Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Marie Claire
par Emily Barnett
Audrey Estrougo signe l'un des meilleurs films biographiques de l'année, puissant sans jamais être tapageur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Théo Christine et Sandor Funtek, éblouissants, incarnent respectivement JoeyStarr et Kool Shen dans ce film passionnant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Audrey Estrougo signe son long-métrage le plus abouti avec cette fresque énergique sur les débuts de NTM.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par Chloé Ronchin
Supervisé par NTM eux-mêmes, ce film musical, qui met l’accent sur la forte complicité et complémentarité de ces monstres sacrés, se révèle à la fois puissant et tendre, et ne manque pas de faire rire.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
À l’affiche, deux jeunes acteurs bourrés d’énergie, au cœur et au charisme gros comme ça : Théo Christine et Sandor Funtek, impecs, se donnent à fond pour rejouer ce que fut l’incroyable déflagration NTM sur la scène musicale française des années 80.
Elle
par Florence Trédez
Mais Suprêmes, c'est aussi le récit extraordinaire d'un duo aux personnalités aussi dissemblables que possible.
Femme Actuelle
par La Rédaction
De leur première maquette à leur premier Zénith, on suit l’ascension un peu chaotique de Joey Starr et Kool Shen, alias les Suprêmes NTM. On comprend mieux leur alchimie, leurs fêlures et leur soif de reconnaissance. En prime, quelques répliques très drôles agrémentent le film.
Franceinfo Culture
par Laure Narlian
Ce film réjouissant comblera aussi bien ceux qui ont assisté à cette page essentielle du hip-hop que ceux qui n’y étaient pas.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un film en cache souvent un autre. Suprêmes , c’est l’histoire de NTM, pilier du hip-hop français des années 90, mais c’est aussi l’histoire douloureuse de JoeyStarr.
Le Figaro
par Olivier Nuc
L’énergie et l’enthousiasme du film sont communicatifs. Une véritable épopée, riche en personnalités hautes en couleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Audrey Estrougo restitue avec justesse l'émergence du groupe de rap emblématique des années 1990.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Il faut bien reconnaître l’intensité et les épaules de ce film qui se limite aux premières années de carrière du groupe et qu’on aurait, on l’avoue volontiers, voulu voir se poursuivre à l’apparition du générique de fin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Excellente surprise, Suprêmes, écrit en collaboration avec le duo Joey Starr-Kool Shen, échappe à la plupart des pièges hagiographiques qui lui tendaient les bras et se distingue par sa sobriété scénaristique et formelle.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Olivier De Bruyn
Un film aussi convaincant dans les scènes de répétitions et de concerts que dans les séquences plus intimistes où, autre fait notable, Audrey Estrougo échappe, la plupart du temps, aux surenchères et aux clichés si souvent de mise quand le cinéma français tente de représenter les banlieues.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Si les partis pris de la réalisatrice Audrey Estrougo ne font pas toujours mouche, les deux comédiens qui incarnent Kool Shen et JoeyStarr (Sandor Funtek et Théo Christine) crèvent littéralement l'écran.
Télérama
par Jérémie Couston
Pour circonscrire la légende et canaliser une énergie aussi précoce que féroce, la réalisatrice a la bonne idée de démarrer le film à la création du groupe, en 1988, et de l’achever à leur premier concert au Zénith de Paris, en 1992.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par V.C.
Une reconstitution nerveuse, parfaitement interprétée.
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Suprêmes est bien plus qu’un produit qui vise à nous faire acheter quelques albums de NTM. Au contraire, il se révèle plutôt jouissif, satisfaisant dans son dénouement, et dévoile en fin de compte beaucoup de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Adoubé par les vrais Joeystarr et Kool Shen, le film est toujours sous contrôle, jamais libre d’une mise en perspective. C’est donc la limite de Suprêmes : il n’est jamais à la hauteur du miracle accompli par ses comédiens qui ont eu, eux, l’intelligence et le talent de marier déférence et appropriation. Deux stars are born.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Raphaël Iggui
La fougue et la fièvre de ses deux interprètes principaux ainsi que l'énergie de groupe emportent Suprêmes loin des territoires balisés où il risquait de s'embourber. Vous risquez d'être déçu si vous attendez un grand biopic doublé d'une charge politique. Mais si vous venez pour le mulet de Kool Shen, la gouaille de Joey Starr et leur relation tumultueuse, vous allez être servi.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Les jeunes acteurs sont formidables, la dynamique chaotique du groupe et l’énergie des concerts bien recréés. Des bémols ? L’écriture pavlovienne du rapport douloureux de JoeyStarr à son père tyrannique et la dimension sociétale, assez sommaire, après une ouverture judicieuse sur un discours de François Mitterrand sur l’état des banlieues toujours d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le défaut de Suprêmes s’affiche sur son générique : « Scénario écrit avec la collaboration de JoeyStarr et Kool Shen ». OK pour l’illustration fidèle et didactique. Manque un regard perçant et effronté sur la genèse du mythique groupe de rap français NTM, composé des deux susnommés.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par E.M.
Entre humour et noirceur, radiographie socio-politique et introspection (Joey et ses démons), le film retrace la fulgurante ascension, avec des séquences live (jouées sans playback) qui restituent l'énergie débridée du tandem.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
« Suprêmes » évite les figures imposées du genre et se distingue par sa sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Porté par l’énergie du jeu de ses acteurs protagonistes, Suprêmes s’envisage comme un biopic un peu trop sage sur le groupe représentatif d’une génération en révolte..
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Suprêmes est un film parfaitement rectiligne, de la mouise à la gloire, en passant par les sorties de route et les grandes accélérations, plein de raccourcis acrobatiques et, fatalement, de clichés épuisants [...]. Et ça marche. Pas follement, pas vertigineusement, mais ça marche. Grâce, essentiellement, à une énergie contagieuse, basée sur un schéma répétitif mais efficace [...] et une interprétation souvent impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Le récit reste convenu, mais il se dégage une rage de ce biopic ponctué de scènes de concert sidérantes.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Vu comme un objet culturel plutôt qu’esthétique, Suprêmes a ceci d’intéressant qu’il reste parmi les rares films de fiction ayant abordé la banlieue parisienne dans son historicité. Audrey Estrougo le décrit toutefois comme une « fiction du réel », soulignant cet aspect documentaire par l’usage d’archives, insérées ou rejouées.
Le Point
par Anne-Sophie Jahn
Les acteurs (Théo Christine, un ancien surfeur repéré dans Garçon chiffon, et Sandor Funtek, vu dans La Vie d’Adèle) peinent à convaincre, malgré l’année passée à tenter de se glisser dans les peaux rebelles de leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Adoubé par le duo, le film se perd parfois entre la petite et la grande histoire (les premières émeutes de Seine St-Denis) quand, justement, le duo rejette tout récupération politique. Mais cet avènement de NTM, dont une belle scène finale à l’orée de leur premier Zenith, se consomme sans déplaisir. Même si on a l’impression d’un manque de chair, de bruit et de fureur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Thomas Choury
Suprêmes fait rentrer dans le moule un objet de la culture populaire et le vide de sa substance politique profonde, par omission ou par confusion, pour en faire une baudruche des plus inoffensives.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Frédéric Foubert
C’est la puissance normative du biopic-Wikipédia, et sa déprimante succession de cases à cocher, qui fout tout en l’air.
La critique complète est disponible sur le site Première
Marie Claire
Audrey Estrougo signe l'un des meilleurs films biographiques de l'année, puissant sans jamais être tapageur.
20 Minutes
Théo Christine et Sandor Funtek, éblouissants, incarnent respectivement JoeyStarr et Kool Shen dans ce film passionnant.
Bande à part
Audrey Estrougo signe son long-métrage le plus abouti avec cette fresque énergique sur les débuts de NTM.
CNews
Supervisé par NTM eux-mêmes, ce film musical, qui met l’accent sur la forte complicité et complémentarité de ces monstres sacrés, se révèle à la fois puissant et tendre, et ne manque pas de faire rire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
À l’affiche, deux jeunes acteurs bourrés d’énergie, au cœur et au charisme gros comme ça : Théo Christine et Sandor Funtek, impecs, se donnent à fond pour rejouer ce que fut l’incroyable déflagration NTM sur la scène musicale française des années 80.
Elle
Mais Suprêmes, c'est aussi le récit extraordinaire d'un duo aux personnalités aussi dissemblables que possible.
Femme Actuelle
De leur première maquette à leur premier Zénith, on suit l’ascension un peu chaotique de Joey Starr et Kool Shen, alias les Suprêmes NTM. On comprend mieux leur alchimie, leurs fêlures et leur soif de reconnaissance. En prime, quelques répliques très drôles agrémentent le film.
Franceinfo Culture
Ce film réjouissant comblera aussi bien ceux qui ont assisté à cette page essentielle du hip-hop que ceux qui n’y étaient pas.
Le Dauphiné Libéré
Un film en cache souvent un autre. Suprêmes , c’est l’histoire de NTM, pilier du hip-hop français des années 90, mais c’est aussi l’histoire douloureuse de JoeyStarr.
Le Figaro
L’énergie et l’enthousiasme du film sont communicatifs. Une véritable épopée, riche en personnalités hautes en couleur.
Le Monde
Audrey Estrougo restitue avec justesse l'émergence du groupe de rap emblématique des années 1990.
Les Inrockuptibles
Il faut bien reconnaître l’intensité et les épaules de ce film qui se limite aux premières années de carrière du groupe et qu’on aurait, on l’avoue volontiers, voulu voir se poursuivre à l’apparition du générique de fin.
Marianne
Excellente surprise, Suprêmes, écrit en collaboration avec le duo Joey Starr-Kool Shen, échappe à la plupart des pièges hagiographiques qui lui tendaient les bras et se distingue par sa sobriété scénaristique et formelle.
Positif
Un film aussi convaincant dans les scènes de répétitions et de concerts que dans les séquences plus intimistes où, autre fait notable, Audrey Estrougo échappe, la plupart du temps, aux surenchères et aux clichés si souvent de mise quand le cinéma français tente de représenter les banlieues.
Télé Loisirs
Si les partis pris de la réalisatrice Audrey Estrougo ne font pas toujours mouche, les deux comédiens qui incarnent Kool Shen et JoeyStarr (Sandor Funtek et Théo Christine) crèvent littéralement l'écran.
Télérama
Pour circonscrire la légende et canaliser une énergie aussi précoce que féroce, la réalisatrice a la bonne idée de démarrer le film à la création du groupe, en 1988, et de l’achever à leur premier concert au Zénith de Paris, en 1992.
Voici
Une reconstitution nerveuse, parfaitement interprétée.
aVoir-aLire.com
Suprêmes est bien plus qu’un produit qui vise à nous faire acheter quelques albums de NTM. Au contraire, il se révèle plutôt jouissif, satisfaisant dans son dénouement, et dévoile en fin de compte beaucoup de tendresse.
CinemaTeaser
Adoubé par les vrais Joeystarr et Kool Shen, le film est toujours sous contrôle, jamais libre d’une mise en perspective. C’est donc la limite de Suprêmes : il n’est jamais à la hauteur du miracle accompli par ses comédiens qui ont eu, eux, l’intelligence et le talent de marier déférence et appropriation. Deux stars are born.
Ecran Large
La fougue et la fièvre de ses deux interprètes principaux ainsi que l'énergie de groupe emportent Suprêmes loin des territoires balisés où il risquait de s'embourber. Vous risquez d'être déçu si vous attendez un grand biopic doublé d'une charge politique. Mais si vous venez pour le mulet de Kool Shen, la gouaille de Joey Starr et leur relation tumultueuse, vous allez être servi.
L'Obs
Les jeunes acteurs sont formidables, la dynamique chaotique du groupe et l’énergie des concerts bien recréés. Des bémols ? L’écriture pavlovienne du rapport douloureux de JoeyStarr à son père tyrannique et la dimension sociétale, assez sommaire, après une ouverture judicieuse sur un discours de François Mitterrand sur l’état des banlieues toujours d’actualité.
La Voix du Nord
Le défaut de Suprêmes s’affiche sur son générique : « Scénario écrit avec la collaboration de JoeyStarr et Kool Shen ». OK pour l’illustration fidèle et didactique. Manque un regard perçant et effronté sur la genèse du mythique groupe de rap français NTM, composé des deux susnommés.
Le Journal du Dimanche
Entre humour et noirceur, radiographie socio-politique et introspection (Joey et ses démons), le film retrace la fulgurante ascension, avec des séquences live (jouées sans playback) qui restituent l'énergie débridée du tandem.
Les Echos
« Suprêmes » évite les figures imposées du genre et se distingue par sa sobriété.
Les Fiches du Cinéma
Porté par l’énergie du jeu de ses acteurs protagonistes, Suprêmes s’envisage comme un biopic un peu trop sage sur le groupe représentatif d’une génération en révolte..
Libération
Suprêmes est un film parfaitement rectiligne, de la mouise à la gloire, en passant par les sorties de route et les grandes accélérations, plein de raccourcis acrobatiques et, fatalement, de clichés épuisants [...]. Et ça marche. Pas follement, pas vertigineusement, mais ça marche. Grâce, essentiellement, à une énergie contagieuse, basée sur un schéma répétitif mais efficace [...] et une interprétation souvent impressionnante.
Télé 7 Jours
Le récit reste convenu, mais il se dégage une rage de ce biopic ponctué de scènes de concert sidérantes.
Cahiers du Cinéma
Vu comme un objet culturel plutôt qu’esthétique, Suprêmes a ceci d’intéressant qu’il reste parmi les rares films de fiction ayant abordé la banlieue parisienne dans son historicité. Audrey Estrougo le décrit toutefois comme une « fiction du réel », soulignant cet aspect documentaire par l’usage d’archives, insérées ou rejouées.
Le Point
Les acteurs (Théo Christine, un ancien surfeur repéré dans Garçon chiffon, et Sandor Funtek, vu dans La Vie d’Adèle) peinent à convaincre, malgré l’année passée à tenter de se glisser dans les peaux rebelles de leurs personnages.
Paris Match
Adoubé par le duo, le film se perd parfois entre la petite et la grande histoire (les premières émeutes de Seine St-Denis) quand, justement, le duo rejette tout récupération politique. Mais cet avènement de NTM, dont une belle scène finale à l’orée de leur premier Zenith, se consomme sans déplaisir. Même si on a l’impression d’un manque de chair, de bruit et de fureur.
Critikat.com
Suprêmes fait rentrer dans le moule un objet de la culture populaire et le vide de sa substance politique profonde, par omission ou par confusion, pour en faire une baudruche des plus inoffensives.
Première
C’est la puissance normative du biopic-Wikipédia, et sa déprimante succession de cases à cocher, qui fout tout en l’air.