Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
"Knives and Skin" de Jennifer Reeder est le film d’une femme à la parole libre, portant un regard sur ses congénères. Passant outre certaines références assumées, le spectateur découvrira un premier long-métrage original, osé et très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Ce long-métrage plonge le spectateur dans un monde où chacun tente de surmonter un drame inexpliqué.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
En reprenant des codes narratifs et esthétiques de Lynch, Haynes ou Araki, Jennifer Reeder fait un peu la même chose que ses adolescentes : elle trouve sa voix dans la reprise.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
C'est beau, c'est étrange, c'est troublant. C'est effrayant comme un David Lynch et doux comme un Gregg Araki (à moins que ça ne soit l'inverse). C'est "Knives and Skin", et c'est à ne pas rater.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Antoine Le Fur
La mise en scène regorge d'inventivité, comme dans cette séquence de chorale où les différents échanges entre les personnages se font par l'intermédiaire de messes basses. Et, bien sûr, il y a ce message féministe, original et pertinent, que le film véhicule avec fluidité.
La Septième Obsession
par Maxime Lachaud
Ambitieux et pas exempt de défauts, "Knives and Skin" a néanmoins ce feeling unique, au rythme lent et envoûtant, et une maîtrise stylistique indéniable.
Marie Claire
par Emily Barnett
Sur un sujet sérieux, un premier film fantaisiste habité par une brochette d'amazones.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un teen-movie féministe, hautement stylisé, par la fille cachée de David Lynch et Gregg Araki. On en redemande !
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Mathilde Blottière
Un thriller féministe troublant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Une performance artistique explorant des pistes plastiques intéressantes, mais qui, en surdosage, risquent de perdre, voire de heurter le spectateur non avisé.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Maryline Sandra
Semblant accorder plus d'importance au style qu'à la narration, la réalisatrice nous livre un film non exempt de défauts mais envoûtant.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Aux États-Unis, dans une petite ville de banlieue, la jeune Carolyn disparaît. Chacun affronte le drame à sa façon, et des secrets se révèlent... Difficile de s’intéresser à ce dispositif savamment conçu mais dont aucune émotion, aucun vertige ne vient jaillir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
Le désagréable goût de déjà-vu de la photographie se dissipe peu à peu, sauvé par quelques très beaux plans (ces deux visages qui chantent en chœur et fusionnent sous une afro commune) et surtout par un jeu d’acteur compassé, limite pétrifié, qui renforce l’irréalité fluo dans laquelle baigne cette Amérique de nulle part.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
"Knives and Skin" se fige [...], dans l'attente désespérée que le sens émerge des seules intentions.
Ouest France
par La Rédaction
Un drame oppressant à l'intrigue un peu décousue mais dont le féminisme est bien dans l'ère du temps.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
L’ultra-stylisation de l’ensemble cherche trop à flatter l’œil, au risque de n’aborder que superficiellement certains enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
On se sent presque honteux, coupables de ne pas aimer "Knives and Skin" tant on adhère à ce qu’il dénonce.(...) Mais le message à transmettre résonne comme un cahier des charges, caricaturant le propos jusqu’à le rendre conservateur, à l’instar des slashers accusés d’être puritains, où les ados étaient punis lorsqu’ils consommaient.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Là où le bizarre dans les films et séries de David Lynch ne posait pas une barrière entre les personnages et les spectateurs, il crée ici un écran infranchissable derrière lesquels Carolyn, sa mère et les autres se débattent sans susciter l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Jennifer Reeder mise tout sur une esthétique rétro, s’appuyant à outrance sur néons et synthétiseurs, pour tenter de masquer la vacuité de cet interminable pastiche de Twin Peaks.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage que le film dénué d’émotion et de tension s’avère si soporifique, déjouant un point de départ prometteur.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
En surchargeant son récit de marqueurs contemporains anecdotiques (notamment une histoire d’amour lesbienne ici totalement accessoire), "Knives and Skin", film choral porté par un élan de sororité évident, oublie pourtant l’essentiel : regarder ses personnages comme des individus pour que leurs peaux, menacées par les lames d’un couteau, arrachent enfin leur enveloppe glacée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sophie Benamon
Clairement sous influence lynchienne (jusqu’à l’excès) et proche du cinéma de Gregg Araki, Knives and Skin déroule dans une ambiance électrique et une atmosphère oppressante une galerie de personnages pathétiques et surprenants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Première
par Sophie Benamon
Claire-ment sous influence lynchienne (jusqu’à l’excès) et proche du cinéma de Gregg Araki, Knives and Skin déroule dans une ambiance électrique et une atmosphère oppressante une galerie de personnages pathétiques et surprenants. Un peu trop, parfois. Ce qui donne une trame souvent décousue.
Voici
par Daniel Blois
Intrigant mais très peu maîtrisé.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Immature, copiste, poseur, le film a forcément de grandes qualités visuelles : ce ne sont juste pas les siennes.
L'Obs
par François Forestier
Visiblement, la réalisatrice s’est shootée au cinéma de David Lynch, mais il y a overdose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sous son esthétisme bariolé, le film se révèle d’une grande pauvreté de mise en scène.
Positif
par Bernard Génin
Mais trop de personnages, trop de provoc, trop de détails crades et de musique planante finissent par infliger au spectateur un long clip soporifique (la mère de la disparue dirige une chorale).
Bande à part
"Knives and Skin" de Jennifer Reeder est le film d’une femme à la parole libre, portant un regard sur ses congénères. Passant outre certaines références assumées, le spectateur découvrira un premier long-métrage original, osé et très prometteur.
CNews
Ce long-métrage plonge le spectateur dans un monde où chacun tente de surmonter un drame inexpliqué.
Cahiers du Cinéma
En reprenant des codes narratifs et esthétiques de Lynch, Haynes ou Araki, Jennifer Reeder fait un peu la même chose que ses adolescentes : elle trouve sa voix dans la reprise.
Ecran Large
C'est beau, c'est étrange, c'est troublant. C'est effrayant comme un David Lynch et doux comme un Gregg Araki (à moins que ça ne soit l'inverse). C'est "Knives and Skin", et c'est à ne pas rater.
L'Express
La mise en scène regorge d'inventivité, comme dans cette séquence de chorale où les différents échanges entre les personnages se font par l'intermédiaire de messes basses. Et, bien sûr, il y a ce message féministe, original et pertinent, que le film véhicule avec fluidité.
La Septième Obsession
Ambitieux et pas exempt de défauts, "Knives and Skin" a néanmoins ce feeling unique, au rythme lent et envoûtant, et une maîtrise stylistique indéniable.
Marie Claire
Sur un sujet sérieux, un premier film fantaisiste habité par une brochette d'amazones.
Paris Match
Un teen-movie féministe, hautement stylisé, par la fille cachée de David Lynch et Gregg Araki. On en redemande !
Télérama
Un thriller féministe troublant.
Franceinfo Culture
Une performance artistique explorant des pistes plastiques intéressantes, mais qui, en surdosage, risquent de perdre, voire de heurter le spectateur non avisé.
L'Ecran Fantastique
Semblant accorder plus d'importance au style qu'à la narration, la réalisatrice nous livre un film non exempt de défauts mais envoûtant.
Les Fiches du Cinéma
Aux États-Unis, dans une petite ville de banlieue, la jeune Carolyn disparaît. Chacun affronte le drame à sa façon, et des secrets se révèlent... Difficile de s’intéresser à ce dispositif savamment conçu mais dont aucune émotion, aucun vertige ne vient jaillir.
Libération
Le désagréable goût de déjà-vu de la photographie se dissipe peu à peu, sauvé par quelques très beaux plans (ces deux visages qui chantent en chœur et fusionnent sous une afro commune) et surtout par un jeu d’acteur compassé, limite pétrifié, qui renforce l’irréalité fluo dans laquelle baigne cette Amérique de nulle part.
Mad Movies
"Knives and Skin" se fige [...], dans l'attente désespérée que le sens émerge des seules intentions.
Ouest France
Un drame oppressant à l'intrigue un peu décousue mais dont le féminisme est bien dans l'ère du temps.
Critikat.com
L’ultra-stylisation de l’ensemble cherche trop à flatter l’œil, au risque de n’aborder que superficiellement certains enjeux.
Culturopoing.com
On se sent presque honteux, coupables de ne pas aimer "Knives and Skin" tant on adhère à ce qu’il dénonce.(...) Mais le message à transmettre résonne comme un cahier des charges, caricaturant le propos jusqu’à le rendre conservateur, à l’instar des slashers accusés d’être puritains, où les ados étaient punis lorsqu’ils consommaient.
La Croix
Là où le bizarre dans les films et séries de David Lynch ne posait pas une barrière entre les personnages et les spectateurs, il crée ici un écran infranchissable derrière lesquels Carolyn, sa mère et les autres se débattent sans susciter l’émotion.
Le Figaro
Jennifer Reeder mise tout sur une esthétique rétro, s’appuyant à outrance sur néons et synthétiseurs, pour tenter de masquer la vacuité de cet interminable pastiche de Twin Peaks.
Le Journal du Dimanche
Dommage que le film dénué d’émotion et de tension s’avère si soporifique, déjouant un point de départ prometteur.
Les Inrockuptibles
En surchargeant son récit de marqueurs contemporains anecdotiques (notamment une histoire d’amour lesbienne ici totalement accessoire), "Knives and Skin", film choral porté par un élan de sororité évident, oublie pourtant l’essentiel : regarder ses personnages comme des individus pour que leurs peaux, menacées par les lames d’un couteau, arrachent enfin leur enveloppe glacée.
Première
Clairement sous influence lynchienne (jusqu’à l’excès) et proche du cinéma de Gregg Araki, Knives and Skin déroule dans une ambiance électrique et une atmosphère oppressante une galerie de personnages pathétiques et surprenants.
Première
Claire-ment sous influence lynchienne (jusqu’à l’excès) et proche du cinéma de Gregg Araki, Knives and Skin déroule dans une ambiance électrique et une atmosphère oppressante une galerie de personnages pathétiques et surprenants. Un peu trop, parfois. Ce qui donne une trame souvent décousue.
Voici
Intrigant mais très peu maîtrisé.
CinemaTeaser
Immature, copiste, poseur, le film a forcément de grandes qualités visuelles : ce ne sont juste pas les siennes.
L'Obs
Visiblement, la réalisatrice s’est shootée au cinéma de David Lynch, mais il y a overdose.
Le Monde
Sous son esthétisme bariolé, le film se révèle d’une grande pauvreté de mise en scène.
Positif
Mais trop de personnages, trop de provoc, trop de détails crades et de musique planante finissent par infliger au spectateur un long clip soporifique (la mère de la disparue dirige une chorale).