Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
CNews
par Chloé Ronchin
Ce deuxième volet aborde sans complexe les problèmes de surpoids et l'acceptation de son corps, avec au menu : toujours de la bienveillance, de la tendresse, et une bonne dose d’humour.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Télé Loisirs
par Émilie Léoni
Sous couvert de comédie, Charlotte de Turckheim distille au fil du récit un message fort, qui résonnera en tout un chacun : l'acceptation de soi.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Parisien
par Catherine Balle
Une comédie réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Mieux qu’une émission de Michel Cymès, voilà C. de Turckheim de retour avec Mince alors 2 !, une comédie qui traite sans jugements du surpoids, sans omettre les problèmes de santé mais sans marginaliser. Sympathique, mais paresseux dans sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Comme dans le premier opus, les sous-intrigues sont d'un intérêt inégal, et les bons mots sont parfois poussifs, mais Charlotte de Turckheim aborde avec empathie le thème sensible de l'obésité des ados.
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Ça randonne et ça discutaille, ça nous fait la leçon sur les méfaits du sucre, mais, au final, ça dit peu de choses et c’est un peu lourd en bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Delcroix
L'obésité des ados sert de fil conducteur à cette farce pas vraiment fine. Reste l'insubmersible bonne humeur de Charlotte de Turckheim. C'est déjà ça…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thierry Chèze
L’intention est louable, la sincérité totale mais ce deuxième opus n’apporte rien de suffisamment neuf côté scénario par rapport au premier pour se détacher d’une mécanique qui laisse peu de place aux surprises.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Sophie Grassin
Turckheim surfe sur l’air du temps pour boucler une comédie dépourvue de vista cinématographique, empâtée dans quelques bons mots (« Pour gagner, il faut perdre »), au happy end annoncé. Guère épais.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
CNews
Ce deuxième volet aborde sans complexe les problèmes de surpoids et l'acceptation de son corps, avec au menu : toujours de la bienveillance, de la tendresse, et une bonne dose d’humour.
Télé Loisirs
Sous couvert de comédie, Charlotte de Turckheim distille au fil du récit un message fort, qui résonnera en tout un chacun : l'acceptation de soi.
Le Parisien
Une comédie réjouissante.
Les Fiches du Cinéma
Mieux qu’une émission de Michel Cymès, voilà C. de Turckheim de retour avec Mince alors 2 !, une comédie qui traite sans jugements du surpoids, sans omettre les problèmes de santé mais sans marginaliser. Sympathique, mais paresseux dans sa mise en scène.
Voici
Comme dans le premier opus, les sous-intrigues sont d'un intérêt inégal, et les bons mots sont parfois poussifs, mais Charlotte de Turckheim aborde avec empathie le thème sensible de l'obésité des ados.
La Voix du Nord
Ça randonne et ça discutaille, ça nous fait la leçon sur les méfaits du sucre, mais, au final, ça dit peu de choses et c’est un peu lourd en bons sentiments.
Le Figaro
L'obésité des ados sert de fil conducteur à cette farce pas vraiment fine. Reste l'insubmersible bonne humeur de Charlotte de Turckheim. C'est déjà ça…
Première
L’intention est louable, la sincérité totale mais ce deuxième opus n’apporte rien de suffisamment neuf côté scénario par rapport au premier pour se détacher d’une mécanique qui laisse peu de place aux surprises.
L'Obs
Turckheim surfe sur l’air du temps pour boucler une comédie dépourvue de vista cinématographique, empâtée dans quelques bons mots (« Pour gagner, il faut perdre »), au happy end annoncé. Guère épais.