Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
CNews
par Chloé Ronchin
Olivier Baroux signe une comédie chaleureuse, aux allures de petite fable sociale et truffée de gags hilarants.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La famille la plus beauf et zinzin du cinéma est de retour, avec un peu de retard à l’allumage, un report d’un an de la sortie pour cause d’épidémie. La touche Tuche est intacte dans ce conte de Noël social.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les Tuche apparaissent plus que jamais comme la version famille de la tribu de potes des Bronzés. D’ailleurs, Michel Blanc, inoubliable Jean-Claude Dusse dans Les Bronzés, déboule au casting, impayable avec sa moumoute. C’est lui, le beauf qui fait du commerce sur Internet. Son nom est Marteau !
Le Parisien
par La Rédaction
Un film bourré de guirlandes de Noël et de bons mots que certains, comme d’habitude, trouveront de mauvais goût. L’abattage de Jean-Paul Rouve et Isabelle Nanty, avec l’ingrédient spécial Michel Blanc, fait toujours des miracles. C’est comme les frites : Les Tuche, on en reprend.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
La célèbre famille Tuche revient en grande forme dans une tendre comédie aux accents magiques.
Ecran Large
par Simon Riaux
La famille est fatiguée, la plupart des gags essorés par les trois épisodes précédents et le ton de l'ensemble inégal... mais Les Tuche demeure une curiosité résolument à part au sein de la comédie française, capable d'asséner de réjouissants coups de boutoir à notre imaginaire collectif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une sorte de conte de Noël bébête à l’humour régressif toujours aussi assumé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par L.L.
Comme pour les précédents volets, on ne peut pas parler de grand film mais l'écriture est ciselée, les acteurs sont bons et l'on est content de retrouver ces héros récurrents qui nous font rire de bon cœur pendant une heure quarante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec des frites, de la bière et une hotte riche de punchlines autant que de tendresse, ce quatrième épisode "de bâtard", toujours teinté d'un sous-texte social généreux, atteste de la vitalité des scénaristes pour réinventer, avec talent, l'inimitable Tuche attitude.
Télérama
par Frédéric Strauss
Si cette comédie est parfois à la peine, on y trouve, dans tous les coins et recoins, des gags absurdes et un humour cancre qu’il n’est pas interdit de savourer, comme le « Fousytout », gratin de restes servi à table avec les célèbres frites maison.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si l’on rit de bon cœur les quinze-vingt premières minutes, la mécanique finit par se gripper, pâtissant d’un scénario un brin démago et presque aussi paresseux que son protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Malgré de bons moments, cet épisode verse dans le sentimentalisme du conte de Noël, alors que la saga nous avait habitués à plus de loufoquerie.
Marianne
par La Rédaction
Le film, maintes fois repoussé, devait initialement sortir à Noël 2020. Sans le Covid, il aurait sans doute fait le job. Au cœur de cette pandémie, qui nécessite des dérivatifs puissants, ces Tuche-là manquent singulièrement de force comique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le résultat ressemble au mieux à un dessin de Plantu, et au pire à un de ces navets d’entraide populaire dont le cinéma français a le secret, réécritures daubesques de David contre Goliath en version entrepreneuriat solidaire et folklore prolo bon teint.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CNews
Olivier Baroux signe une comédie chaleureuse, aux allures de petite fable sociale et truffée de gags hilarants.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La famille la plus beauf et zinzin du cinéma est de retour, avec un peu de retard à l’allumage, un report d’un an de la sortie pour cause d’épidémie. La touche Tuche est intacte dans ce conte de Noël social.
Le Dauphiné Libéré
Les Tuche apparaissent plus que jamais comme la version famille de la tribu de potes des Bronzés. D’ailleurs, Michel Blanc, inoubliable Jean-Claude Dusse dans Les Bronzés, déboule au casting, impayable avec sa moumoute. C’est lui, le beauf qui fait du commerce sur Internet. Son nom est Marteau !
Le Parisien
Un film bourré de guirlandes de Noël et de bons mots que certains, comme d’habitude, trouveront de mauvais goût. L’abattage de Jean-Paul Rouve et Isabelle Nanty, avec l’ingrédient spécial Michel Blanc, fait toujours des miracles. C’est comme les frites : Les Tuche, on en reprend.
Télé Loisirs
La célèbre famille Tuche revient en grande forme dans une tendre comédie aux accents magiques.
Ecran Large
La famille est fatiguée, la plupart des gags essorés par les trois épisodes précédents et le ton de l'ensemble inégal... mais Les Tuche demeure une curiosité résolument à part au sein de la comédie française, capable d'asséner de réjouissants coups de boutoir à notre imaginaire collectif.
La Voix du Nord
Une sorte de conte de Noël bébête à l’humour régressif toujours aussi assumé.
Le Figaro
Comme pour les précédents volets, on ne peut pas parler de grand film mais l'écriture est ciselée, les acteurs sont bons et l'on est content de retrouver ces héros récurrents qui nous font rire de bon cœur pendant une heure quarante.
Télé 7 Jours
Avec des frites, de la bière et une hotte riche de punchlines autant que de tendresse, ce quatrième épisode "de bâtard", toujours teinté d'un sous-texte social généreux, atteste de la vitalité des scénaristes pour réinventer, avec talent, l'inimitable Tuche attitude.
Télérama
Si cette comédie est parfois à la peine, on y trouve, dans tous les coins et recoins, des gags absurdes et un humour cancre qu’il n’est pas interdit de savourer, comme le « Fousytout », gratin de restes servi à table avec les célèbres frites maison.
Le Journal du Dimanche
Si l’on rit de bon cœur les quinze-vingt premières minutes, la mécanique finit par se gripper, pâtissant d’un scénario un brin démago et presque aussi paresseux que son protagoniste.
Le Monde
Malgré de bons moments, cet épisode verse dans le sentimentalisme du conte de Noël, alors que la saga nous avait habitués à plus de loufoquerie.
Marianne
Le film, maintes fois repoussé, devait initialement sortir à Noël 2020. Sans le Covid, il aurait sans doute fait le job. Au cœur de cette pandémie, qui nécessite des dérivatifs puissants, ces Tuche-là manquent singulièrement de force comique.
Les Inrockuptibles
Le résultat ressemble au mieux à un dessin de Plantu, et au pire à un de ces navets d’entraide populaire dont le cinéma français a le secret, réécritures daubesques de David contre Goliath en version entrepreneuriat solidaire et folklore prolo bon teint.