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Hastur64
229 abonnés
2 289 critiques
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2,5
Publiée le 16 janvier 2010
Un film digne des deuxièmes parties de soirées de M6 ou TF1. Le scénario est distrayant mais peu crédible. L’histoire de ce génie de l’informatique qui se rend compte que la multinationale de l’informatique pour qui il travaille tue des programmeurs et qui essaye de la ruiner n’est pas sans rappeler « Traque sur internet » avec Sandra Bullock (1996). Les références à Microsoft et à son PDG ne sont pas non plus très subtiles même si le PDG de cette firme imaginaire n’est pas sans rappeler le PDG d’Apple Steve Jobs pour son égotisme. Sinon rien de nouveau : théorie du complot, jeune idéaliste incorruptible, agents doubles dans tous les camps, traîtres dans l’entourage intime du héro, hommes de mains brutaux, retournement de situation invraisemblable, etc… Quand aux dialogues et aux péripéties ils sont super convenus et la réalisation très classique s’assure que le film ne sort pas des clous ! Bref un film divertissant où Ryan Phillippe joue sa partie avec professionnalisme mais sans plus, à voir pour éviter de s’ennuyer. Mais si vous avez mieux à faire sachez que vous ne perdrez rien en ne le voyant pas.
Une petite série B au fond assez pertinent mais plutôt mal exploité par un scénario qui préfère multiplié les rebondissements plutôt que les réflexions pertinentes. Visuellement, la photo est assez quelconque et P. Howitt met du rythme avec une caméra en mouvement et des scènes courtes. L'interprétation est assez inégale, R. Philippe semblant un peu paumé parfois mais T. Robbins est parfait quand à lui. On ne s'ennuie pas vraiment, c'est parfois invraisemblable mais ça reste passionnant et certains rebondissements sont vraiment inattendus. Sans prétention, regardable mais pas bouleversant. D'autres critiques sur
Pas mal ce thriller , il est assez conventionnel dans son genre mais cela n'empêche pas de passer un bon moment.L'univers abordé est celui de l'informatique au sens large : les grandes compagnies , les logiciels révolutionnaires et les jeunes programmeurs avec comme fil conducteur la loi de la concurrence.Je dit que le scénario est classique surtout à cause de l'enchainement des évènements : le héros mène une vie tranquille , il a une opportunité rare qu'il saisit ,il se retrouve dans une situation paradisiaque ,puis il se rend compte que ce n'est pas aussi idyllique que prévu etc etc.Si certains rebondissements sont prévisibles ,d'autre le sont beaucoup moins et donc le film parvient quand même à surprendre et donc à maintenir un niveau de suspense correct.Coté personnage c'est assez bateau et pour le casting Ryan Philippe est assez convaincant même si on le préfère dans sexe intentions.Donc voilà dans l'ensemble c'est un bon petit film bien sympa sur l'univers des geeks , avis aux amateurs du genre.
"Antitrust" est un thriller au scénario solide qui se déroule dans le milieux tabou des firmes de hautes technologies, il n'est alors pas difficile d'imaginer que Tim robbins campe un ersatz de Bill Gates. Si la forme est globalement accrochante, avec quelques moments de tensions, le film demeure ainsi intéressant de par son sujet, très rare au cinéma, même s'il s'oublie assez vite.
J'ai vu un film... qui ne paie pas de mine, mais qui a l'avantage de faire découvrir un univers de la guerre économique. Tim Robbins a un jeu vraiment intéressant, à la fois charmeur et inquiétant... comme on imagine B. Gates... Dommage que cette guerre économique dévie (un peu trop) vers le (soit disant) thriller... On peut espionner, escamoter,s'approprier sans nécessairement tuer. Les personnages féminins sont vraiment intéressants, et la fin un peu convenue... mais bon, on passe un bon moment.
Malgré un début un peut hésitant, ANTITRUST se révèle être un thriller informatique bien mené et prenant, avec d'excellents renversements de situation. Ryan Phillippe sen sort bien mais ne semble pas toujours très à laise, contrairement à Claire Fornali qui offre une excellente interprétation. Très divertissant !
Un gentil surdoué de l’informatique est recruté par un clone de Bill Gates. Ce patron est méchant, mais alors très très méchant. Le petit jeune découvre les preuves de la méchanceté de son employeur en piratant les ordinateurs du jardin d’enfants (c’est vrai, c’est dans le film !!). Il voudra alors révéler au monde entier, au péril de sa vie, la méchanceté du patron pas gentil. Suspense, se fera-t-il empoisonner par une graine de sésame ? Parviendra-t-il à faire arrêter le très méchant capitaliste sans scrupule ? Un conseil, si vous voulez connaître la réponse, réfléchissez une nano seconde, ça vous évitera de voir ce ridicule polar informatique aussi crédible qu’un poisson d’avril du journal tv, et aussi palpitant qu’un épisode de l’inspecteur Derrick (et encore, je suis pas gentil avec l’inspecteur Derrick). Mais je pousse un grand cri d’horreur, que fait Tim Robbins dans cette galère ?
Très bon au départ, l'histoire était bien simple à suivre mais très vite, le côté ado et découverte informatique de cette bien belle Sylicon Valey s'est tournée vers le thriller et presque même le film policier. Quant au script pareil, simple à suivre jusqu'à ces accumulations trop complexe pour moi de termes informatique qui finissent par me perdre et au final, j'accélère souvent. Et puis c'est quand je vois les proches de départ du héros se changer en ennemis, je suis officiellement perdu. Bien dommage, mais point fort, un bon trio de jeunes et des actrices séduisantes.
Ce thriller pamphlet contre l'industrie technologique médiatique pêche par ses personnages caricaturaux ( notamment l'impeccable Tim Robbins qui n'est qu'une copie de Bill Gates) par son acteur principal Ryan Philippe aussi charismatique qu'une limande et s'enlise au fur et à mesure dans le poussif et le conventionnel.
"Antitrust" est le second film de Peter Howitt en tant que réalisateur, celui-ci ayant commencé sa carrière en tant que décorateur sur les deux premiers "Superman". Avant le très moyen "Johnny English", le cinéaste a sorti ce long-métrage qui repose en grande partie sur la prestation de Ryan Philippe, acteur très populaire à l'époque suite aux succès de "Souviens-toi l'été dernier" en 1998 et de "Sexe Intentions" en 1999 où il partageait à chaque fois l'affiche avec Sarah Michelle Gellar. Autour de lui, on trouve un casting solide avec Rachael Leigh Cook, autre actrice très populaire à l'époque (" Elle est trop bien" en 1999) et surtout Tim Robbins qui incarne avec justesse un homme d'affaires machiavélique et mal intentionné. Les seconds rôles sont plutôt bien campés et signalons pour les plus pointilleux, la présence de Nate Dushku, frère d'Eliza Dushku ("Buffy contre les vampires","Dollhouse") ainsi que Tyler Labine, autre acteur que j'avais particulièrement apprécié dans la série peu connue "Dead Last". Le scénario bien que sans surprises est parfaitement ficelé et l'intrigue avance à bon rythme malgré son caractère improbable. "Antitust" est en fait à mi-chemin entre le thriller et l'espionnage mais ne s'embarrasse pas d'intrigues parallèles et les faux-semblants sont rapidement passés à la trappe. Le fait d'avoir situé le film dans le milieu de l'informatique et de l'Internet encore balbutiant (nous sommes en 2001) est bien ancré dans la réalité de l'époque et le message anti-capitaliste prônant la liberté informatique bien que léger n'est pas inapproprié et reste assez pertinent. "Antitrust" n'est pas au final un film incontournable mais il réussit là où beaucoup échouent, il divertit et réunit tous les éléments nécessaires pour faire passer au spectateur un bon moment : suspense, action et un peu de réflexion. En bref, c'est un film sympathique et sans prétention qui ne vous fera pas passer un moment inoubliable mais que vous pourrez revoir sans déplaisir.
Assez prévisible du début à la fin, mais avec quelques doses d'adrénaline. Le personnage principal a un bon jeu, mais ses collègues ne suivent pas toujours. L'univers informatique est bien exploité, mais je concède que mon opinion n'est pas celle d'un super-spécialiste, et que des erreurs de fond ont pu être commises. Enfin au moins, le personnage n'a pas piraté la maison blanche depuis un ordinateur de seconde zone en 23,7 secondes top chrono !