Everything Everywhere All at Once : Critique presse
Everything Everywhere All at Once
Note moyenne
3,9
35 titres de presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
Filmsactu
Franceinfo Culture
GQ
Le Dauphiné Libéré
Le Parisien
Libération
Mad Movies
Ouest France
20 Minutes
CinemaTeaser
Ecran Large
Femme Actuelle
L'Humanité
L'Obs
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Première
Rolling Stone
Voici
aVoir-aLire.com
Bande à part
L'Ecran Fantastique
Le Point
Positif
Télé 7 Jours
Télérama
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Monde
Télé Loisirs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Un film qui réussit le tour de force d’être émouvant, drôle et visuellement fou. Immanquable.
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Véritable déclaration d’amour au septième art pleine de trouvailles et de bizarreries génialissimes, Everything Everywhere all at once est le genre de claque cinématographique qui fait incroyablement du bien. Le Multiverse comme vous ne l'avez jamais vu sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Margaux Bonfils
Une œuvre complète, qui innove et s'amuse en sortant des codes classiques du film d'action.
GQ
par Adam Sanchez
Un film inclassable, qui explore une multitude de genres du cinéma avec une gourmandise jamais factice ou opportuniste.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Porté par une Michelle Yeoh virtuose et un casting impliqué (de la légendaire Jamie Lee Curtis à Ke Huy Quan, ancien des Goonies , qu’on redécouvre ici), Everything Everywhere All at Once vaut bel et bien l’attente. Une folie à ne pas rater.
Le Parisien
par La Rédaction
Au final, on rit beaucoup, on est bluffé par une telle créativité, et on est ému par les conséquences de ce voyage virtuel pour cette mère de famille, qui pourraient tous nous concerner.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
L’entreprise de série B en roue libre des Daniels fait l’expérience monstre d’un ciné-Babel-Bagel, dans la greffe frankensteinienne exultante de Bollywood et des animes japonais, de la culture geek, du cinéma de kung-fu, du non-sens et du clip, du film d’auteur hongkongais, du jeu vidéo et des réalités virtuelles. Mais la force démesurée de Everything Everywhere… est de rappeler cela : que le monde a désespérément besoin d’une comédie à sa mesure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Avec Everything Everywhere All At Once, où les idées les plus indéfendables se succèdent à un rythme effréné afin de décupler la puissance émotionnelle de l'expérience, les "Daniels" ne se contentent pas d'un film-somme : ils créent, devant nos yeux ébahis et humides, le film-multiplication.
Ouest France
par François Léger
Un ovni fascinant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ces aventures un tantinet foutraques ne laissent pas une seconde de répit au spectateur en métamorphosant son héroïne en patronne de laverie, en danseuse, en star de cinéma ou en cuisinière mais surtout en cheffe d’une famille au bord de l’implosion.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sous l'influence des Wachowski, une exploration du multivers dont la générosité et la folie sont à la fois les immenses qualités et les talons d'Achille.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Everything Everywhere All at Once réussit l’exploit d’être un pur chaos organisé, un bijou d’orfèvrerie tourné vers le n'importe quoi pour pleinement embrasser son délire cosmique… et revenir à la simple échelle de ses touchants personnages. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Éclatant, ébouriffant, tout sauf ordinaire.
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Le film constitue un terrain de jeu cinématographique, s’autorise une pure scène d’action à la Bruce Lee, bifurque dans le grand drame hollywoodien, embraye sur de l’expérimental et du muet… Pop et déjanté.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce serait la porte ouverte au grand n’importe quoi si les Daniels n’adossaient leur ambition épique digne de « Matrix », leur folie « montypythonesque », leur approche bricolo-surréaliste à la Michel Gondry et leur dextérité inouïe au parcours émotionnel d’Evelyn, interprétée par l’époustouflante Michelle Yeoh (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Au final, Everything… s’adresse à un public 2.0 gavé d’informations dans un monde en plein chaos, mais s’attache à brosser, grâce à la puissance du cinéma, le portrait intime et émouvant d’une femme en quête de réconciliation.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Après le loufoque Swiss Army Man (2016), avec Paul Dano et Daniel Radcliffe, les réalisateurs reviennent avec Everything Everywhere All at Once, un long-métrage aussi farfelu que fantastique, à la croisée de tous les chemins narratifs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Dans l’esprit de Matrix, l’ovni foisonnant séduit par son imagination débridée, de quoi oublier quelques longueurs. Et quelle joie de revoir Michelle Yeoh pratiquer les arts martiaux !
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Au final, c'est surtout une œuvre qui, en bien ou en mal, ne laissera personne indifférent. Et ça, c'est déjà une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Avec son scénario farfelu, avec ses digressions permanentes et ses séquences loufoques parfois spectaculaires, la nouvelle création des Daniels relève presque de l’expérience cinématographique. Un OVNI, déconcertant et hilarant, mais aussi généreux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Les Daniels s’amusent à projeter leur héroïne d’univers en univers, avec une gourmandise cinéphile débordante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Léger
Un film plein comme un oeuf, gros foutoir à l’échelle cosmique mené tambour battant, et dont la grande réussite tient à l’exploration de l’extraordinairement grand - le multivers tout entier - pour régler une affaire a priori infiniment petite - la crise existentielle d’une mère de famille d’origine étrangère, engoncée dans sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Un scénario déjanté, des codes déboussolés. Ou quand un "petit" film sans limites devient centrifugeuse à sensations...
Voici
par Daniel Blois
Derrière ses atours de grand barnum insensé, Everything is Everything All at Once a du coeur et dévoile un propos touchant (...).
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Foutraque, halluciné et fantasque, ce film américain d’action réinvente le genre avec brio.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Léo Ortuno
Everything Everywhere, All at once met tout le cinéma américain dans un mixeur, pour en sortir un milk-shake aussi riche qu’absurde.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
Les premières péripéties du film sont un peu laborieuses [...]. Mais il faut s’accrocher et entrer dans la danse. En effet, passée cette entame, Everything Everywhere All at Once nous transporte sur un rollercoaster vertigineux proprement grisant.
Le Point
par Philippe Guedj
Souvent épuisant, mais aussi étonnant, drôle et innovant, EEAAO a le défaut de ses qualités : trop, tout le temps, trop vite.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
L'inflation de péripéties d’Everything..., laiss[e] s’échouer son récit grisant mais boursouflé sur les rives d’un psychologisme convenu dans sa dernière ligne droite de 2 h 30.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Si le trop-plein du film lasse par moments, on peut saluer son audace irrévérencieuse derrière laquelle se cache une émouvante ode à l’amour.
Télérama
par Jérémie Maire
Michelle Yeoh appelée à sauver le “multivers” dans un clip géant tout en science-fiction fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Daniel Scheinert et Daniel Kwan ne s’abandonnent toutefois pas à cette jouissance. La post-modernité chez eux fracture davantage qu’elle ne fluidifie (au contraire de ce qui arrive chez les soeurs Wachowski, citées de travers).
Critikat.com
par Corentin Lê
Dommage qu’un film obnubilé par l’infinité vertigineuse des possibles se révèle, sous sa surface rutilante, aussi convenu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
En roue libre, les « Daniels » confondent grand n’importe quoi et licence poétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un délire étonnant de prime abord, mais qui finit par lasser par manque de cohérence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film qui réussit le tour de force d’être émouvant, drôle et visuellement fou. Immanquable.
Filmsactu
Véritable déclaration d’amour au septième art pleine de trouvailles et de bizarreries génialissimes, Everything Everywhere all at once est le genre de claque cinématographique qui fait incroyablement du bien. Le Multiverse comme vous ne l'avez jamais vu sur grand écran.
Franceinfo Culture
Une œuvre complète, qui innove et s'amuse en sortant des codes classiques du film d'action.
GQ
Un film inclassable, qui explore une multitude de genres du cinéma avec une gourmandise jamais factice ou opportuniste.
Le Dauphiné Libéré
Porté par une Michelle Yeoh virtuose et un casting impliqué (de la légendaire Jamie Lee Curtis à Ke Huy Quan, ancien des Goonies , qu’on redécouvre ici), Everything Everywhere All at Once vaut bel et bien l’attente. Une folie à ne pas rater.
Le Parisien
Au final, on rit beaucoup, on est bluffé par une telle créativité, et on est ému par les conséquences de ce voyage virtuel pour cette mère de famille, qui pourraient tous nous concerner.
Libération
L’entreprise de série B en roue libre des Daniels fait l’expérience monstre d’un ciné-Babel-Bagel, dans la greffe frankensteinienne exultante de Bollywood et des animes japonais, de la culture geek, du cinéma de kung-fu, du non-sens et du clip, du film d’auteur hongkongais, du jeu vidéo et des réalités virtuelles. Mais la force démesurée de Everything Everywhere… est de rappeler cela : que le monde a désespérément besoin d’une comédie à sa mesure.
Mad Movies
Avec Everything Everywhere All At Once, où les idées les plus indéfendables se succèdent à un rythme effréné afin de décupler la puissance émotionnelle de l'expérience, les "Daniels" ne se contentent pas d'un film-somme : ils créent, devant nos yeux ébahis et humides, le film-multiplication.
Ouest France
Un ovni fascinant.
20 Minutes
Ces aventures un tantinet foutraques ne laissent pas une seconde de répit au spectateur en métamorphosant son héroïne en patronne de laverie, en danseuse, en star de cinéma ou en cuisinière mais surtout en cheffe d’une famille au bord de l’implosion.
CinemaTeaser
Sous l'influence des Wachowski, une exploration du multivers dont la générosité et la folie sont à la fois les immenses qualités et les talons d'Achille.
Ecran Large
Everything Everywhere All at Once réussit l’exploit d’être un pur chaos organisé, un bijou d’orfèvrerie tourné vers le n'importe quoi pour pleinement embrasser son délire cosmique… et revenir à la simple échelle de ses touchants personnages. Brillant.
Femme Actuelle
Éclatant, ébouriffant, tout sauf ordinaire.
L'Humanité
Le film constitue un terrain de jeu cinématographique, s’autorise une pure scène d’action à la Bruce Lee, bifurque dans le grand drame hollywoodien, embraye sur de l’expérimental et du muet… Pop et déjanté.
L'Obs
Ce serait la porte ouverte au grand n’importe quoi si les Daniels n’adossaient leur ambition épique digne de « Matrix », leur folie « montypythonesque », leur approche bricolo-surréaliste à la Michel Gondry et leur dextérité inouïe au parcours émotionnel d’Evelyn, interprétée par l’époustouflante Michelle Yeoh (...).
La Voix du Nord
Au final, Everything… s’adresse à un public 2.0 gavé d’informations dans un monde en plein chaos, mais s’attache à brosser, grâce à la puissance du cinéma, le portrait intime et émouvant d’une femme en quête de réconciliation.
Le Figaro
Après le loufoque Swiss Army Man (2016), avec Paul Dano et Daniel Radcliffe, les réalisateurs reviennent avec Everything Everywhere All at Once, un long-métrage aussi farfelu que fantastique, à la croisée de tous les chemins narratifs.
Le Journal du Dimanche
Dans l’esprit de Matrix, l’ovni foisonnant séduit par son imagination débridée, de quoi oublier quelques longueurs. Et quelle joie de revoir Michelle Yeoh pratiquer les arts martiaux !
Le Journal du Geek
Au final, c'est surtout une œuvre qui, en bien ou en mal, ne laissera personne indifférent. Et ça, c'est déjà une réussite.
Les Fiches du Cinéma
Avec son scénario farfelu, avec ses digressions permanentes et ses séquences loufoques parfois spectaculaires, la nouvelle création des Daniels relève presque de l’expérience cinématographique. Un OVNI, déconcertant et hilarant, mais aussi généreux.
Les Inrockuptibles
Les Daniels s’amusent à projeter leur héroïne d’univers en univers, avec une gourmandise cinéphile débordante.
Première
Un film plein comme un oeuf, gros foutoir à l’échelle cosmique mené tambour battant, et dont la grande réussite tient à l’exploration de l’extraordinairement grand - le multivers tout entier - pour régler une affaire a priori infiniment petite - la crise existentielle d’une mère de famille d’origine étrangère, engoncée dans sa vie.
Rolling Stone
Un scénario déjanté, des codes déboussolés. Ou quand un "petit" film sans limites devient centrifugeuse à sensations...
Voici
Derrière ses atours de grand barnum insensé, Everything is Everything All at Once a du coeur et dévoile un propos touchant (...).
aVoir-aLire.com
Foutraque, halluciné et fantasque, ce film américain d’action réinvente le genre avec brio.
Bande à part
Everything Everywhere, All at once met tout le cinéma américain dans un mixeur, pour en sortir un milk-shake aussi riche qu’absurde.
L'Ecran Fantastique
Les premières péripéties du film sont un peu laborieuses [...]. Mais il faut s’accrocher et entrer dans la danse. En effet, passée cette entame, Everything Everywhere All at Once nous transporte sur un rollercoaster vertigineux proprement grisant.
Le Point
Souvent épuisant, mais aussi étonnant, drôle et innovant, EEAAO a le défaut de ses qualités : trop, tout le temps, trop vite.
Positif
L'inflation de péripéties d’Everything..., laiss[e] s’échouer son récit grisant mais boursouflé sur les rives d’un psychologisme convenu dans sa dernière ligne droite de 2 h 30.
Télé 7 Jours
Si le trop-plein du film lasse par moments, on peut saluer son audace irrévérencieuse derrière laquelle se cache une émouvante ode à l’amour.
Télérama
Michelle Yeoh appelée à sauver le “multivers” dans un clip géant tout en science-fiction fantastique.
Cahiers du Cinéma
Daniel Scheinert et Daniel Kwan ne s’abandonnent toutefois pas à cette jouissance. La post-modernité chez eux fracture davantage qu’elle ne fluidifie (au contraire de ce qui arrive chez les soeurs Wachowski, citées de travers).
Critikat.com
Dommage qu’un film obnubilé par l’infinité vertigineuse des possibles se révèle, sous sa surface rutilante, aussi convenu.
Le Monde
En roue libre, les « Daniels » confondent grand n’importe quoi et licence poétique.
Télé Loisirs
Un délire étonnant de prime abord, mais qui finit par lasser par manque de cohérence.