand même la mise.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Et pourtant, Wang Quan’an réussit un film qui n’appartient qu’à lui. À travers cette histoire, où la fable se mêle au documentaire, il se livre à une méditation sur le cycle de la vie et de la mort, qui n’est jamais didactique ou pesante, mais toujours poétique et légère.
aVoir-aLire.com
par Fanny Vaury
"La Femme des steppes, le flic et l’œuf" concilie l’immensité et le dérisoire, le naturel et l’absurde, l’humour et l’austérité, dans une enivrante ronde cosmogonique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Dans cet espace dépeuplé, la vie, l’amour et la mort se côtoient avec un charme étrange, sous des lois particulières. "La Femme des steppes, le flic et l’œuf" est une poésie dépaysante livrée avec tendresse et détachement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
C’est un voyage sous le ciel immense de la Mongolie, aux couleurs intenses. Un voyage dépaysant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Commençant comme un thriller avec l’esquisse d’une enquête policière, l’intrigue part totalement ailleurs. Cet ailleurs, c’est la Mongolie que Quanan Wang filme avec contemplation, dans des plans qui exaltent une horizontalité à perte de vue, aux couleurs changeantes. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
C’est à la fois philosophique et comique, réaliste et abstrait, clair et obscur. C’est beau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
On suit ainsi la vie de cette « femme des steppes » (interprétée par une authentique bergère) dans un environnement certes rustre, mais magnifié par le directeur de la photographie français Aymerick Pilarski.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Intrigue minimaliste et images sublimes font de La Femme des steppes, le Flic et l’Œuf, du Chinois Wang Quan’an, un film subtil sans subversion. En apparence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Loin de céder au folklorisme, le film a, au contraire, cette beauté spontanée des œuvres qui s’inventent dans le déplacement, par contact avec des espaces, des mœurs, desconceptions qui la dépassent.
Paris Match
par Yannick Vely
C'est visuellement sublime - la photo est signée d'un chef opérateur français, Aymeric Pilarski. Chaque plan est composé comme un tableau vivant que le passage du temps vient modifier au gré du souffle du vent et des changements de lumière.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Marie Sauvion
Dans la Mongolie sauvage, un portrait marquant de femme libre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Ce qui commence quasiment comme une comédie policière prend dans la deuxième partie une dimension philosophique, en élaborant une réflexion su rla place de l’homme sur terre, son rapport à la nature, et la réincarnation des âmes.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le réalisateur du "Mariage de Tuya" (2006) sublime les paysages désertiques pour nous raconter, avec plein de drôlerie et peu de mots, la rencontre entre deux solitudes que le hasard a fait se croiser.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le septième long métrage de Quan'an Wang n’est jamais tourné vers la résolution de l’énigme mais vers ces êtres, perdus dans la steppe mongole. Tout le film n’existe que pour filmer leurs rencontres et leurs rondes solitaires. [...] étrange beauté de western tranquille.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Tout est un peu long certes et il faut parfois s'accrocher pour ne pas décrocher. Mais la beauté de la photographie et la puissance tranquille de la mise en scène battent en brèche ces réserves et donnent naissance à un film contemplatif assez envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
Quand une jeune bergère malicieuse vient donner un coup de main au policier novice chargé de retrouver le coupable, ce film bascule dans une fable surréaliste. Menée à un train de sénateur, parfois ennuyeuse, elle est superbement filmée qu'elle remporte quand même la mise.
Positif
Et pourtant, Wang Quan’an réussit un film qui n’appartient qu’à lui. À travers cette histoire, où la fable se mêle au documentaire, il se livre à une méditation sur le cycle de la vie et de la mort, qui n’est jamais didactique ou pesante, mais toujours poétique et légère.
aVoir-aLire.com
"La Femme des steppes, le flic et l’œuf" concilie l’immensité et le dérisoire, le naturel et l’absurde, l’humour et l’austérité, dans une enivrante ronde cosmogonique.
Culturopoing.com
Dans cet espace dépeuplé, la vie, l’amour et la mort se côtoient avec un charme étrange, sous des lois particulières. "La Femme des steppes, le flic et l’œuf" est une poésie dépaysante livrée avec tendresse et détachement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est un voyage sous le ciel immense de la Mongolie, aux couleurs intenses. Un voyage dépaysant.
Franceinfo Culture
Commençant comme un thriller avec l’esquisse d’une enquête policière, l’intrigue part totalement ailleurs. Cet ailleurs, c’est la Mongolie que Quanan Wang filme avec contemplation, dans des plans qui exaltent une horizontalité à perte de vue, aux couleurs changeantes. Magnifique.
L'Obs
C’est à la fois philosophique et comique, réaliste et abstrait, clair et obscur. C’est beau.
Le Dauphiné Libéré
On suit ainsi la vie de cette « femme des steppes » (interprétée par une authentique bergère) dans un environnement certes rustre, mais magnifié par le directeur de la photographie français Aymerick Pilarski.
Le Figaro
Intrigue minimaliste et images sublimes font de La Femme des steppes, le Flic et l’Œuf, du Chinois Wang Quan’an, un film subtil sans subversion. En apparence.
Le Monde
Loin de céder au folklorisme, le film a, au contraire, cette beauté spontanée des œuvres qui s’inventent dans le déplacement, par contact avec des espaces, des mœurs, desconceptions qui la dépassent.
Paris Match
C'est visuellement sublime - la photo est signée d'un chef opérateur français, Aymeric Pilarski. Chaque plan est composé comme un tableau vivant que le passage du temps vient modifier au gré du souffle du vent et des changements de lumière.
Télérama
Dans la Mongolie sauvage, un portrait marquant de femme libre.
Cahiers du Cinéma
Ce qui commence quasiment comme une comédie policière prend dans la deuxième partie une dimension philosophique, en élaborant une réflexion su rla place de l’homme sur terre, son rapport à la nature, et la réincarnation des âmes.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur du "Mariage de Tuya" (2006) sublime les paysages désertiques pour nous raconter, avec plein de drôlerie et peu de mots, la rencontre entre deux solitudes que le hasard a fait se croiser.
Les Inrockuptibles
Le septième long métrage de Quan'an Wang n’est jamais tourné vers la résolution de l’énigme mais vers ces êtres, perdus dans la steppe mongole. Tout le film n’existe que pour filmer leurs rencontres et leurs rondes solitaires. [...] étrange beauté de western tranquille.
Première
Tout est un peu long certes et il faut parfois s'accrocher pour ne pas décrocher. Mais la beauté de la photographie et la puissance tranquille de la mise en scène battent en brèche ces réserves et donnent naissance à un film contemplatif assez envoûtant.