Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
La beauté du point de vue d’Une colonie tient à une façon délicate d’entretenir à la fois un rapport d’identité et d’altérité à son héroïne.
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
Pour son premier long-métrage, Geneviève Dulude-De Celles ne révolutionne pas le récit d’apprentissage. Elle l’embrasse foncièrement, captant les émois et les bizarreries, les excès et la cruauté de l’adolescence. Elle en raconte avec délicatesse les rites de passage et les échappatoires de liberté, les non-choix et les affirmations.
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Remarquable par la finesse et la délicatesse du propos comme de la peinture de son petit monde, sans une seule fois souscrire aux injonctions sociales sur les conduites alimentaires, vestimentaires ou sexuelles, le film se déroule en douceur et en fraîcheur sur sa ligne non tracée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Filmsactu
par Veronica Sawyer
Joli film simple, modeste, juste et parfois spleenesque sur l'apprentissage de l'adolescence, Une Colonie se révèle touchant non seulement par la réalisation de la québécoise Geneviève Dulude-De Celles mais aussi par la formidable interprétation de sa comédienne principale Emilie Bierre.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Vincent Ostria
On a l’impression d’être, comme le personnage, plongé dans un bain visuel et auditif où rien ni personne ne domine, sans que ce soit confus. Cela contribue beaucoup au naturel du film, et même à l’empathie qu’on peut ressentir pour cette jeune fille jolie et réservée qui peine à s’intégrer dans un cercle amical.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un regard juste et sensible sur le passage de l’enfance à l’adolescence.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Il y a quelque chose de précieux et de beau dans ce premier film qui évoque aussi la place des Peuples premiers.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Joli film d’initiation où la réalisatrice canadienne, Geneviève Dulude-De-Celles saisit avec finesse le sentiment de solitude, l’incapacité à se sentir comme les autres et la difficulté d’être.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
"Une Colonie" est cet éloge lumineux de la différence, faisant aussi ce pas de côté dans le paysage du cinéma canadien contemporain.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La réalisatrice Geneviève Dulude-De Celles nous offre un récit d’apprentissage d’une grande délicatesse portée par une jeune actrice qui crève l’écran.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] ce portrait d’une fille pas tout à fait sortie de l’enfance mais sujette aux préoccupations adolescentes (le besoin d’appartenance au groupe, la recherche de nouvelles expériences) touche par sa délicatesse et sa modestie.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Qu’est-ce qui distingue un film sur l’adolescence d’un autre de ce genre initiatique dont le jeune cinéma d’auteur est friand ? Il suffit parfois d’un rien – un accent, un ton, un tempérament – pour faire la différence. C’est le cas du premier long-métrage de fiction de Geneviève Dulude De Celles (...).
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Pour son premier long métrage de fiction, G. Dulude-De Celles filme les fragiles instants de l'adolescence et révèle, au passage, la prometteuse Émilie Bierre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
"Une colonie" n’est pas le genre de film à dépasser des limites de son cadre lorsqu’il dessine. Progressant sur le terrain miné du teen movie et parfaitement conscient qu’il suit un sentier doublement arpenté (par nos vies et par le cinéma qui l’a si souvent fait vivre devant nos yeux), le film redéploie les scènes clés du genre, celles que l’on a vécues puis vues mille fois sans chercher à s'en démarquer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
[...] «Une Colonie» de la réalisatrice canadienne Geneviève Dulude-De Celles ne révolutionne pas le genre du récit initiatique. Mais le film séduit par sa sensibilité et l'élégance de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Une colonie est fait de toutes ces petites choses-là. Sans révolutionner le genre du récit d’apprentissage, mais en trouvant le ton juste et sensible pour raconter ce passage de l’enfance à l’adolescence sans une once de mièvrerie et susciter une empathie de chaque instant avec son héroïne pétrie de contradictions.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sur fond de marginalité, une authentique réflexion sur la délicate transition entre le monde de l’enfance et l’âge adolescent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Grignon
En faisant de la rencontre entre ces deux solitudes le nœud du récit, Une colonie envisage le collectif moins du point de vue de ses rouages que de ses marges, quitte à réduire son propos à un plaidoyer naïf et adolescent en faveur des exclus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
La beauté du point de vue d’Une colonie tient à une façon délicate d’entretenir à la fois un rapport d’identité et d’altérité à son héroïne.
CinemaTeaser
Pour son premier long-métrage, Geneviève Dulude-De Celles ne révolutionne pas le récit d’apprentissage. Elle l’embrasse foncièrement, captant les émois et les bizarreries, les excès et la cruauté de l’adolescence. Elle en raconte avec délicatesse les rites de passage et les échappatoires de liberté, les non-choix et les affirmations.
Culturopoing.com
Remarquable par la finesse et la délicatesse du propos comme de la peinture de son petit monde, sans une seule fois souscrire aux injonctions sociales sur les conduites alimentaires, vestimentaires ou sexuelles, le film se déroule en douceur et en fraîcheur sur sa ligne non tracée.
Filmsactu
Joli film simple, modeste, juste et parfois spleenesque sur l'apprentissage de l'adolescence, Une Colonie se révèle touchant non seulement par la réalisation de la québécoise Geneviève Dulude-De Celles mais aussi par la formidable interprétation de sa comédienne principale Emilie Bierre.
L'Humanité
On a l’impression d’être, comme le personnage, plongé dans un bain visuel et auditif où rien ni personne ne domine, sans que ce soit confus. Cela contribue beaucoup au naturel du film, et même à l’empathie qu’on peut ressentir pour cette jeune fille jolie et réservée qui peine à s’intégrer dans un cercle amical.
Le Dauphiné Libéré
Un regard juste et sensible sur le passage de l’enfance à l’adolescence.
Ouest France
Il y a quelque chose de précieux et de beau dans ce premier film qui évoque aussi la place des Peuples premiers.
Sud Ouest
Joli film d’initiation où la réalisatrice canadienne, Geneviève Dulude-De-Celles saisit avec finesse le sentiment de solitude, l’incapacité à se sentir comme les autres et la difficulté d’être.
La Septième Obsession
"Une Colonie" est cet éloge lumineux de la différence, faisant aussi ce pas de côté dans le paysage du cinéma canadien contemporain.
La Voix du Nord
La réalisatrice Geneviève Dulude-De Celles nous offre un récit d’apprentissage d’une grande délicatesse portée par une jeune actrice qui crève l’écran.
Le Journal du Dimanche
[...] ce portrait d’une fille pas tout à fait sortie de l’enfance mais sujette aux préoccupations adolescentes (le besoin d’appartenance au groupe, la recherche de nouvelles expériences) touche par sa délicatesse et sa modestie.
Le Monde
Qu’est-ce qui distingue un film sur l’adolescence d’un autre de ce genre initiatique dont le jeune cinéma d’auteur est friand ? Il suffit parfois d’un rien – un accent, un ton, un tempérament – pour faire la différence. C’est le cas du premier long-métrage de fiction de Geneviève Dulude De Celles (...).
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long métrage de fiction, G. Dulude-De Celles filme les fragiles instants de l'adolescence et révèle, au passage, la prometteuse Émilie Bierre.
Les Inrockuptibles
"Une colonie" n’est pas le genre de film à dépasser des limites de son cadre lorsqu’il dessine. Progressant sur le terrain miné du teen movie et parfaitement conscient qu’il suit un sentier doublement arpenté (par nos vies et par le cinéma qui l’a si souvent fait vivre devant nos yeux), le film redéploie les scènes clés du genre, celles que l’on a vécues puis vues mille fois sans chercher à s'en démarquer.
Paris Match
[...] «Une Colonie» de la réalisatrice canadienne Geneviève Dulude-De Celles ne révolutionne pas le genre du récit initiatique. Mais le film séduit par sa sensibilité et l'élégance de sa mise en scène.
Première
Une colonie est fait de toutes ces petites choses-là. Sans révolutionner le genre du récit d’apprentissage, mais en trouvant le ton juste et sensible pour raconter ce passage de l’enfance à l’adolescence sans une once de mièvrerie et susciter une empathie de chaque instant avec son héroïne pétrie de contradictions.
aVoir-aLire.com
Sur fond de marginalité, une authentique réflexion sur la délicate transition entre le monde de l’enfance et l’âge adolescent.
Critikat.com
En faisant de la rencontre entre ces deux solitudes le nœud du récit, Une colonie envisage le collectif moins du point de vue de ses rouages que de ses marges, quitte à réduire son propos à un plaidoyer naïf et adolescent en faveur des exclus.