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Un visiteur
4,5
Publiée le 2 juin 2011
Le 1er film (pré)-punk de l'histoire! trash à a souhait.. J'adore Babs Johnson, j'adore sa mère et ses compagnons, ils m'éclatent! Provoc au plus haut point, pied-de-nez à toutes les conventions imaginables. Humour extrêmement décalé, mais pas que humour... Pas mal d'engagements sous-jacents. Comme l'a justement écrit quelqu'un il faut être cinéphile pour aimer ce film. Heureusement que Waters et d'autres ont osé ces choses, quand je pense que ce film a 40 ans!! Il n'y a que dans ces années 70 qu'on pouvait voir ça... Je crois que si ce film était fait de nos jours ce serait un scandale.. C'est dire l'esprit qu'il faut avoir pour regarder et aimer ce film.
Allez, je me lance. Je mets 5 étoiles à Pink Flamingos que j'ai vu il y a déjà pas mal de temps mais qui m'a tellement marqué que je peux encore aujourd'hui écrire une critique. Autant le dire de suite, il faut être cinéphile pour apprécier cette oeuvre et il faut surtout adapter son jugement au contexte. Le mouvement underground lancé par Waters était là pour choquer les jeunes spectateurs des 70's qui pensaient avoir tout vu et qui se rendirent compte très vite que les limites étaient loin d'être franchies. Pink Flamingos est moche, il pue et pullule de choses dégoûtantes un peu comme un scatophile qui vient de gerber. C'est mal filmé, mal joué, mal mis en scène, les musiques sont souvent mal assorties aux images. Waters s'efforce de ne pas faire d'effort et de faire le contraire de ce que le cinéma s'acharnait à faire. Parti de ce principe, on ne peut qu'apprécier le film quand on sait qu'il colle bien aux intérêts du réalisateur. (mais avec quoi il colle ???) Dans ce film, on peut voir une grosse femme moche dans un parc de bébé qui réclame des oeufs à manger "crus", une espèce de hippie dévoiler son trou de balle à ses amis conviés à une fête bizarre et Divine manger en vrai une crotte de chien au bord du trottoir. Avis aux âmes sensibles, préparer une bassine à côté de vous en cas de régurgitation.
John Waters était dans les 70 et restera encore sans doute longtemps le maitre absolu du mauvais gout sur grand écran. Ce film qui ne pourrait plus être réalisé de nos jours en étant le summum, il ne peut être considéré que comme une singularité particulièrement choquante. A présent, si vous savez à quoi vous attendre en le visionnant, que vous appréciez l’univers visuel du réalisateur et le charme incomparable de la plantureuse Divine, alors vous y verrez un film culte en matière d'humour subversif, autrement la nausée vous viendra vite à la vue de cet étalage de vulgarité gratuite et de gags scatophiles et incestueux assumés.
après avoir vue the rocky horror picture show j'ai commencé à m'interrésé au midnight movie . donc j'ai regardé pink flamingos ( pas en entier ) tellement c'était nul et sans humour. la réalisation est nul fin sérieu la moitié des scenes sont tournés sur un seul plan. bref à évité si possible. loin d'atteindre the rocky horror picture show. mais ce film mérrite quand même d'être un film.
Ca à très mal viellit, c'est mal réalisé, les effets sonores sont nazes et les effets spéciaux pourris mais que c'est bon. Du grand n'importe quoi, de la pure crasse dans cette "famille" totalement déjanté. Divine joue à merveille tout comme les autres acteurs qui sont géniaux dans leurs rôles. Certaines scènes sont quasi "culte" et l'histoire est intéréssante. Seul la dernière scène bien déguelasse est inutile mais bon on est plus à un truc crade prêt.
Je suis fan de John Waters, de Divine, c'est donc les yeux fermés que j'ai acheté le DVD de Pink Flamingos; je l'ai regardé hier soir.... Fichtre !!! Je ne sais pas à quoi ils tournaient à l'époque, mais ce film est une calamité, l'un des plus mauvais que j'ai jamais vus. Une torture à regarder jusqu'au bout. Etalage gratuit de perversions sexuelles en tous genres sans cohérence, personnages et scénario complètement débiles. Sans compter que les images ont extrêmement mal vieilli. Waters voulait peut-être faire un pied de nez aux hippies avec un film soi-disant underground; c'est raté, il se contente de jeter un pavé dans une mare de merde, ce qui de toute évidence en fait rire quelques-uns. Heureusement que Waters a vite relevé la barre.
Un étron cinématographique, je crois qu'il n'y a pas d'autre mot pour décrire ce machin. C'est moche, vulgaire, répugnant, ... la touche finale scatophile c'est un peu la cerise sur le gâteau. Les personnages sont plus dégoûtants les uns que les autres : la grosse truie qui s'empiffre d'oeufs, l'exibitionniste qui s'accroche une saucisse au bout du membre viril, ... Ils se vautrent dans la plus abjecte perversité qui soit. Berk, j'ai presque envie de vomir.
« Pink Flamingos » est un film répugnant notamment et surtout par sa dernière scène là c’est pour l’aspect visuel (bien que tout le film soit immonde visuellement parlant) mais il est aussi répugnant dans son sujet et surtout complètement débile (vouloir devenir déesse de la saleté, plus con ça n’existe pas à part les quelques navets qui existent sur terre du genre « Toxic Avenger » « l’humour » en moins). Les images sont moches voir horribles. Apologie du mauvais gout et de la bêtise. C’est trash et malheureusement culte puisque représente les Mignight Movies comme l’excellent « Rocky Horror Picture Show ».
Il faut le voir pour le croire ce film est un vrai choc visuel ou tous les termes inimaginables sont saborder avec une gratuités terrifiante , John Waters étais un vrai timbré avec l'époque , une vrai horreur fortement déconseillé à toutes âmes sensible , le comité de censure de l'époque n'a certainement pas du s'en remettre de ce chef-d'œuvre créer et réaliser par le prince de la peau de banane !
Une honte qu'est ce film. Aucun talent, John Waters n'invente rien, il se contente de provoquer. Dans son film, il nous montre ses fantasmes les plus odieux, avec des scènes abjectes sur les pires atrocitées, (séquestrations de femmes, consommation d'excrément, et autres scènes gerbantes). L'oeuvre de Waters est pour moi comparable aux experiences d'un enfant de trois ans qui découvre son corps pour la première fois, en se touchant par exemple les fesses. Jamais on a vu un long métrage aussi nullissime interprété par une bande de hippies dégénérés et réalisé par un réalisateur raté et fou, qui à profité de cette période peace and love pour sortir sa merde en salle.
Le non sense, l'inversion (il y citation de Lewis Caroll)alliés au mauvais gout poussé (littéralement ? ou cul inairement ?) dans ses derniers retranchements. C'est dans son genre une performance vraiment réussie. J'avais vu avant "Desperate living" qui est peut-être un peu plus élaboré... Il faut voir de toute façon.