AlloCiné
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Votre avis sur Chambre 212 ?
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Ce film à quelques bribes de bonnes idées mais n'arrive jamais à nous faire décoller dans un autre monde, il n'est pas vraiment drôle non, voir même gênant. Benjamin Biolay, que j'admire en tant que musicien, auteur, chanteur est assez mauvais, il est même drôle malgré lui. Camille Cottin est plus malaisante que jamais dans ce rôle. Clairement, je suis déçu, le film est trop furtif, manque d'approfondissement, malgré son postulat vendeur.
Il y a une scène dans le film où Camille Cottin joue du piano comme Timothée Chalamet dans Un jour de pluie à New York
Dans l'Honore on ne voit que l'artifice , la boursouflure & l'ennui .
Dans le Woody (que CH remercie dans le générique de fin) un pur moment de grâce, de classe & de paradis perdu.
Moralité ? Allez voir Woody tant qu'il est encore temps...
Dans l'Honore on ne voit que l'artifice , la boursouflure & l'ennui .
Dans le Woody (que CH remercie dans le générique de fin) un pur moment de grâce, de classe & de paradis perdu.
Moralité ? Allez voir Woody tant qu'il est encore temps...
Quel merveilleux film!
Le thème abordé est plutôt classique mais la façon de le traiter ne l'est absolument pas!
Chiara Mastroianni tient là un de ses meilleurs rôles, elle est magnifique et nous embarque complétement dans la réflexion de cette femme. La palme d'or a Cannes pour le prix d'interprétation est tout à fait méritée. En espérant la voir apparaître aux César!
Vincent Lacoste et Camille Cottin dans un rôle très différent sont très bons également.
J'ai adoré la bande son et puis l'apparition de Carole Bouquet n'est pas désagréable!
Le thème abordé est plutôt classique mais la façon de le traiter ne l'est absolument pas!
Chiara Mastroianni tient là un de ses meilleurs rôles, elle est magnifique et nous embarque complétement dans la réflexion de cette femme. La palme d'or a Cannes pour le prix d'interprétation est tout à fait méritée. En espérant la voir apparaître aux César!
Vincent Lacoste et Camille Cottin dans un rôle très différent sont très bons également.
J'ai adoré la bande son et puis l'apparition de Carole Bouquet n'est pas désagréable!
J'ignorais le coté fantastisque du film, j'ai été surprise, puis intéressée et finalement amusée par ce conte qui dit beaucoup de vérités. La performance de Vincent Lacoste excellente, la musique réussie, la bande des amants très drole, le scénario original . Je crois que ce film me laissera plus de souvenirs que bien d'autres
Jorik V
Dans la filmographie de Christophe Honoré il y a les films qui vous envoûtent dès le premier plan pour ne plus vous lâcher (« Les Chansons d’amour », « Plaire, aimer et courir vite », …) et ceux qui vous ennuient (« Ma mère »). Malheureusement, en dépit de qualités certaines, « Chambre 212 » fait plutôt de partie de la seconde catégorie même s’il est loin d’être mauvais. Mais on ne pourra pas reprocher au cinéaste parisien de vouloir proposer quelque chose de nouveau et de différent qui soit en accord avec le reste de son œuvre. On parle toujours ici des vertiges de l’amour, du temps qui passe et des aléas du couple mais d’une manière totalement fantaisiste voire poétique. Sur le plan formel c’est très probant et ce qui aurait pu passer pour de la coquetterie ou de la prétention s’avère tout à fait pertinent, un peu comme si Resnais s’était resuscité le temps d’un film par le biais d’Honoré.
Le cinéaste fait le choix d’une mise en scène très travaillée, creusant un sillon original entre le théâtre et le cinéma. En dépit d’une quasi double unité de lieu, ses plans sont travaillés et permettent à cette rêverie virevoltante de sortir du tout venant de la production cinématographique. Travellings survolant les différentes pièces d’un appartement montré comme un décor de cinéma, rue miniaturisée en maquette avec des acteurs échangeant par-dessus ou encore personnages qui se téléportent sur une plage de la Baie de Somme le temps de quelques séquences, c’est original et ça donne tout son charme à « Chambre 212 ». De la même manière, le côté fantaisiste est renforcé par ses personnages qui sortent du passé du personnage joué par Chiara Mastroiani et se matérialisent comme par magie à l’écran. C’est plutôt casse-gueule mais ça fonctionne la plupart du temps. La réalité et le réalisme sont mis de côté de manière astucieuse pour plonger dans une introspection légère et malicieuse du couple. C’est léger et absurde mais généralement ça fonctionne. Généralement…
Mais le film pêche par un aspect trop bavard et verbeux qui finit par ennuyer et devenir assommant. Les dialogues, pourtant si bien écrits, finissent par tourner en rond et le côté psychologie de l’amour qui dissèque le couple et en fait un état de lieux devient lourd sur la durée d’un long-métrage pourtant très court. On retrouve cependant le savoir-faire du metteur en scène dans quelques scènes iconoclastes comme la première dans la chambre d’étudiant par exemple ou celle avec une mère défunte jouée par Marie-Christine Barrault venant, au détour d’une porte dérobée, mettre sa fille face à son passé de manière très drôle. On aime aussi le dernier quart d’heure, beau et avec ce charme si particulier propres aux films d’Honoré, où tous les personnages se retrouvent sous « Coult it be magic » de Barry Manilow. Magnifique. Mais ces moments sont trop rares et noyés dans un film souvent hermétique et qui vire même un peu trop parfois au cliché du film d’auteur parisien. Il y a donc des fulgurances esthétiques et des moments magiques qui ne permettent cependant pas à « Chambre 212 » d’être aussi bon qu’on l’aurait souhaité.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Le cinéaste fait le choix d’une mise en scène très travaillée, creusant un sillon original entre le théâtre et le cinéma. En dépit d’une quasi double unité de lieu, ses plans sont travaillés et permettent à cette rêverie virevoltante de sortir du tout venant de la production cinématographique. Travellings survolant les différentes pièces d’un appartement montré comme un décor de cinéma, rue miniaturisée en maquette avec des acteurs échangeant par-dessus ou encore personnages qui se téléportent sur une plage de la Baie de Somme le temps de quelques séquences, c’est original et ça donne tout son charme à « Chambre 212 ». De la même manière, le côté fantaisiste est renforcé par ses personnages qui sortent du passé du personnage joué par Chiara Mastroiani et se matérialisent comme par magie à l’écran. C’est plutôt casse-gueule mais ça fonctionne la plupart du temps. La réalité et le réalisme sont mis de côté de manière astucieuse pour plonger dans une introspection légère et malicieuse du couple. C’est léger et absurde mais généralement ça fonctionne. Généralement…
Mais le film pêche par un aspect trop bavard et verbeux qui finit par ennuyer et devenir assommant. Les dialogues, pourtant si bien écrits, finissent par tourner en rond et le côté psychologie de l’amour qui dissèque le couple et en fait un état de lieux devient lourd sur la durée d’un long-métrage pourtant très court. On retrouve cependant le savoir-faire du metteur en scène dans quelques scènes iconoclastes comme la première dans la chambre d’étudiant par exemple ou celle avec une mère défunte jouée par Marie-Christine Barrault venant, au détour d’une porte dérobée, mettre sa fille face à son passé de manière très drôle. On aime aussi le dernier quart d’heure, beau et avec ce charme si particulier propres aux films d’Honoré, où tous les personnages se retrouvent sous « Coult it be magic » de Barry Manilow. Magnifique. Mais ces moments sont trop rares et noyés dans un film souvent hermétique et qui vire même un peu trop parfois au cliché du film d’auteur parisien. Il y a donc des fulgurances esthétiques et des moments magiques qui ne permettent cependant pas à « Chambre 212 » d’être aussi bon qu’on l’aurait souhaité.
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Le film raconte l’épreuve de “Maria” et “Richard”, un couple dont le mari est victime, après 20ans de mariage, d’adultère. Enfin il ne s’en rend compte que la. Maria décide donc d’aller dans une chambre d’hôtel en face, mais elle réfléchira beaucoup et se remettra en question. L’amour et le des amour est très bien mis en scène.
Durant ce film on peut voir l’originalité et le style bien particulier de Christophe Honoré, de part quelques plans assez représentatifs, qui passent un message fort. Par exemple la scène où les pétales de roses noir tombent, ou encore celle où les deux mariés sont au dessus de la rue, comme si elle était posée sur une table. L’originalité se manifeste aussi par la mise en scène très musicale et très théâtrale. L’histoire se passe dans un endroit très restreint, en effet elle ne dépasse pas une ruelle, ou plus précisément leur appartement, et une chambre d’hôtel en face (une séquence se trouve aussi dans un bar juste en bas de l’appartement). Le film véhicule une variation poétique, un optimisme tout à fait relatif, et dans la chambre d’hôtel la plongée totalement surréaliste dans les souvenirs qui est très surprenant mais pas moins plaisant.
Malgré les critiques disant de ce film qu’il ferait l’apologie du tabac, je l’ai personnellement beaucoup aimé ce film qui je trouve était très original. J’ai beaucoup aimé l’image et la lumière, qui étaient des critères important dans ce film. Le scénario était osé mais émouvant et le quatuor d’acteurs à très bien réussis à transmettre les émotions sûrement recherchés.
Durant ce film on peut voir l’originalité et le style bien particulier de Christophe Honoré, de part quelques plans assez représentatifs, qui passent un message fort. Par exemple la scène où les pétales de roses noir tombent, ou encore celle où les deux mariés sont au dessus de la rue, comme si elle était posée sur une table. L’originalité se manifeste aussi par la mise en scène très musicale et très théâtrale. L’histoire se passe dans un endroit très restreint, en effet elle ne dépasse pas une ruelle, ou plus précisément leur appartement, et une chambre d’hôtel en face (une séquence se trouve aussi dans un bar juste en bas de l’appartement). Le film véhicule une variation poétique, un optimisme tout à fait relatif, et dans la chambre d’hôtel la plongée totalement surréaliste dans les souvenirs qui est très surprenant mais pas moins plaisant.
Malgré les critiques disant de ce film qu’il ferait l’apologie du tabac, je l’ai personnellement beaucoup aimé ce film qui je trouve était très original. J’ai beaucoup aimé l’image et la lumière, qui étaient des critères important dans ce film. Le scénario était osé mais émouvant et le quatuor d’acteurs à très bien réussis à transmettre les émotions sûrement recherchés.
Après la lecture des avis qui disaient tout et son contraire, pas d'autre choix que d'aller me forger mon opinion par moi même. Je n'ai vraiment pas été déçu par ce film. Le thème de l'adultère est abordé et filmé d'une façon très original et les acteurs se prêtent bien au petit côté loufoque voulu par Christophe Honoré. De belles bosses de rire. J'ai donc passé un très bon moment.
Excellent film avec une ambiance feutrée originale et poétique. Ce film fait penser au "locataire "ou à "fenêtre sur cour" non pour son sujet totalement différent mais pour son atmosphère intimiste et un peu déjantée (le locataire).
Les acteurs sont tous excellents, certaines répliques de Camille Cottin pourrait même devenir cultes comme sa remarque sur la belle vie en baie de Somme (tordant) le sujet très original bouscule les codes habituels et permet un regard avisé sur ce que pensent vraiment les femmes (et non les poncifs habituels)! Ça change, bravo!!
Les acteurs sont tous excellents, certaines répliques de Camille Cottin pourrait même devenir cultes comme sa remarque sur la belle vie en baie de Somme (tordant) le sujet très original bouscule les codes habituels et permet un regard avisé sur ce que pensent vraiment les femmes (et non les poncifs habituels)! Ça change, bravo!!
Christophe Honoré nous rejoue une variation pop de la rupture amoureuse dans ce film frais et inventif, aux relents fantastiques évidents – le film consiste en une plongée « physique » dans les souvenirs du personnage incarné par Chiara Mastroianni. Si certaines scènes sont réussies, d’autres sont nettement moins convaincantes ; si l’ensemble des acteurs s’en donne à cœur joie, la prestation de Benjamin Biolay est également nettement plus faible. Cette belle réflexion sur le temps qui passe et sur l’angoisse de la passion amoureuse devenue simple routine prend la forme d’un essai cinématographique très court, attachant par certains aspects, mais un brin confus et dans lequel on finit quelque peu par se perdre.
Je ne m’étais préparée à rien, je ne savais pas ce que j’allais voir en allant voir ce film, emmenée par une amie. Donc je n’avais aucune attente.
Je me suis régalée, outre le fait que les dialogues, personnages et les situations nous font beaucoup travailler. Tout à un sens profond, et pour le comprendre une certaine maturité est nécessaire. Non seulement en âge mais en expérience de couple. Tout nous ramène à quelque chose que l’on a vécu ou que l’on aurait pu vivre. Une condition si humaine où l’amour finalement a une place quelle qu’en soit sa manifestation.
Ce film est une grande réflexion, que l’on utilise avec sagesse...ou pas. Chacun son interprétation.
Je me suis régalée, outre le fait que les dialogues, personnages et les situations nous font beaucoup travailler. Tout à un sens profond, et pour le comprendre une certaine maturité est nécessaire. Non seulement en âge mais en expérience de couple. Tout nous ramène à quelque chose que l’on a vécu ou que l’on aurait pu vivre. Une condition si humaine où l’amour finalement a une place quelle qu’en soit sa manifestation.
Ce film est une grande réflexion, que l’on utilise avec sagesse...ou pas. Chacun son interprétation.
J'y suis allé en curieux et ma foi ce film se laisse regarder. L'histoire est plutôt insolite mais le film dure que 1h27 donc on a pas franchement le temps de s'ennuyer. Camille cottin reste magique ainsi que Carole Bouquet toujours aussi belle.
Film insupportable le scénario est mal construit même l'idée du fantasme ne marche pas idée débilisante
La nonchalance habituelle de Bio'ay est pénible et son jeu est mauvais, Lacoste qui surjoue comme à son habitude rend encore le tout très indigeste, 'Mastroianni souvent nue est est son seul atout
Un demi étoile pour Cottin qui fait de son mieux pour sauver le film
A éviter même par jour de pluie
La nonchalance habituelle de Bio'ay est pénible et son jeu est mauvais, Lacoste qui surjoue comme à son habitude rend encore le tout très indigeste, 'Mastroianni souvent nue est est son seul atout
Un demi étoile pour Cottin qui fait de son mieux pour sauver le film
A éviter même par jour de pluie
Christophe Honoré a fait un film magnifique sur le temps qui passe, la durée qui constitue nos vies. Le film est très bien écrit, et dès lors on se régale des petites phrases, de l'esprit qui règne. C'est nostalgique, mélancolique à souhait, tout en gardant une légèreté : ça s'appelle l'intelligence non ? Par ailleurs le film me fait penser à fenêtre sur cours de Hitchcock. C'est un hommage au cinéma : on retrouve une salle dans la rue du film, ou encore le café s'appelle rosebud en référence à Citizen Kane..
J'ai été très déçu pae ce film dont j'avais vu et entendu des louanges: j'ai trouvé le scénarion insipide; tout sonne faux, il n'y a aucune astuce dans les situations absurdes qui auraient pu être suggérées (par des rêves par exemple), montrées avec réalisme.
Vraiment, je n'aurais pas du aller voir ce film.
Vraiment, je n'aurais pas du aller voir ce film.
trop loufoque, sans grand intérêt, pourquoi faire un film pareil ? Chiari Palme de la meilleure actrice ? vraiment ? je ne sais pas où ils ont vu ça ... décevant.
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