Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Positif
par Olivier De Bruyn
Avec un sens de l’épure discrètement impressionnant, un humour à toute épreuve et, surtout, une inspiration constante dans sa mise en scène, Alaa Eddine Aljem signe une fable burlesque qui stigmatise avec une même impertinence l’obscurantisme idéologique et les névroses mercantiles.
Transfuge
par Serge Kaganski
Faire rire des travers de la société marocaine sans déclencher les foudres d’autorités toujours promptes à censurer, voilà bien le signe d’un cinéaste aussi subtil dans le maniement de l’humour que dans celui de la critique sociale.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le premier long métrage d’Alaa Eddine Aljem détonne et laisse entrevoir une belle promesse.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le Miracle du Saint Inconnu est une fable est comme un film des frères Coen qui aurait été revisité à la sauce marocaine. Mais ce n’est pas parce que c’est enfantin, que ce n’est pas diablement malin.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Un très joli premier film.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Cette comédie marocaine séduit par son ton pince-sans-rire, ses gags muets rappelant parfois Chaplin ou Tati.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une fable burlesque joliment ciselée.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Le Miracle du Saint Inconnu" est l'occasion de décrire avec humour un petit peuple rigolard et farceur (...) et quelques bras cassés assez désopilants, (...) puisant à la fois son humour dans le pince-sans-rire et l’autodérision. (...) Un très joli premier film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Si les péripéties décrites par le Miracle du saint inconnu [...] sont résolument loufoques, la mise en scène, elle, se montre tout en retenue, pleine de silences et de temps morts qui soulignent le pur comique de situations reposant, non pas sur le ridicule de chacun [...], mais sur le recul offert par des respirations qui permettent d’envisager la folie avec sagesse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Avec son sens de l’épure et son humour à toute épreuve, Alaa Eddine Aljem signe une petite merveille burlesque qui stigmatise avec une même impertinence l’obscurantisme et les névroses mercantiles. Un cinéaste à suivre de très près.
Ouest France
par Thierry Chèze
Il y a du Elia Suleiman dans ce premier long-métrage du marocain Alaa Eddine Aljem. Ce même goût pour l'absurde et cette même capacité à en parsemer son récit pour apporter de la légèreté dans sa profondeur.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un premier film au burlesque subtil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Dans ce Clochemerle marocain règne une folie douce, une bienveillance touchante. Le vrai miracle du titre, c’est de s’attaquer à un sujet hautement explosif – la religion – et de s’en sortir avec le sourire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec ce premier long-métrage présenté à Cannes, Alaa Eddine Aljem, un jeune cinéaste, a su composer une œuvre burlesque au style affirmé qui porte un regard tendre et comique sur la foi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Un miracle qui risque de passer inaperçu malgré une distribution convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un peu répétitif, mais très plaisant.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Si cette fable désopilante sonne aussi bien, c’est d’abord grâce à un récit ciselé, orchestrant la répétition de scènes aux infimes variations, et au comique qui va crescendo.
Première
par Thierry Chèze
En dépit de quelques coups de mou, cette fable burlesque séduit par sa façon malicieuse d’aborder les questions de croyance et de foi à mille lieues des débats survoltés et stériles des chaînes d’info. Le tout avec un art maîtrisé du comique de situation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Ce premier film est une comédie au tempo kaurismäkien dans le désert marocain. Le réalisateur y caricature un lieu de pèlerinage, les habitudes et les superstitions bien ancrées, à travers de multiples personnages, mais le tout a un petit goût d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
Avec un sens de l’épure discrètement impressionnant, un humour à toute épreuve et, surtout, une inspiration constante dans sa mise en scène, Alaa Eddine Aljem signe une fable burlesque qui stigmatise avec une même impertinence l’obscurantisme idéologique et les névroses mercantiles.
Transfuge
Faire rire des travers de la société marocaine sans déclencher les foudres d’autorités toujours promptes à censurer, voilà bien le signe d’un cinéaste aussi subtil dans le maniement de l’humour que dans celui de la critique sociale.
Cahiers du Cinéma
Le premier long métrage d’Alaa Eddine Aljem détonne et laisse entrevoir une belle promesse.
CinemaTeaser
Le Miracle du Saint Inconnu est une fable est comme un film des frères Coen qui aurait été revisité à la sauce marocaine. Mais ce n’est pas parce que c’est enfantin, que ce n’est pas diablement malin.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un très joli premier film.
Femme Actuelle
Cette comédie marocaine séduit par son ton pince-sans-rire, ses gags muets rappelant parfois Chaplin ou Tati.
Le Dauphiné Libéré
Une fable burlesque joliment ciselée.
Les Inrockuptibles
"Le Miracle du Saint Inconnu" est l'occasion de décrire avec humour un petit peuple rigolard et farceur (...) et quelques bras cassés assez désopilants, (...) puisant à la fois son humour dans le pince-sans-rire et l’autodérision. (...) Un très joli premier film.
Libération
Si les péripéties décrites par le Miracle du saint inconnu [...] sont résolument loufoques, la mise en scène, elle, se montre tout en retenue, pleine de silences et de temps morts qui soulignent le pur comique de situations reposant, non pas sur le ridicule de chacun [...], mais sur le recul offert par des respirations qui permettent d’envisager la folie avec sagesse.
Marianne
Avec son sens de l’épure et son humour à toute épreuve, Alaa Eddine Aljem signe une petite merveille burlesque qui stigmatise avec une même impertinence l’obscurantisme et les névroses mercantiles. Un cinéaste à suivre de très près.
Ouest France
Il y a du Elia Suleiman dans ce premier long-métrage du marocain Alaa Eddine Aljem. Ce même goût pour l'absurde et cette même capacité à en parsemer son récit pour apporter de la légèreté dans sa profondeur.
Télérama
Un premier film au burlesque subtil.
L'Obs
Dans ce Clochemerle marocain règne une folie douce, une bienveillance touchante. Le vrai miracle du titre, c’est de s’attaquer à un sujet hautement explosif – la religion – et de s’en sortir avec le sourire.
La Croix
Avec ce premier long-métrage présenté à Cannes, Alaa Eddine Aljem, un jeune cinéaste, a su composer une œuvre burlesque au style affirmé qui porte un regard tendre et comique sur la foi.
Le Figaro
Un miracle qui risque de passer inaperçu malgré une distribution convaincante.
Le Journal du Dimanche
Un peu répétitif, mais très plaisant.
Le Monde
Si cette fable désopilante sonne aussi bien, c’est d’abord grâce à un récit ciselé, orchestrant la répétition de scènes aux infimes variations, et au comique qui va crescendo.
Première
En dépit de quelques coups de mou, cette fable burlesque séduit par sa façon malicieuse d’aborder les questions de croyance et de foi à mille lieues des débats survoltés et stériles des chaînes d’info. Le tout avec un art maîtrisé du comique de situation.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier film est une comédie au tempo kaurismäkien dans le désert marocain. Le réalisateur y caricature un lieu de pèlerinage, les habitudes et les superstitions bien ancrées, à travers de multiples personnages, mais le tout a un petit goût d’inachevé.