Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Une œuvre admirable et déchirante, qui vous éblouit et vous secoue comme un chagrin terrible et vivifiant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Bastien Gens
On n’oublie pas facilement les visages d’Au crépuscule.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Millimétrée, au cordeau, la mise en scène subjugue. Orfévrée dans les teintes gris-vert, évidemment crépusculaire, la photo nous rappelle que le peintre préféré de Sharūnas Bartas est Andrew Wyeth (...) La mélancolie slave est chez Bartas une esthétique et cette esthétique, une ascèse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Plus la résistance des protagonistes est désespérée, plus le récit s’éclaire et s’étoffe d’une belle amplitude romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Luc Chessel
Bartas n’a rien perdu de cet art, il a toujours le secret, même quand il le rabat sur l’histoire et ses thèses, ses douleurs spécifiques, collectives. Son art de l’individu (toute sa filmographie), ou du quasi-portrait des presque individus, du fragment de corps qui regarde, qui écoute et qui peut-être pense, il le met au service du drame d’un peuple, le sien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Sans manichéisme ni idéalisation (l’économie de survie interdit l’héroïsme ou la franche saloperie), l’œuvre livre une chronique glaçante des derniers feux de la répression avant liquidation.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Ce qui est sublime dans le cinéma de Sharunas Bartas, ce qui le distingue des habituels misanthropes, c’est qu’il suffit d’un plan pour renverser la bassesse en grandeur et tenir dans le cadre la complexité du monde et des êtres.
Télérama
par Jacques Morice
Ce sont des combattants épuisés, acculés. Sharunas Bartas les montre comme des gueux faméliques aux yeux perçants, des morts en sursis, à peine héroïques (...). N’empêche, son film a valeur de tombeau pour la plupart de ces sacrifiés, hommes et femmes qui ont résisté, de manière active ou passive.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
On peut se lasser d’un récit au rythme parfois lent, mais pas de ces lumières, de ces ombres, qui rendent ce cinéma littéralement magique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La mort et le danger rôdent pourtant tout du long, le cinéaste déployant une atmosphère oppressante au fil de ses plans fixes. Il prend son temps, quitte à traîner en longueur. C'est aussi un récit puissant qui touche quelque chose d'universel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Si la ligne narrative d’Au crépuscule épouse celle d’un film de résistance traditionnel, la caméra de Bartas se veut plus abstraite et scrute essentiellement les atmosphères dévitalisées des lieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Le portrait du protagoniste – son enfance brimée par les conflits et les violences dont il est le témoin muet – reste l’aspect le plus touchant du film, mettant en évidence le talent du cinéaste à scruter le visage humain, avec une qualité picturale qui imprègne également les plans de nature.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sharunas Bartas confronte son cinéma, d'ordinaire intime et méditatif, à un sujet historique plus vaste, qu'il passe au tami de ses longues prises flottantes imbibées de demi-jours fragiles.
Première
par Thierry Chèze
Un cinéma poseur à force de ne jamais se renouveler et qui finit par étouffer son récit, comme si tendre la main aux spectateurs dans un simple geste pédagogique représentait pour lui l’Antéchrist absolu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre admirable et déchirante, qui vous éblouit et vous secoue comme un chagrin terrible et vivifiant.
Critikat.com
On n’oublie pas facilement les visages d’Au crépuscule.
Culturopoing.com
Millimétrée, au cordeau, la mise en scène subjugue. Orfévrée dans les teintes gris-vert, évidemment crépusculaire, la photo nous rappelle que le peintre préféré de Sharūnas Bartas est Andrew Wyeth (...) La mélancolie slave est chez Bartas une esthétique et cette esthétique, une ascèse.
Le Figaro
Plus la résistance des protagonistes est désespérée, plus le récit s’éclaire et s’étoffe d’une belle amplitude romanesque.
Libération
Bartas n’a rien perdu de cet art, il a toujours le secret, même quand il le rabat sur l’histoire et ses thèses, ses douleurs spécifiques, collectives. Son art de l’individu (toute sa filmographie), ou du quasi-portrait des presque individus, du fragment de corps qui regarde, qui écoute et qui peut-être pense, il le met au service du drame d’un peuple, le sien.
Positif
Sans manichéisme ni idéalisation (l’économie de survie interdit l’héroïsme ou la franche saloperie), l’œuvre livre une chronique glaçante des derniers feux de la répression avant liquidation.
Transfuge
Ce qui est sublime dans le cinéma de Sharunas Bartas, ce qui le distingue des habituels misanthropes, c’est qu’il suffit d’un plan pour renverser la bassesse en grandeur et tenir dans le cadre la complexité du monde et des êtres.
Télérama
Ce sont des combattants épuisés, acculés. Sharunas Bartas les montre comme des gueux faméliques aux yeux perçants, des morts en sursis, à peine héroïques (...). N’empêche, son film a valeur de tombeau pour la plupart de ces sacrifiés, hommes et femmes qui ont résisté, de manière active ou passive.
L'Obs
On peut se lasser d’un récit au rythme parfois lent, mais pas de ces lumières, de ces ombres, qui rendent ce cinéma littéralement magique.
Le Journal du Dimanche
La mort et le danger rôdent pourtant tout du long, le cinéaste déployant une atmosphère oppressante au fil de ses plans fixes. Il prend son temps, quitte à traîner en longueur. C'est aussi un récit puissant qui touche quelque chose d'universel.
Les Inrockuptibles
Si la ligne narrative d’Au crépuscule épouse celle d’un film de résistance traditionnel, la caméra de Bartas se veut plus abstraite et scrute essentiellement les atmosphères dévitalisées des lieux.
Cahiers du Cinéma
Le portrait du protagoniste – son enfance brimée par les conflits et les violences dont il est le témoin muet – reste l’aspect le plus touchant du film, mettant en évidence le talent du cinéaste à scruter le visage humain, avec une qualité picturale qui imprègne également les plans de nature.
Le Monde
Sharunas Bartas confronte son cinéma, d'ordinaire intime et méditatif, à un sujet historique plus vaste, qu'il passe au tami de ses longues prises flottantes imbibées de demi-jours fragiles.
Première
Un cinéma poseur à force de ne jamais se renouveler et qui finit par étouffer son récit, comme si tendre la main aux spectateurs dans un simple geste pédagogique représentait pour lui l’Antéchrist absolu.