AlloCiné
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Chronique complète :
spoiler: https://sunread26.wordpress.com/2020/10/04/2040-doc/
Extrait :
2040 est un documentaire écologique australien, réalisé par Damon Gameau, qui y joue son propre rôle. Se posant beaucoup de questions quant à l’avenir possible de sa fille, il part en voyage afin de découvrir des moyens existants de technologies, méthodes ou encore modes de vies plus qu’éco responsables.
Pour vous dire franchement est direct, j’ai trouvé ce documentaire extrêmement intéressant, certes, il n’aborde pas tout les points, mais il y en a tellement que c’est normal. Mais la manière dont il est tourné le rend accessible à tous, et montre que l’écologie est une préoccupation mondiale et qu’il faut que nos gouvernement et multinationales (en bref, ceux qui nous dirige) soit les premiers à faire le pas et que tant qu’ils ne le font pas, nous simples citoyens voyons nos options limités. Il n’y a pas qu’une partie qui doit faire des efforts, au contraire, tout le monde doit en faire, à sa propre échelle et ça beaucoup d’enfants l’ont déjà compris tandis que plusieurs adultes (ayant de grandes poches) préfèrent fermer les yeux…
Aujourd’hui, et je ne parlerais que de la France, on a plusieurs énergies renouvelables ainsi que des véhicules électrique, que je considère comme des véhicules moins polluant, mais pas entièrement écologique, pour la simple et bonne raison que la majorité de notre production électrique provient de centrale nucléaire et que les batteries ne sont pas recyclable… Le plus impressionnant dans ce documentaire, selon moi, est que les pays qui sont le plus écologiques sont loin d’être les pays riches ou en voie de développement, mais des pays pauvres, qui souhaitent améliorer leur situation comme ils peuvent.
[...]
spoiler: https://sunread26.wordpress.com/2020/10/04/2040-doc/
Extrait :
2040 est un documentaire écologique australien, réalisé par Damon Gameau, qui y joue son propre rôle. Se posant beaucoup de questions quant à l’avenir possible de sa fille, il part en voyage afin de découvrir des moyens existants de technologies, méthodes ou encore modes de vies plus qu’éco responsables.
Pour vous dire franchement est direct, j’ai trouvé ce documentaire extrêmement intéressant, certes, il n’aborde pas tout les points, mais il y en a tellement que c’est normal. Mais la manière dont il est tourné le rend accessible à tous, et montre que l’écologie est une préoccupation mondiale et qu’il faut que nos gouvernement et multinationales (en bref, ceux qui nous dirige) soit les premiers à faire le pas et que tant qu’ils ne le font pas, nous simples citoyens voyons nos options limités. Il n’y a pas qu’une partie qui doit faire des efforts, au contraire, tout le monde doit en faire, à sa propre échelle et ça beaucoup d’enfants l’ont déjà compris tandis que plusieurs adultes (ayant de grandes poches) préfèrent fermer les yeux…
Aujourd’hui, et je ne parlerais que de la France, on a plusieurs énergies renouvelables ainsi que des véhicules électrique, que je considère comme des véhicules moins polluant, mais pas entièrement écologique, pour la simple et bonne raison que la majorité de notre production électrique provient de centrale nucléaire et que les batteries ne sont pas recyclable… Le plus impressionnant dans ce documentaire, selon moi, est que les pays qui sont le plus écologiques sont loin d’être les pays riches ou en voie de développement, mais des pays pauvres, qui souhaitent améliorer leur situation comme ils peuvent.
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Un mauvais film qui tient plus de la publicité pour produits technologiques miracles (et leurs fières start-ups qui voyagent en jet autour du globe) que du documentaire écologique.
Rempli de happy clichés marketing et s'étouffant de naïveté moralisatrice jusqu'à la nausée, le film ne remet jamais en cause quoi que ce soit des choix économiques et politiques, ni même de nos comportements à l'ère de la société de consommation délétère. "Business as usual".
Rempli de happy clichés marketing et s'étouffant de naïveté moralisatrice jusqu'à la nausée, le film ne remet jamais en cause quoi que ce soit des choix économiques et politiques, ni même de nos comportements à l'ère de la société de consommation délétère. "Business as usual".
Damon Gameau a semble-t-il toujours un métro de retard. Lorsqu'il réalise Sugarland en 2014, il ne fait que reprendre le concept de Super Size Me réalisé par Morgan Spurlock en 2004 : s'infliger la malbouffe a haute dose pour mieux en montrer l'impact sur la santé. Certes, tandis que Spurlock ciblait McDo, Gameau vise plus large en démontrant les effets nocifs du sucre, y compris ceux qu'on ne voit pas ou qu'on imagine bons pour la santé. Et sa réalisation originale agrémentée de moult effets spéciaux rigolo était un vrai plus, suffisant à rendre son film intéressant.
Dans le cas de 2040, Gameau reprend le concept de Demain : chercher les solutions écologiques à travers le monde pour imaginer un avenir vivable et enviable. L'exercice de recherche de solutions du réalisateur australien est déjà beaucoup moins réussi et pertinent que celui de Cyril Dion. Surtout, il y a un concept de base que Gameau n'a pas compris. Il croit qu'on va sortir de la crise écologique avec plus de technologie. Dans le futur qu'il imagine pour nous les frigos ont des écrans à travers lesquels on peut parler, les voitures se conduisent toutes seules, les téléphones portables volent pour pouvoir faire des selfies sans perche à selfie et les écrans plats qui servent actuellement pour la publicité sont utilisés pour nous informer en temps réel si nous sommes de bons élèves concernant notre consommation d'énergie.
Depuis le récit plein d'espoir de Demain, les théoriciens de l'effondrement ont été suffisamment entendus pour qu'une personne un tant soit peu informée sache que continuer à puiser dans les matières premières de la terre pour continuer à développer un monde toujours plus technologique et énergivore est illusoire. En ce sens, on hésite entre conclure que Gameau est au service des lobbys de l'industrie et de l'économie, ou juste leur idiot utile. Quoi qu'il en soit on ne peut que souhaiter que son film soit vu par le moins de monde possible, au risque de continuer à faire croire aux gens que la technologie nous sauvera de tout et que nous pouvons donc continuer à vivre en dépit du bon sens avec toujours plus de gadgets inutiles.
Dans le cas de 2040, Gameau reprend le concept de Demain : chercher les solutions écologiques à travers le monde pour imaginer un avenir vivable et enviable. L'exercice de recherche de solutions du réalisateur australien est déjà beaucoup moins réussi et pertinent que celui de Cyril Dion. Surtout, il y a un concept de base que Gameau n'a pas compris. Il croit qu'on va sortir de la crise écologique avec plus de technologie. Dans le futur qu'il imagine pour nous les frigos ont des écrans à travers lesquels on peut parler, les voitures se conduisent toutes seules, les téléphones portables volent pour pouvoir faire des selfies sans perche à selfie et les écrans plats qui servent actuellement pour la publicité sont utilisés pour nous informer en temps réel si nous sommes de bons élèves concernant notre consommation d'énergie.
Depuis le récit plein d'espoir de Demain, les théoriciens de l'effondrement ont été suffisamment entendus pour qu'une personne un tant soit peu informée sache que continuer à puiser dans les matières premières de la terre pour continuer à développer un monde toujours plus technologique et énergivore est illusoire. En ce sens, on hésite entre conclure que Gameau est au service des lobbys de l'industrie et de l'économie, ou juste leur idiot utile. Quoi qu'il en soit on ne peut que souhaiter que son film soit vu par le moins de monde possible, au risque de continuer à faire croire aux gens que la technologie nous sauvera de tout et que nous pouvons donc continuer à vivre en dépit du bon sens avec toujours plus de gadgets inutiles.
Yetcha
Intéressant de voir un documentaire sur l'avenir qui opte pour un regard positif et avance des solutions concrètes, qui sont pour certaines déjà mises en œuvre. Cela change des documentaires catastrophiques et permet de nous dire qu'on peut faire changer les choses, qu'il n'est pas trop tard si nous agissons MAINTENANT pour l'avenir de tous.
Voici le film que Donald Trump n’a pas dû voir… D’ailleurs, il n’est jamais sorti au Cinéma aux USA ! Il s’agit d’un documentaires écologiste qui montre des initiatives locales qui ont permis en 2019 de réduire l’emprunte carbone pour lutter contre le réchauffement climatique et qui pourraient, si elles étaient suivies de manière massive, changer le monde en 2040, d’où le titre du film. Le rythme est lent par moments mais les effets spéciaux sont sympathiques. L’auteur est très didactique dans sa présentation, grâce à des expériences très parlantes et à sa représentation de la théorie du « Donut », et on apprend beaucoup de concepts novateurs, sur ce qui se passe dans d’autres pays et que l’on devrait copier (les réseaux électriques locaux, la permaculture, etc.) si les lobbys en place n’étaient pas si puissants dans nos pays industrialisés. Ce n’est pas le meilleur documentaire mais il faut l’avoir vu pour comprendre qu’un futur différent est possible et que l’on est tous acteurs de ce changement et de cette « régénération ».
Comme le souligne avec soin ce documentaire nous pouvons faire quelque chose à propos du désastre environnemental que nous avons créé en mettant en œuvre le changement à un niveau personnel et ne pas attendre que les négateurs changent un jour ce qu'ils ne feront pas. Ce film montre comment nous pouvons commencer à changer par nous-mêmes et finalement rendre les parties négatives inutiles en les balayant et en cessant simplement de leur prêter attention. Ils essaient seulement de retarder l'inévitable dans une dernière tentative de faire de l'argent aux dépens du monde qu'ils habitent eux-mêmes. Pour la première fois depuis longtemps, j'ai quitté un film en pleine forme. Agissez maintenant n'attendez pas les autres et faites voir à tous ceux que vous connaissez ce qui je l'espère sera le premier d'un flot d'arguments pour construire un monde meilleur sans attendre que les autres changent ce qui n'arrivera jamais...
Une pédagogie extraordinaire et inventive au service de la planète et de ses habitants vivants ou à venir
Tout existe et comme on dit souvent tout est dans la nature !!! maintenant il faut une volonté commune de changement et que les gens prennent conscience que nous signons notre arrêt de mort dans un avenir pas si lointain si nous ne prenons pas conscience de ce que l'activité humaine a créée depuis toutes ces décennies ou l'on a épuise les ressources de la terre sans vergogne. Il faut savoir une chose, c'est que l'homme passera mais que la terre continuera, elle, à tourner... Le choix à faire c'est maintenant et ce film montre que l'on a tout ce qu'il faut pour CHANGER. Faut-il encore que l'Homme adopte une attitude responsable et moins égoïste ça c'est loin d'être gagné!!!!
Nathalie R
Le fond de 2040 invite à la réflexion bien que l'on aurait envie parfois d'aller plus loin, d'en apprendre plus, alors que la forme n'apporte pas grand chose à part enjoliver son sujet pour le rendre plus (trop ?) digeste. Ce documentaire grand public offre une vision d'espoir avec une foi infaillible en l'être humain et son pouvoir d'entraide. Chacun en retiendra ce qu'il voudra, pour moi cette vision trop optimiste des progrès écologiques qu'on nous présente de manière assez naïve, bien que claire, est plus adaptée à un jeune public qu'un public adulte qui en attend plus sur la manière d'appliquer globalement les solutions présentées.
Film Incroyable durant lequel nous apprenons une multitude de choses sur la Terre et l'environnement ! Ce sujet qui nous envahie tant en ce moment. On ressort plein d'espoir en ayant envie de faire des actions écologiques et changer le monde pour sauver la planète !!! Je ne peux que conseiller ce film pour les grands et les petits.
Yves G.
Il y a deux ans, l'acteur-producteur-réalisateur australien Damon Gameau avait suivi un régime pauvre en graisse et riche en sucres à base de barres chocolatées et de smoothies. Le résultat après soixante jours : un surpoids de onze kilos, des boutons, une humeur en dents de scie et un documentaire distrayant sur les méfaits d'une alimentation déséquilibrée. Deux ans après "Sugarland", Damon Gameau revient sur les écrans avec un documentaire similaire dans la forme sinon dans l'objet.
"2040" est une utopie optimiste. À rebours des discours apocalyptiques qui égrènent les mille et un fléaux qui ne manqueront pas de s'abattre sur notre malheureuse planète si nous ne renversons pas sa dérive anthropocène, "2040" se veut positif. Il ne s'agit pas de se lamenter sur les problèmes, mais de se réjouir des solutions qui existent déjà et qui pourraient, si elles était mises en oeuvre, rendre notre futur meilleur.
"2040" est construit selon le même schéma que "Demain", le documentaire écolo de Cyril Dion et Mélanie Laurent qui avait, en 2016, remporté un succès mérité. Damon Gameau fait le tour du monde pour chercher, secteur par secteur (énergie, transport, agriculture...) des solutions concrètes aux défis posés par la dégradation de l'environnement. Il les trouve et il les décrit : énergie solaire, véhicules électriques alternatifs, permaculture marine, agroforesterie… Damon Gameau imagine pour chacune leur application et leurs bénéfices à vingt ans.
"2040" se présente sous la forme d'une lettre ouverte écrite par Damon Gameau à sa fille de quatre ans, Velvet. C'est l'occasion de séquences familiales attendrissantes autour de la charmante fillette - que la fillette reverra probablement avec une moue renfrognée dans une dizaine d'années. C'est surtout l'occasion de rabâcher une formule mille fois répétée sur le défi intergénérationnel lancé à nos générations de consommateurs inconscients : "Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants".
"2040" se présente comme un documentaire pédagogique et volontiers ludique où le réalisateur se met en scène dans une succession de mini-reportages. Ils sont tous construits selon le même schéma répétitif : 1. La planète est en danger 2. Les solutions existent. 3. À nous de les mettre en oeuvre sans tarder. Une approche instructive, stimulante… mais un brin naïve.
"2040" est une utopie optimiste. À rebours des discours apocalyptiques qui égrènent les mille et un fléaux qui ne manqueront pas de s'abattre sur notre malheureuse planète si nous ne renversons pas sa dérive anthropocène, "2040" se veut positif. Il ne s'agit pas de se lamenter sur les problèmes, mais de se réjouir des solutions qui existent déjà et qui pourraient, si elles était mises en oeuvre, rendre notre futur meilleur.
"2040" est construit selon le même schéma que "Demain", le documentaire écolo de Cyril Dion et Mélanie Laurent qui avait, en 2016, remporté un succès mérité. Damon Gameau fait le tour du monde pour chercher, secteur par secteur (énergie, transport, agriculture...) des solutions concrètes aux défis posés par la dégradation de l'environnement. Il les trouve et il les décrit : énergie solaire, véhicules électriques alternatifs, permaculture marine, agroforesterie… Damon Gameau imagine pour chacune leur application et leurs bénéfices à vingt ans.
"2040" se présente sous la forme d'une lettre ouverte écrite par Damon Gameau à sa fille de quatre ans, Velvet. C'est l'occasion de séquences familiales attendrissantes autour de la charmante fillette - que la fillette reverra probablement avec une moue renfrognée dans une dizaine d'années. C'est surtout l'occasion de rabâcher une formule mille fois répétée sur le défi intergénérationnel lancé à nos générations de consommateurs inconscients : "Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants".
"2040" se présente comme un documentaire pédagogique et volontiers ludique où le réalisateur se met en scène dans une succession de mini-reportages. Ils sont tous construits selon le même schéma répétitif : 1. La planète est en danger 2. Les solutions existent. 3. À nous de les mettre en oeuvre sans tarder. Une approche instructive, stimulante… mais un brin naïve.
Juger ce film en tant qu'oeuvre cinématographique avec les critères habituels (m'a t il plu, la réalisation est-elle osée etc...) révèle un certain manque d'humilité je trouve.
C'est évidemment le propos qu'on analyse derrière et ca fait beaucoup de bien de voir un discours aussi positif qui donne envie de s'y mettre de gaieté de coeur. Les sceptiques habituels peuvent passer leur chemin
C'est évidemment le propos qu'on analyse derrière et ca fait beaucoup de bien de voir un discours aussi positif qui donne envie de s'y mettre de gaieté de coeur. Les sceptiques habituels peuvent passer leur chemin
Un documentaire qui libère l'esprit et le coeur, nous montrant que des solutions sont à portée de main. Je ne peux que féliciter et encourager la démarche environnementale, écologique et humaine. Bravo !
🎬 RENGER 📼
Après Sugarland (2018) qui dénonçait les dérives de l’industrie agroalimentaire, Damon Gameau revient avec un nouveau documentaire qui cette fois-ci, s’interroge sur l’avenir de nos enfants et plus particulièrement, sur ce que l’avenir leur réservera à l’horizon 2040.
Aux quatre coins du globe, le réalisateur s’intéresse aux alternatives déjà existantes (à petite échelle) pour la nourriture, l’énergie et l’éducation. A grands renforts de vulgarisations scientifiques avec l’aide d’experts (et des retours positifs rencontrés au Bangladesh, en Suède, …), le réalisateur donne de sa personne et nous projette dans le futur pour un monde meilleur.
L’idée était intéressante, mais le film n’en reste pas moins naïf par moment. Le trop plein d’optimisme et d’idéalisme nous laisse sur notre faim. De sa part, on en attendait mieux.
http://bit.ly/CinephileNostalGeek
Aux quatre coins du globe, le réalisateur s’intéresse aux alternatives déjà existantes (à petite échelle) pour la nourriture, l’énergie et l’éducation. A grands renforts de vulgarisations scientifiques avec l’aide d’experts (et des retours positifs rencontrés au Bangladesh, en Suède, …), le réalisateur donne de sa personne et nous projette dans le futur pour un monde meilleur.
L’idée était intéressante, mais le film n’en reste pas moins naïf par moment. Le trop plein d’optimisme et d’idéalisme nous laisse sur notre faim. De sa part, on en attendait mieux.
http://bit.ly/CinephileNostalGeek
Léa A
Idéaliste au vu des réalités géopolitiques, le film met en avant les solutions qui existent déjà pour sauver la planète, et ça redonne espoir.
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