Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce portrait d’un homme qui refuse de céder à la colère se révèle déchirant, mais la puissance de caractère dont il fait montre face à l’horreur est apaisante. Le spectateur partage sa peine sans que la réalisation n’insiste de façon gênante sur les manifestations de sa douleur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par La Rédaction
Pierre Deladonchamps livre une performance juste, digne et pleine d'une puissante retenue.
Le Point
par Florence Colombani
Un film pudique et grave.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Sobre, bouleversant et nécessaire.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Adaptation du récit que le journaliste Antoine Leiris a fait de la tourmente dans laquelle il est entré après la mort de sa femme au Bataclan en 2015, ce “film-témoignage” grand public trouve une distance assez juste pour éviter la lourdeur et l’indignité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un récit de résilience très personnel, mais d’une portée universelle, sobrement porté à l’écran et servi par l’interprétation fiévreuse de Pierre Deladonchamps.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
La rhétorique du film de genre (montage syncopé, distorsions angoissantes, teintes désaturées) s’applique exclusivement à l’après-coup, activant une machinerie compassionnelle prévisible. En cultivant des expressions opaques ou contradictoires, Deladonchamps prend alors en charge l’humanité et la complexité de son personnage, refusant une édification héroïque trop univoque.
L'Obs
par Sophie Grassin
L’ensemble manque de point de vue et de puissance. A l’image de la confrontation d’Antoine avec l’ami d’Hélène qui lui relate la mort de la jeune femme entre ses bras. La scène ne ravage pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Adapté du livre du journaliste qui a perdu sa femme au Bataclan, ce film maladroit sur un deuil impossible passe à côté de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Inspiré du livre autobiographique d’Antoine Leiris, le film de Kilian Riedhof est une adaptation trop littérale, dénuée de point de vue, qui peine à toucher le cœur du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La Rédaction
Tiré du livre d'Antoine Leiris, dont la compagne et mère de son fils est morte au Bataclan, le film de Kilian Riedhof n'évite pas toujours le pathos. Sur un sujet équivalent, Amanda, de Mikhaël Hers, avec Vincent Lacoste, est autrement plus fin et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Impossible de ne pas être touché, mais c’est trop larmoyant, et mis en scène comme un téléfilm, peut-être parce que le réalisateur allemand Kilian Riedhof en a réalisé un certain nombre, ou d’épisodes de séries comme « Tatort ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Sandra Onana
La maladresse de ces conventions dramaturgiques est difficile à ignorer, dès lors que la logique (contre-intuitive) de la success story semble étrangement concurrencer celle du drame-thérapie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par La Rédaction
Une adaptation (un peu) trop littérale de la vie blessée d'Antoine Leiris.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le parti pris sensationnaliste de la mise en scène finit par exaspérer le spectateur et chasse toute forme d’empathie et d’émotion à l’égard du personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
[...] aucun parti n’est réellement pris. Le film n’a pas d’angle, comme on dit dans le vocabulaire du journalisme. Comme si ses auteur·rices n’avaient pas réussi à choisir, à trier dans leur documentation, et ont finalement tout gardé des faits sans les ordonner, leur donner un sens, un logos.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Léger
Tout sonne étrangement faux, et le film ne fait qu'effleurer par instants son vrai sujet : la part d’égocentrisme dans le deuil.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Adapté du livre d’Antoine Leiris, le film de l’Allemand Kilian Riedhof est d’une maladresse embarrassante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par La Rédaction
Comment représenter la douleur d’Antoine Leiris, dont la femme a été tuée au Bataclan le 13 novembre 2015 ? Sûrement pas avec tous ces clichés, indignes d’une telle histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce portrait d’un homme qui refuse de céder à la colère se révèle déchirant, mais la puissance de caractère dont il fait montre face à l’horreur est apaisante. Le spectateur partage sa peine sans que la réalisation n’insiste de façon gênante sur les manifestations de sa douleur.
Femme Actuelle
Pierre Deladonchamps livre une performance juste, digne et pleine d'une puissante retenue.
Le Point
Un film pudique et grave.
Paris Match
Sobre, bouleversant et nécessaire.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation du récit que le journaliste Antoine Leiris a fait de la tourmente dans laquelle il est entré après la mort de sa femme au Bataclan en 2015, ce “film-témoignage” grand public trouve une distance assez juste pour éviter la lourdeur et l’indignité.
Télé 7 Jours
Un récit de résilience très personnel, mais d’une portée universelle, sobrement porté à l’écran et servi par l’interprétation fiévreuse de Pierre Deladonchamps.
Cahiers du Cinéma
La rhétorique du film de genre (montage syncopé, distorsions angoissantes, teintes désaturées) s’applique exclusivement à l’après-coup, activant une machinerie compassionnelle prévisible. En cultivant des expressions opaques ou contradictoires, Deladonchamps prend alors en charge l’humanité et la complexité de son personnage, refusant une édification héroïque trop univoque.
L'Obs
L’ensemble manque de point de vue et de puissance. A l’image de la confrontation d’Antoine avec l’ami d’Hélène qui lui relate la mort de la jeune femme entre ses bras. La scène ne ravage pas.
La Croix
Adapté du livre du journaliste qui a perdu sa femme au Bataclan, ce film maladroit sur un deuil impossible passe à côté de son sujet.
La Voix du Nord
Inspiré du livre autobiographique d’Antoine Leiris, le film de Kilian Riedhof est une adaptation trop littérale, dénuée de point de vue, qui peine à toucher le cœur du spectateur.
Le Figaro
Tiré du livre d'Antoine Leiris, dont la compagne et mère de son fils est morte au Bataclan, le film de Kilian Riedhof n'évite pas toujours le pathos. Sur un sujet équivalent, Amanda, de Mikhaël Hers, avec Vincent Lacoste, est autrement plus fin et bouleversant.
Le Parisien
Impossible de ne pas être touché, mais c’est trop larmoyant, et mis en scène comme un téléfilm, peut-être parce que le réalisateur allemand Kilian Riedhof en a réalisé un certain nombre, ou d’épisodes de séries comme « Tatort ».
Libération
La maladresse de ces conventions dramaturgiques est difficile à ignorer, dès lors que la logique (contre-intuitive) de la success story semble étrangement concurrencer celle du drame-thérapie.
Voici
Une adaptation (un peu) trop littérale de la vie blessée d'Antoine Leiris.
aVoir-aLire.com
Le parti pris sensationnaliste de la mise en scène finit par exaspérer le spectateur et chasse toute forme d’empathie et d’émotion à l’égard du personnage principal.
Les Inrockuptibles
[...] aucun parti n’est réellement pris. Le film n’a pas d’angle, comme on dit dans le vocabulaire du journalisme. Comme si ses auteur·rices n’avaient pas réussi à choisir, à trier dans leur documentation, et ont finalement tout gardé des faits sans les ordonner, leur donner un sens, un logos.
Première
Tout sonne étrangement faux, et le film ne fait qu'effleurer par instants son vrai sujet : la part d’égocentrisme dans le deuil.
Sud Ouest
Adapté du livre d’Antoine Leiris, le film de l’Allemand Kilian Riedhof est d’une maladresse embarrassante.
Télérama
Comment représenter la douleur d’Antoine Leiris, dont la femme a été tuée au Bataclan le 13 novembre 2015 ? Sûrement pas avec tous ces clichés, indignes d’une telle histoire.