Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Habitant d'Amsterdam, le réalisateur de « Shame » et « Twelve years a slave » évoque sa ville au cours de l'occupation, dans un documentaire unique en son genre. Un grand film à découvrir, pour les plus motivés qui oseront s'y aventurer.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Présenté l’an passé hors compétition au Festival de Cannes, un film contemplatif et historique à découvrir d’urgence dans les quelques salles qui ont la bonne idée de le diffuser.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En superposant une Amsterdam contemporaine, étouffée par la pandémie de la Covid, et celle de l’occupation et de la barbarie nazies, Steve McQueen parvient à créer une œuvre monumentale et prodigieuse, sans doute aussi importante que celle de Lanzmann en son temps, Shoah.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Amsterdam, racontée par le son pendant son occupation de 1940 à 1945, et par l’image en 2020, en pleine pandémie. Beau et profond, sans aucune afféterie susceptible de gâcher la démonstration, le film compose un magnifique tableau de la cité néerlandaise.
Libération
par Luc Chessel
C’est un petit morceau de vie qui passe devant la caméra du cinéaste anglais – installé depuis vingt ans dans la ville dont il fait ici l’inventaire à deux endroits du temps en même temps, le passé traumatique et le contemporain qui en garde ou non les traces.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Isabelle Danel
Expérience immersive exigeante, « Occupied City » rappelle la nécessité de ne pas oublier le passé. Mais aussi de l’inscrire dans le présent. Et l’avenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Jacques Morice
Cette mosaïque humaine, cet assemblage de recherches proches de l’archéologie et de déplacements à travers la ville donnent au film sa cohérence. Et sa force : être à la fois un hommage aux persécutés et un hymne vibrant au courage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
En contemplant la distance sinon l’indifférence de la ville actuelle envers les tragédies historiques autrefois vécues dans ses rues, impossible de savoir s’il admire la capacité d’Amsterdam à continuer à vivre (sa résilience, s’il faut employer le mot) ou s’il condamne sa volonté d’oubli.
Critikat.com
par Clément Colliaux
Si le film fait habilement la cartographie de la ville en cheminant entre les différents foyers de mémoire, McQueen peine à articuler ses ambitions plastiques à son projet historique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le récit proprement historique est cantonné à la bande-son, sur laquelle une voix off féminine égrène une série d’événements tragiques touchant à cette période, en se référant à des adresses précises de la capitale et aux événements qui s’y déroulèrent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Frédéric Foubert
Ambitieux, le propos de McQueen sur le souvenir et l’oubli, sur la tension entre passé et présent, finit par être écrasé par la sécheresse conceptuelle d’un film qui peine à justifier sa durée de 4h30 (autant lire le livre de Stigter, plus complet) et trace des parallèles parfois abscons entre la ville occupée par les nazis et celle qu’arpente le cinéaste au temps du Covid.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Echos
Habitant d'Amsterdam, le réalisateur de « Shame » et « Twelve years a slave » évoque sa ville au cours de l'occupation, dans un documentaire unique en son genre. Un grand film à découvrir, pour les plus motivés qui oseront s'y aventurer.
Marianne
Présenté l’an passé hors compétition au Festival de Cannes, un film contemplatif et historique à découvrir d’urgence dans les quelques salles qui ont la bonne idée de le diffuser.
aVoir-aLire.com
En superposant une Amsterdam contemporaine, étouffée par la pandémie de la Covid, et celle de l’occupation et de la barbarie nazies, Steve McQueen parvient à créer une œuvre monumentale et prodigieuse, sans doute aussi importante que celle de Lanzmann en son temps, Shoah.
Les Fiches du Cinéma
Amsterdam, racontée par le son pendant son occupation de 1940 à 1945, et par l’image en 2020, en pleine pandémie. Beau et profond, sans aucune afféterie susceptible de gâcher la démonstration, le film compose un magnifique tableau de la cité néerlandaise.
Libération
C’est un petit morceau de vie qui passe devant la caméra du cinéaste anglais – installé depuis vingt ans dans la ville dont il fait ici l’inventaire à deux endroits du temps en même temps, le passé traumatique et le contemporain qui en garde ou non les traces.
L'Obs
Expérience immersive exigeante, « Occupied City » rappelle la nécessité de ne pas oublier le passé. Mais aussi de l’inscrire dans le présent. Et l’avenir.
Télérama
Cette mosaïque humaine, cet assemblage de recherches proches de l’archéologie et de déplacements à travers la ville donnent au film sa cohérence. Et sa force : être à la fois un hommage aux persécutés et un hymne vibrant au courage.
Cahiers du Cinéma
En contemplant la distance sinon l’indifférence de la ville actuelle envers les tragédies historiques autrefois vécues dans ses rues, impossible de savoir s’il admire la capacité d’Amsterdam à continuer à vivre (sa résilience, s’il faut employer le mot) ou s’il condamne sa volonté d’oubli.
Critikat.com
Si le film fait habilement la cartographie de la ville en cheminant entre les différents foyers de mémoire, McQueen peine à articuler ses ambitions plastiques à son projet historique.
Le Monde
Le récit proprement historique est cantonné à la bande-son, sur laquelle une voix off féminine égrène une série d’événements tragiques touchant à cette période, en se référant à des adresses précises de la capitale et aux événements qui s’y déroulèrent.
Première
Ambitieux, le propos de McQueen sur le souvenir et l’oubli, sur la tension entre passé et présent, finit par être écrasé par la sécheresse conceptuelle d’un film qui peine à justifier sa durée de 4h30 (autant lire le livre de Stigter, plus complet) et trace des parallèles parfois abscons entre la ville occupée par les nazis et celle qu’arpente le cinéaste au temps du Covid.