Mon compte
    Piranhas
    Note moyenne
    3,5
    941 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Piranhas ?

    80 critiques spectateurs

    5
    1 critique
    4
    15 critiques
    3
    42 critiques
    2
    16 critiques
    1
    6 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Jorik V
    Jorik V

    1 269 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2019
    Avec “Piranhas” on a le droit en tous points à une version junior de « Gomorra », film devenu un classique du film de mafia réaliste, se déroulant à Naples également, et aussi du chef-d’œuvre magistral qu’est « Suburra », mettant en scène également la mafia mais romaine cette fois. Mais donc aussi à un film moins ambitieux, moins définitif et moins maîtrisé. Est -ce par le fait que les protagonistes soient mineurs que tout cela paraît moins impressionnant et réussi? Difficile à dire mais sur bien des aspects, le long-métrage ne tient pas toutes ses promesses. Néanmoins une chose est sûre, ce film de mafia version culottes courtes a beau être très sérieux, son ampleur est égale à celle de ses protagonistes, c’est-à-dire limitée en dépit de ses ambitions affichées d’égaler ses glorieux aînés. Un peu comme « Gomorra », le film revêt souvent un aspect documentaire et ressemble plus à une chronique sur ces jeunes apprentis mafieux qu’à un thriller avec une intrigue digne de ce nom. Et ce qui ne dérangeait aucunement pour le film cité précédemment, devient beaucoup plus préjudiciable ici. Le script tourne vite en rond et devient répétitif, faute d’avoir quelque chose de plus dense à raconter, ce qui a pour effet de trouver parfois le temps long. Il manque d’un axe narratif clair et le film ressemble à une accumulation de petites anecdotes qui se greffent les unes sur les autres autour du groupe de jeunes et de leur leader mais sans réel but final. Et du coup, on a la sensation que Giovanesi ne sait pas comment conclure son film…



    On accorde à cette œuvre originale pour son thème plus que pour son contexte, une plongée sociologique tout autant que sociale dans une réalité effrayante. Une réalité qui voit de jeunes enfants de plus en plus désœuvrés basculer du mauvais côté par appât du gain, misérabilisme du quotidien mais aussi par mimétisme et fascination pour les aînés. Cela égratigne au passage la vision quasi sacrée qu’on peut avoir de la Camorra. Et ça fait froid dans le dos! Mais Giovanesi fait le choix discutable d’esthétiser sa mise en scène ce qui occasionne des plans magnifiques mais sanctifie un peu trop des personnages à la morale et aux motivations douteuses. Parfois, certains plans très beaux réveillent dans l’inconscient une dimension presque mythologique d’une certaine jeunesse. Attention, on n’est heureusement pas dans le clinquant ni le tape-à-l’œil. On voit dans ce récit le passage bien trop rapide de l’enfance à l’âge adulte, comme un récit initiatique violent et abrupt. « Piranhas » doit beaucoup au charisme magnétique de son jeune acteur principal, Francesco Di Napoli, d’une prestance impressionnante qui nous faisant avaler des séquences à la limite de la crédibilité vu l’âge des protagonistes y évoluant. On peut aussi noter que la petite romance présente dans le long-métrage se positionne comme une bulle d’air bienvenue et pas trop imposante dans le fil du récit. Une œuvre tout de même sympathique qui ne révolutionnera rien mais se place comme la petite sœur énervée de bien des films sur le sujet.


    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Remi M.
    Remi M.

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2019
    C’est creux, incohérence de scénario, comment des jeunes de 15 ans peuvent faire régner la loi face à de vrai organisations mafieuses? Peu crédible tout ça....
    Sans parler de la fin....
    MC feely
    MC feely

    78 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2019
    Un film ultra réaliste magistralement interprété par des acteurs si je ne me trompe pas dont la plupart sont des amateurs.C'est une véritable immersion dans les bas fonds Napolitains et dans l'engrenage dans des groupes mafieux de membres de plus en plus jeunes qui souvent viennent de milieux défavorisés et qui sont fascinés par la violence et l'argent facile.Franchement j'ai adoré on ne voit pas le temps passer,la réalisation est très bonne et montre bien comment les anciens utilisent ces adolescents comme soldats puisque évidemment à cet age la ils ont l'insouciance pour eux et en plus ils sont très malléables.Bref,les pourritures sont affichés au grand jour dans ce film avec aussi le fameux "pizzo"(racket aux commercants)ainsi que toute la sphère de violence engendrée pour le contrôle des points de deals qui crée une véritable spirale infernale et surtout interminable.Enfin,je conclurais en disant que c'est une vraie réussite,peut être un petit manque de scènes émotives, mais sinon c'était excellent et je le conseille vivement.4/5
    this is my movies
    this is my movies

    700 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juin 2019
    Nouvelle adaptation d'un roman de Roberto Saviano, toujours situé à Naples, on suit cette fois le destin de jeunes loups aux dents très longues, sorte de cousins bien plus dangereux et plus malins que les deux nigauds qui se faisaient abattre comme des cons à la fin de "Gomorra", précédente adaptation d'un roman de Saviano. "Piranhas" a donc reçu l'Ours du meilleur scénario à Berlin en février, mais il aurait pu rafler bien plus de prix si la politique des festivals n'était pas de remettre un prix par film. Plongée âpre et tendue au cœur de l'ascension de ces jeunes, très jeunes, gangsters, qui veulent de l'argent, très vite, frimer sur les réseaux sociaux, et cela, au mépris de leur innocence. Style documentaire pour la mise en scène, qui n'oublie pourtant jamais de faire du cinéma, acteurs magnétiques, scénario bien construit, c'est du très lourd à plusieurs niveaux, avec une descente aux enfers dans cette ville chaude, au soleil brûlant, qui fait cuire les cerveaux de ces ados. Un film puissant, qui rappelle la maîtrise des hispanophones et des transalpins sur le film de genre. Jamais révolutionnaire, classique dans son exploitation du schéma rise and fall, le film captive pourtant, et secoue les tripes, sans jamais abuser d'effets gores. On en ressort pourtant KO. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juin 2019
    Une plongée dans les quartiers populaires de Naples, la réalité des errances des jeunes face à la misère, une fable réaliste bouleversante, un très grand moment.
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2019
    Adaptation d'un roman de Saviano, Piranhas démontre le talent de conteur de Claudio Govannesi après le très réussi et romantique Fiore. Du romantisme, mais noir, il y en a aussi dans Piranhas, qui est au fond un nouveau récit d'apprentissage de jeunes adolescents, mais dans le contexte particulier et mafieux de Naples. L'ascension résistible d'une bande de gosses qui veut tout, tout de suite et ne respecte rien, hormis leur mère. Juchés sur leurs scooters, ils sillonnent la ville (le vieux Naples, superbement filmé) à la recherche de sensations fortes, au sein d'un groupe "à la vie, à la mort." Non, nous ne sommes pas dans Bugsy Malone, le réalisme est de rigueur devant la caméra de Giovannesi avec l'interprétation impeccable de jeunes gens recrutés dans les rues napolitaines. Pas d'idéalisation, de caricature ni de misérabilisme dans Piranhas mais des échappées éphémères et bienvenues vers le romanesque dans une mise en scène fluide qui s'éloigne de l'âpreté d'un Gomorra. Glaçant est le qualificatif qu'on lit le plus souvent à propos du film qui n'est pourtant pas d'une extrême violence et qui n'oublie que ses "héros" ne sont que des gosses avec des préoccupations de leur âge (les fringues, les filles, la musique) mais fascinés par les armes dans un environnement où l'émancipation sociale passe par la délinquance, facilitée par une grégarité de survie et de virilité. Les questions morales, dans ce contexte, n'ont assurément pas droit de cité.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2019
    Adapté d'un roman de Roberto Saviano, l'auteur de l'histoire de "Gomorra", "Piranhas" nous immerge dans le cadre ultra-réaliste des jeunes mafieux de Naples. Ces fils des quartiers, sans ambitions de s'envoler ailleurs, s'unissent pour ne faire qu'un et accèdent ainsi au réseau de la mafia napolitaine. La mise en scène de Claudio Giovannesi bluffe en transformant cette chronique sociale en récit d'apprentissage où l'innocence devient délinquance. Sans effets de frime, la caméra se concentre sur cette jeunesse bafouée et pleine de fougue, qui se précipite aveuglement vers le précipice de la violence et de l'argent facile. Certaines scènes ont un air de déjà-vu mais ce regard aiguisé sur ces corps appartenant encore au monde de l'enfance a de quoi susciter toute notre attention et notre effroi. Francesco Di Napoli, au coeur de tout cet embrigadement, fascine par son visage angélique et son aisance à dévoiler ses émotions. Dommage que la seconde partie du film manque d'impact à cause de ses quelques longueurs. Le film s'achève tout de même en coup de poing ; après cette accumulation de réussite facile vient le temps de la perte fatale, prévisible mais très bien amenée. "Piranhas" a un gout doux-amer ; touchant et effrayant à la fois...
    Aulanius
    Aulanius

    196 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juin 2019
    A vrai dire, je ne sais pas trop quoi en penser. Le jeune acteur principal est vraiment très bon. Ses collègues le sont également. Tout ce petit monde fait des personnages super attachants. Sujet assez connu, du coup, par moment on peut se lasser surtout que c'est assez répétitif. Le rythme est soutenu donc on ne s'ennuie pas vraiment mais l'originalité n'est pas au rendez-vous. Bande originale sympa et variée mais même son de cloche, pas assez original. Ceci dit, on passe par toutes les émotions et cette bande nous touche vraiment car on la suit dans toutes ses épreuves. En fait, le film est pas mauvais mais je m'attendais quand même à mieux. Y a du bon et du moins bon. Je vous laisserai donc juger par vous-même. 11/20.
    PaulGe G
    PaulGe G

    108 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2019
    déboulant comme une horde sauvage dans les petites rues sordides de Naples (filmées a merveille) les ados veulent jouer aux grands mafieux. ils sont sans foi ni loi sauf celle de la violence et du fric. cadré en plan rapproché la plus part des séquences sont criantes de vérité. les jeunes comédiens sont excellents dans l'esprit du mal , la réalisation et le montage sans excès sont de véritables prouesses, mais ça fait peur !
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juin 2019
    J’ai du mal à croire à la réalité de ces événements napolitains qui voient une jeunesse devenir l’égale de ses aînés et aspirer aux plus importantes responsabilités au sein de la Camorra. Le fait est encore à l’état d’embryon mais le réalisateur nous montre que Nicola et ses copains apprennent très vite comment prendre le contrôle de certains quartiers de Naples. Là où une fusillade entraîne un nouveau bain de sang qui sera lavé quelques jours plus tard par des représailles tout aussi sanglantes. De provocation en défi, les gamins sont entrés dans une spirale infernale. Et même quand pour adoucir peut-être un peu le ton, le réalisateur se la joue romantique, la violence gangrène toujours les relations amoureuses. L’ensemble est assez formel, linéaire, et malgré la fascination de Claudio Giovannesi, pour son jeune comédien Fransesco Di Napoli, le cinéaste brosse un portrait édifiant d’une société déjà décomposée et proche de l’explosion. Ca n’a rien de rassurant…
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 juin 2019
    Naples, mafia, adaptation d'un livre de Roberto Saviano, la couleur est annoncé dix ans après Gomorra, réalisé par Matteo Garrone à partir d'un roman du même auteur. Cette fois c'est Claudio Giovannesi qui s'est emparé du projet, lui dont la notoriété est jusqu'ici restée cantonnée au milieu des festivals avec Ali a les yeux bleus (2012, festival international du film de Rome) et Fiore (2016, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes). Comment renouveler à sa modeste échelle, la teneur des images traduisent le petit budget alloué au film, le genre mafieux tant de fois magnifié par le passé ? Le scénario opte pour traiter le sujet à hauteur de ses personnages adolescents, sans accabler leurs actes ni les idéaliser. Ainsi, suite à une scène introductive nous offrant un cérémonial guerrier d'un clan victorieux, on s'attache à une tranche de vie de gentils perdants, tentant de s'incruster dans les cercles branchés de la nuit napolitaine sans en avoir les moyens. De cette frustration originelle va naître un ensemble de motivations, pour la plupart purement matérialistes, afin de se retrouver de l'autre côté de la barrière.
    On peut regretter le gros coup d'accélérateur mis alors dans cette quête, un deus ex machina simpliste permettant aux petits hommes de main subalternes de devenir aussitôt les rois du quartier. La spirale ultra rapide de la petite à la grande délinquance ne se soucie pas des sensibilités particulières, suppose qu'un dealer ordinaire est forcément habilité à prendre les armes du jour au lendemain. Passé ce défaut majeur rappelant l'ascension dans Scarface (l'ultra surcoté modèle du genre), on se laisse prendre quand même au charme de cette chronique criminelle. Notamment grâce aux traits si expressifs et diversifiés du rôle principal, ce Francesco Di Napoli, que l'on peut croire prédestiné à cette composition de baby boss. Il porte sur ses épaules l'ambiguïté de son rôle social, fils et frère attentionnés, amoureux transi, intransigeant chef de meute. Son idylle façon « Roméo et Juliette » avec une jeune fille d'un quartier ennemi passe crème car elle ne prend jamais le pas sur le propos d'ensemble.
    Une autre protagoniste impalpable domine le film : Naples, dont le portrait est de nouveau peu avenant voire rebutant, ses ruelles sombres, ses recoins glauques, ses dédales semblant vouer aux courses-poursuites et règlements de comptes. Comme si le cadre imposait ses codes aux individus et non l'inverse, comme si la saleté des lieux et des esprits étaient intrinsèquement liés. Pour témoin le fatalisme poignant de ce commerçant reprochant à Nicola et sa bande d'être devenus des racketteurs comme les autres, loin des promesses faites initialement. C'est ici le plus gros degré d'engagement du réalisateur, et d'un Saviano vivant sous protection policière depuis des années : affirmer l'impossibilité d'une mafia protectrice servant l'intérêt général, l'appât du gain rendant caduque toute intention d'être un bandit d'honneur. Aussi artisanale soit-elle, la mise en scène réserve suffisamment de fougue pour gagner notre intérêt, en dépit d'un cadre spatio-temporel mal défini (les smartphones vont à l'encontre d'un ancrage dans les 80's) et d'une fin abrupte qui divisera. Après avoir raconté le récit tragique du clan de Nicola, le scénario refuse de prendre partie et renvoie les différentes bandes dos à dos.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2019
    Nicola a quinze ans à peine. Avec quelques camarades de son âge, il passe ses journées à arpenter les rues de Naples en scooter. Ses aînés de la Camorra terrorisent les commerçants du quartier en exigeant d'eux le paiement du "pizzo" pour les prémunir d'une insécurité qu'ils sont les premiers à nourrir.
    Les familles de la Camorra se livrent une guerre à mort qui crée, au gré des assassinats et des arrestations, un vide de pouvoir dont Nicola et sa bande entendent profiter pour se tailler une place au soleil.

    Naples ou l'enfance d'un chef. On se souvient du film élégiaque de Eric Valli tourné dans les montagnes himalayennes en 1999. La comparaison s'arrête au titre. "Piranhas" (étrange traduction de "La paranza dei bambini" qui fait plus spontanément penser à un film d'horreur dans la forêt amazonienne qu'au portrait d'un jeune caïd napolitain) raconte, comme son affiche l'annonce, "l'ascension des baby gangs". Cette histoire n'est guère crédible où l'on voit des gamins qui se disputent un pot de Nutella avant d'aller assassiner leurs rivaux. Mais elle peut se réclamer de Roberto Saviano, l'auteur de "Gomorra", dont elle constitue l'adaptation à l'écran d'un roman publié en 2016.

    Des histoires de jeunes mafiosi, on en a déjà vu beaucoup. Sans remonter à "Gomorra" ou à "Suburra", on avait bien aimé l'automne dernier "Frères de sang", un petit film italien passé inaperçu.

    De ce côté-ci des Alpes, "Piranhas" souffre de la comparaison avec "Shéhérazade" sorti l'an passé. Ses héros se ressemblent : l'un comme l'autre sont des chiens fous à peine sortis de l'enfance, en mal de référent paternel, qui s'éveillent à l'amour (si Viviana Aprea n'a pas le bagout de Kenza Fortas, César du meilleur espoir féminin pour son rôle dans "Shéhérazade", elle est d'une beauté à couper le souffle). Mais "Shéhérazade" atteint, dans sa dernière demie heure une densité émotionnelle que "Piranhas" n'approche pas.

    La fin de "Piranhas" est étonnante. Jusque là, le film avait déroulé un scénario ternaire bien huilé : l'ascension, la gloire, la chute. On se dirigeait tranquillement vers une scène finale qu'on s'imaginait déjà. Et soudainement, dans les deux derniers plans, le scénario prend une autre bifurcation, aussi surprenante que déconcertante. S'il ne l'avait pas fait, on aurait regretté son manque d'audace ; mais la façon dont il le fait l'expose au reproche de l'incohérence.
    cinéman
    cinéman

    41 abonnés 806 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 juin 2020
    C'est vraiment très difficile de supporter une bande d'ados crétins pendant près de 2h. Il ne réfléchissent à rien sauf à faire du fric par la violence, pour flamber en boite ou s'acheter des vêtements de marque, voire des prostituées. La police n'intervient jamais et semble totalement absente, donc en plus c'est pas du tout crédible. On attend une fin moralisatrice qui ne vient pas. Donc un film qui semble faire l'apologie de la violence, du trafic de drogue, sans oublier l'étalage du luxe et de la richesse avec l'argent obtenu. Puant.
    Sacard
    Sacard

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juin 2019
    Tout ceux qui connaissent Naples ou qui ont des amis de Naples , ou qui ont déjà vu des séries tel que Gommora savent a quel point il y a une atmosphère spéciale unique et particulière à Naples et plus encore dans "les quartiers" , et paf premier point obscur de ce film , on ne ressent pas Naples , Naples La belle Napoli ne se ressent pas dans ce film , il pourrait tout aussi bien s'agir de l'Espagne ou du Portugal ,deuxio l'acteur principal a joué faux dans les 9/10 eme du film , son interprétation n'était pas juste ni convaincante , d'ailleurs de tous les acteurs c'est lui qui jouait le plus mal , Celle qui jouait la petite ami , quand à elle n'avait rien de Napolitain , ses gestes robotiques , sa manière de parler comme quelqu'un qui récite un texte , la encore ca sonne d'un faux incroyable , je ne parlerais pas du scénario parce que la encore....
    ce film n'en vaut vraiment pas le détour , préférez la série Gomorra et de tres tres tres loin....
    Maelicia
    Maelicia

    2 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2019
    Un bon film italien qui traitent des baby gangs à Naples: des adolescents qui s'organisent en bande de malfrats idéalisant la mafia pour l'argent facile et le pouvoir.
    De jeunes acteurs convaincants au service d'un phénomène tristement actuel.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top