Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Ouest France
par Thierry Cheze
Portées par deux formidables interprètes non professionnels, ces scènes de la vie conjugale dégagent force et vérité.
Première
par Thomas Baurez
Avec le diptyque "Chained/ Beloved" autour d’un couple en crise, l’israélien Yaron Shani signe un drame intime passionnant où les points de vue se répondent pour mieux rendre compte de la complexité des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
On a rarement fait plus dense et plus sensible que cette exploration au couteau d’un couple, de ce qui le porte, de ce qui le brise.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
par Hava Sarfati
L’art de Yaron Shani consiste à exacerber les frontières pour mieux les abolir.
Elle
par Françoise Delbecq
En flic déboussolé par une enquête interne, Eran Naim est parfait. Quant à Stav Almagor, elle est bouleversante dans la peau d’une femme en plein conflit intérieur.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Chained et Beloved étonnent par leur puissance dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fiction politique qui, à travers son héros, ausculte une société israélienne gangrenée par ses propres certitudes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un impressionnant drame intimiste.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec ce diptyque [...], l'Israélien Yaron Shani explore le versant masculin et féminin d'une rupture. Un procédé qui se révèle subtil pour traduire la complexité des sentiments.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dans un style hyperréaliste et avec des acteurs criants de vérité, Yaron Shani livre un récit captivant en jouant sur ce qui survient hors-champs et que l'on ne découvrira que dans la seconde partie de son diptyque "Beloved".
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Jouant ainsi avec la déformation, esthétique et narrative (le vrai et le faux), Yaron Shani propose un autre regard sur le couple, cette énigme.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Magistralement interprété, ce film, qui produit un impressionnant effet de réalisme, livre un questionnement puissant sur ce que c’est qu’être un homme aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film expose alors, à travers de longues séquences peu chargées narrativement mais qui bouillonnent de l’intérieur, la complexité des rapports humains, la fabrique de ses monstres [...] Fresque éprouvante, radioscopie à vif des écorchures humaines, "Chained" et "Beloved" forment un double film en crise (identitaire, familiale, sociétale).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Ophir Levy
Le cinéaste israélien semble en effet particulièrement habité par ce sens aigu du tragique qui se caractérise par une grande clairvoyance à l’endroit de la fatalité, mêlée au plus parfait aveuglement quant au rôle exact que chacun s’apprête à jouer dans la série d’événements funestes que ses pressentiments convertissent en destin.
Télérama
par Mathilde Blottière
On sort de "Chained" profondément secoué, et loin des stéréotypes sur ce que doit ou non être un homme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
L’intérêt du projet de Yaron Shani est de faire sauter allègrement les barrières entre fiction et documentaire en partant de situations ou d’émotions, vécues par les acteurs eux-mêmes, nous donnant le sentiment d’entrer dans l’intimité d’un vrai couple avec tout ce que cela peut avoir d’impudique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La rédaction
Récit d'une chute vertigineuse, « Chained », s'il souffre de longueurs, nous fait basculer dans l'enfer intérieur d'un homme [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Il y a du Asghar Farhadi dans ce cinéma exigeant mais profondément tourné vers l’humain. Deux films durs mais d’une infinie tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le film dessine le portrait appliqué d’un appliqué d’un homme dont l’intention affichée de proteger autri masque mal une volonté de l’assujettir à ses propres désirs.
Libération
par Luc Chessel
La frange la plus réactionnaire du public mondial de films d’auteur ne pouvait rêver cinéma plus conservateur, qui fonctionne sur la ruse habituelle de ce genre de tournure d’esprit : faire semblant de s’interroger frontalement sur des valeurs traditionnelles «en crise» pour mieux les justifier et les réaffirmer à chaque seconde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Portées par deux formidables interprètes non professionnels, ces scènes de la vie conjugale dégagent force et vérité.
Première
Avec le diptyque "Chained/ Beloved" autour d’un couple en crise, l’israélien Yaron Shani signe un drame intime passionnant où les points de vue se répondent pour mieux rendre compte de la complexité des sentiments.
Sud Ouest
On a rarement fait plus dense et plus sensible que cette exploration au couteau d’un couple, de ce qui le porte, de ce qui le brise.
Bande à part
L’art de Yaron Shani consiste à exacerber les frontières pour mieux les abolir.
Elle
En flic déboussolé par une enquête interne, Eran Naim est parfait. Quant à Stav Almagor, elle est bouleversante dans la peau d’une femme en plein conflit intérieur.
Franceinfo Culture
Chained et Beloved étonnent par leur puissance dramatique.
L'Obs
Une fiction politique qui, à travers son héros, ausculte une société israélienne gangrenée par ses propres certitudes.
La Voix du Nord
Un impressionnant drame intimiste.
Le Figaro
Avec ce diptyque [...], l'Israélien Yaron Shani explore le versant masculin et féminin d'une rupture. Un procédé qui se révèle subtil pour traduire la complexité des sentiments.
Le Journal du Dimanche
Dans un style hyperréaliste et avec des acteurs criants de vérité, Yaron Shani livre un récit captivant en jouant sur ce qui survient hors-champs et que l'on ne découvrira que dans la seconde partie de son diptyque "Beloved".
Le Monde
Jouant ainsi avec la déformation, esthétique et narrative (le vrai et le faux), Yaron Shani propose un autre regard sur le couple, cette énigme.
Les Fiches du Cinéma
Magistralement interprété, ce film, qui produit un impressionnant effet de réalisme, livre un questionnement puissant sur ce que c’est qu’être un homme aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
Le film expose alors, à travers de longues séquences peu chargées narrativement mais qui bouillonnent de l’intérieur, la complexité des rapports humains, la fabrique de ses monstres [...] Fresque éprouvante, radioscopie à vif des écorchures humaines, "Chained" et "Beloved" forment un double film en crise (identitaire, familiale, sociétale).
Positif
Le cinéaste israélien semble en effet particulièrement habité par ce sens aigu du tragique qui se caractérise par une grande clairvoyance à l’endroit de la fatalité, mêlée au plus parfait aveuglement quant au rôle exact que chacun s’apprête à jouer dans la série d’événements funestes que ses pressentiments convertissent en destin.
Télérama
On sort de "Chained" profondément secoué, et loin des stéréotypes sur ce que doit ou non être un homme.
La Croix
L’intérêt du projet de Yaron Shani est de faire sauter allègrement les barrières entre fiction et documentaire en partant de situations ou d’émotions, vécues par les acteurs eux-mêmes, nous donnant le sentiment d’entrer dans l’intimité d’un vrai couple avec tout ce que cela peut avoir d’impudique.
Le Parisien
Récit d'une chute vertigineuse, « Chained », s'il souffre de longueurs, nous fait basculer dans l'enfer intérieur d'un homme [...].
Paris Match
Il y a du Asghar Farhadi dans ce cinéma exigeant mais profondément tourné vers l’humain. Deux films durs mais d’une infinie tendresse.
Cahiers du Cinéma
Le film dessine le portrait appliqué d’un appliqué d’un homme dont l’intention affichée de proteger autri masque mal une volonté de l’assujettir à ses propres désirs.
Libération
La frange la plus réactionnaire du public mondial de films d’auteur ne pouvait rêver cinéma plus conservateur, qui fonctionne sur la ruse habituelle de ce genre de tournure d’esprit : faire semblant de s’interroger frontalement sur des valeurs traditionnelles «en crise» pour mieux les justifier et les réaffirmer à chaque seconde.