Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film qui pose la question du déterminisme subi par les personnes immigrées dans les sociétés occidentales. Une mise en scène anxieuse et intimiste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'habileté du film réside dans cette manière de confronter chacun non seulement à sa propre conception de la liberté, en refusant de lui mâcher le travail, mais aussi à interroger perpétuellement, jusqu'au bout, la possibilité d'une identification avec un personnage qui s'enfonce dans le refus de la vie elle-même.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
En observant les dynamiques d’une communauté musulmane, Büyükatalay délivre une réflexion puissante sur la complexité humaine et la notion d’identité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Passionnant et sensible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Eva Markovits
A travers le calvaire d'un antihéros, c'est la question de l'identité, son affirmation ou sa dissolution, qui innerve le film (...). Sans jamais prendre parti, Mehmet Akif Büyükatalay, dont c'est le premier long métrage, révèle la complexité d'un système qui muselle autant qu'il fortifie.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Pour son premier long métrage, récompensé à la Berlinale en 2019, Mehmet Akif Büyükatalay signe le portrait contrasté d’un homme pris entre amour et religion.
Ouest France
par La Rédaction
Une oeuvre pleine de nuances desservie par une conclusion trop abrupte.
Télérama
par Jacques Morice
Sous l’influence des frère Dardenne, la mise en scène maîtrisée du jeune réalisateur Mehmet Akif Büyükatalay parvient à compenser les faiblesses du scénario. L’acteur Zejhun Demirov est intense de vérité, dans la colère, le chagrin ou la douceur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Büyükatalay apporte de la nuance et de la complexité à un sujet propice à des raccourcis faciles sans abimer la tension prenante créée par cette épée de Damoclès étouffante. Avant, hélas, qu’elle ne délite dans un épilogue bien trop confus et rapide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par Fabien Baumann
Le plus étrange dans Oray, c’est que ce lamentable prêche se donne la forme d’un « film de festival » de qualité lambda : un côté documentaire assez convaincant, belle petite photo grisâtre, les seconds rôles s’en sortent plutôt bien. Dans les scènes de débauche, en revanche, Mehmet Akif Büyükatalay et son interprète jouent aux artistes et c’est catastrophique.
L'Obs
Un film qui pose la question du déterminisme subi par les personnes immigrées dans les sociétés occidentales. Une mise en scène anxieuse et intimiste.
Le Monde
L'habileté du film réside dans cette manière de confronter chacun non seulement à sa propre conception de la liberté, en refusant de lui mâcher le travail, mais aussi à interroger perpétuellement, jusqu'au bout, la possibilité d'une identification avec un personnage qui s'enfonce dans le refus de la vie elle-même.
Les Fiches du Cinéma
En observant les dynamiques d’une communauté musulmane, Büyükatalay délivre une réflexion puissante sur la complexité humaine et la notion d’identité.
aVoir-aLire.com
Passionnant et sensible.
Cahiers du Cinéma
A travers le calvaire d'un antihéros, c'est la question de l'identité, son affirmation ou sa dissolution, qui innerve le film (...). Sans jamais prendre parti, Mehmet Akif Büyükatalay, dont c'est le premier long métrage, révèle la complexité d'un système qui muselle autant qu'il fortifie.
Les Inrockuptibles
Pour son premier long métrage, récompensé à la Berlinale en 2019, Mehmet Akif Büyükatalay signe le portrait contrasté d’un homme pris entre amour et religion.
Ouest France
Une oeuvre pleine de nuances desservie par une conclusion trop abrupte.
Télérama
Sous l’influence des frère Dardenne, la mise en scène maîtrisée du jeune réalisateur Mehmet Akif Büyükatalay parvient à compenser les faiblesses du scénario. L’acteur Zejhun Demirov est intense de vérité, dans la colère, le chagrin ou la douceur.
Première
Büyükatalay apporte de la nuance et de la complexité à un sujet propice à des raccourcis faciles sans abimer la tension prenante créée par cette épée de Damoclès étouffante. Avant, hélas, qu’elle ne délite dans un épilogue bien trop confus et rapide.
Positif
Le plus étrange dans Oray, c’est que ce lamentable prêche se donne la forme d’un « film de festival » de qualité lambda : un côté documentaire assez convaincant, belle petite photo grisâtre, les seconds rôles s’en sortent plutôt bien. Dans les scènes de débauche, en revanche, Mehmet Akif Büyükatalay et son interprète jouent aux artistes et c’est catastrophique.