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Michael
20 abonnés
455 critiques
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0,5
Publiée le 10 février 2022
Adaptation de deux romans de Lewis Caroll Alice aux payes des merveilles est à mon sens le plus mauvais des disney. Le film suit les différentes rencontres d'Alice, sans qu'il n'y ait de véritable enjeu , les personnages sont tous plus farfelus les uns que les autres, mais on ne parvient à s'attacher à aucun d'entre eux; Certains sont même effrayant pour un jeune public, telle la reine de coeur, qui a l'obsession de trancher des têtes. Il n'y a aucune magie dans le film qui est juste un délire psychédélique. La fin ou l'on apprend que tout cela était un rêve est surprenante, on aurait plutôt cru qu'Alice étant sous l'emprise de substances psychoactives
Les studios Disney, après avoir réussi le pari fou de réaliser un long métrage d’animation avec "Blanche-Neige et les sept nains", nous avaient habitués à de véritables contes de fées, de belles histoires de princes et princesses, et à de fabuleuses épopées animales. Eh bien cette fois, l’oncle Walt a décidé de prendre tout le monde à contre-pied en ayant pour projet le très controversé "Alice au pays des merveilles". A ce jour, ça doit être toujours l’œuvre la plus déjantée des studios disneyens. D’ailleurs, le film n’eut pas le succès escompté lors de sa sortie sur les grands écrans, ne trouvant alors son public qu’auprès des étudiants suivant la vague hippie des années 60. Et je pense réellement que ce n’est pas par hasard, car il faut être un peu drogué pour arriver à suivre ce film ! Et si vous ne l’êtes pas, vous aurez l’impression de l’être tellement ça part dans tous les sens et dans le grand n’importe quoi. Mais… eh oui il y a un mais, peut-on vraiment reprocher cette réalisation qui ne nous fait ni plus moins suivre le rêve d’une petite fille ? Tout le monde sait que les rêves, parfois… c’est justement du grand n’importe quoi. Je reconnais que je n’ai jamais aimé personnellement ce film, je l’ai même carrément détesté. J’ai tout de même tenu à le revoir avec des yeux de grand, et je ne suis pas plus avancé. Je le déteste toujours, peut-être un chouia moins, mais j’ai fatalement aujourd’hui une approche différente qui me vaut cet avis, et qui me pousse à noter ce classique à 2,5 au lieu de 0,5. Je préfère largement l’adaptation portant le même nom qui a été faite par Tim Burton.
L'un des plus grands films de drogués de l'histoire du ciné. On a l'impression d'être les témoins du trip psychédélique des réalisateurs et pourtant impossible de ne pas être emballé par ce film. Un enchantement de tous les instants, chaque scène étant devenue culte et chaque personnage inoubliable. Incroyablement politique (avec l'épisode de la reine de coeur qui présente tous les prémices de la dictature) et en avance sur son temps, ce Disney là (qui avait pourtant déçu le maitre, qui reprochait au film son absence de sentimentalisme) fait preuve d'une audace incroyable et se paie le luxe assez inimaginable pour un Disney d'éviter en beauté une happy end et d'instaurer une fin on ne peut plus envoutante. Une réussite, et un des meilleurs dessins animé de l'histoire du cinéma.
Il est toujours difficile de trouver les mots en présence d'un chef d'oeuvre. Vénéré par Dali qui le considérait comme le seul film sur-réaliste, Alice est à la fois une oeuvre exigeante et jubilatoire, mais également un divertissement idéal pour les enfants. Inoubliable!
L’œuvre la plus bizarre et délirante des Grands Classiques Disney est bien l’adaptation plus ou moins fidèle du roman de Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles. Alors qu'elle travaille à ses leçons, Alice se laisse entrainer par le sommeil et tombe dans une profonde rêverie. Poursuivant un lapin très en retard elle accède au pays des merveilles où une suite d'aventures rocambolesques et insolites l'attendent. Entre personnages écervelés, couleurs psychédéliques et dialogues complètement barrés, le film d’animation révèle une histoire insensé et irréaliste pour le plus grand bonheur de notre imagination. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
L'esprit non-sensique de l'incontournable roman-trip de Lewis Carroll est ici totalement respecté ! Près de 6 décades avant la bérézina burtonienne les studios Disney livraient la production la plus pittoresque de leur répertoire animé. Alice in Wonderland version 1951 est à prendre comme une longue digression visuelle et auditive, empruntant à bien des égards la structure d'un rêve : entre glissements et jeux d'échos l'épopée d'Alice ne répond qu'à cette logique onirique, ne marchant qu'à grands coups d'incongruités à se faire pâmer Sigmund tout en actualisant les incessants calembours carrolliens à renforts de jeux de mots cocasses et enfantins. Le film est - pour un Walt Disney - extraordinairement complexe et surtout complètement déluré : coloré, mouvementé, envahissant, provocateur ou encore tourmenté, permissif et concentré Alice in Wonderland prouve que la quantité des effets est parfois un gage de qualité : c'est du reste l'un des dessins animés les plus mémorables de Disney, peuplé de créatures cultissimes et absurdes, sans la moindre baisse de rythme ni d'inventivité. Et même si l'écriture de Lewis Carroll est moins traduite littéralement qu'adapté malicieusement pour un public plus large ( les petits, of course...) ce Alice in Wonderland reste peut-être LA représentation du rêve sur grand écran. Classique, et pas qu'un peu !
Soixante ans après sa sortie, et pour de nombreuses années encore, Alice au pays des merveilles demeure un film inouï et insensé. Une ode à la poésie et à l'imagination de l'enfance, qui, année après année, donne une leçon d'inventivité et d'insouciance. Complètement folle, cette oeuvre frôle le génie. A voir et à revoir encore et encore avec l'espoir de voir passer un petit lapin blanc...
Les studios Disney adaptent le roman de Lewis Carroll et signent un dessin animé déjanté et coloré à l'animation sublime, aux personnages loufoques et inquiétants, un univers étrange et sombre, mais surtout autant de moments inoubliables. Un excellent moment.
Alice au pays des merveilles (1951) est l’adaptation du roman éponyme et de sa suite : De l'autre côté du miroir, tous deux écrit par Lewis Carroll entre 1865 & 1871. Cette adaptation est une version fidèle des romans, une version psychédélique et menée tambour battant, à tel point que les70 minutes qui composent ce film nous en paraissent moins tant l’œuvre nous captive et nous tient en haleine jusqu’au dénouement final. Un film particulier, à tel point que l’on ne sait jamais si l’on se trouve dans la réalité ou dans un rêve, un trip hallucinatoire dans lequel on fait tout un tas de rencontres, effrayantes, inquiétantes, énigmatiques, drôles, adorables, stupéfiantes, et j’en passe. On se souviendra longtemps du lapin blanc toujours en retard (remarquablement doublé par Guy Pierauld dans la seconde version de 1974), Le Chat de Cheshire, Le Chapelier Toqué, Le Lièvre de Mars, La Chenille et tant d’autres. Entre les différentes chansons et les diverses situations incongrues, les studios Disney ont réalisés là une œuvre particulière, marquante, mais très réussie.
C'est un de mes Disney préférés. Pour l'ambiance, mais pas seulement...en fait il y a quelque chose de "vivant", on est pris dans l'histoire malgré soi et on suit les aventures qui arrivent à Alice avec plaisir, même au bout de la 30ième fois. Car, en plus l'ambiance est sympa et la musique de fond fait que l'on sent que c'est un chef-d'oeuvre de chez Disney, une réelle superproduction avec le côté magique qui va avec. Plein de magie et d'imagination, ce film m'avait émerveillé quand j'était gosse, maintenant que je vais bientôt devenir majeur, il me fait toujours autant voyager. Une histoire et des personnages complément délirants! Plein de scènes culte : le fameux non-anniversaire, les roses blanches peintes en rouge, le fameux lapin blanc en retard, les fleurs qui chantent.... C'est bien plus qu'un dessin animé. En plus de la beauté esthétique et féerique de l'oeuvre, de même que de l'humour subtil omniprésent, on se voit proposer une réflexion d'ordre philosophique sur le réel et le rationnel. Ça n'a pas du tout vieilli bien que ça ait bientôt 60 ans ! LA meilleure version. Pas besoin d'en parler plus longtemps, à regarder et re-regarder.