Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Marcelo Gomes touche juste en alliant avec grâce la réflexion sociale à l’esthétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Marcelo Gomes délivre une réflexion frappante sur le rêve mensonger de liberté induit par le néolibéralisme et notre condition d'esclaves de l’économie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
L’ubérisation du monde, à la toucher du regard, la voilà dans ce film. "En attendant le carnaval" documente, en faisant le choix d’une esthétique chiadée poussée à la limite constante du «trop» (trop beau, d’entrée : l’ouverture est proprement sidérante), une population de micro-entrepreneurs heureux du néolibéralisme effréné, de l’exploitation sauvage qui leur permet de travailler comme des mules pour faire de l’argent [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Tant qu’on aura besoin de faire les fous, c’est que le monde n’aura pas complètement perdu la boule, nous rassure Marcelo Gomes. Mais peut-on ne vivre qu’en attendant le carnaval ? Un grand film sur le bonheur, finalement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un chant poétique et militant en faveur d’un Brésil, au bord de la rupture, qui espère après l’épouvante du labeur, les réjouissances du carnaval.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
La précision des cadres rend compte de la répétition des gestes ouvriers, la composition sonore tisse un hymne heurté.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ces réalités sont ici exposées au fil d'images pittoresques et d'atmosphères romanesques, rappelant les romans de Jorge Amado, Gabriel Garcia Marquez ou Charles Dickens.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Les longs entretiens menés par le réalisateur permettent de capter une sidérante complexité.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Pour échapper à cette réalité de misère, le cinéaste se place à hauteur de celles et ceux qu’il filme. Sa caméra jamais inquisitrice cherche les remèdes pour échapper à ce système de déshumanisation [...]. Il suffit parfois d’un geste, ici bouleversant de justesse, pour qu’un film s’élève vers une dimension nouvelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Devenue un épicentre du capitalisme sauvage, Toritama était jadis une ville d’agriculteurs tranquille dont Marcelo Gomes (Il était une fois Veronica) se souvient avec nostalgie. Le contraste entre son humeur chagrine et le dynamisme local nourrit, non sans humour, une réflexion sur l’évolution de nos sociétés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
La précision des cadres rend compte de la répétition des gestes ouvriers, la compsition sonore tisse un hymne heurté. De fabriques en trottoirs, le camaïeu des textiles bleus finit par absorber toute portion de ciel.
L'Humanité
Marcelo Gomes touche juste en alliant avec grâce la réflexion sociale à l’esthétique.
Les Fiches du Cinéma
Marcelo Gomes délivre une réflexion frappante sur le rêve mensonger de liberté induit par le néolibéralisme et notre condition d'esclaves de l’économie.
Libération
L’ubérisation du monde, à la toucher du regard, la voilà dans ce film. "En attendant le carnaval" documente, en faisant le choix d’une esthétique chiadée poussée à la limite constante du «trop» (trop beau, d’entrée : l’ouverture est proprement sidérante), une population de micro-entrepreneurs heureux du néolibéralisme effréné, de l’exploitation sauvage qui leur permet de travailler comme des mules pour faire de l’argent [...].
Télérama
Tant qu’on aura besoin de faire les fous, c’est que le monde n’aura pas complètement perdu la boule, nous rassure Marcelo Gomes. Mais peut-on ne vivre qu’en attendant le carnaval ? Un grand film sur le bonheur, finalement.
aVoir-aLire.com
Un chant poétique et militant en faveur d’un Brésil, au bord de la rupture, qui espère après l’épouvante du labeur, les réjouissances du carnaval.
Cahiers du Cinéma
La précision des cadres rend compte de la répétition des gestes ouvriers, la composition sonore tisse un hymne heurté.
Le Journal du Dimanche
Ces réalités sont ici exposées au fil d'images pittoresques et d'atmosphères romanesques, rappelant les romans de Jorge Amado, Gabriel Garcia Marquez ou Charles Dickens.
Le Monde
Les longs entretiens menés par le réalisateur permettent de capter une sidérante complexité.
Les Inrockuptibles
Pour échapper à cette réalité de misère, le cinéaste se place à hauteur de celles et ceux qu’il filme. Sa caméra jamais inquisitrice cherche les remèdes pour échapper à ce système de déshumanisation [...]. Il suffit parfois d’un geste, ici bouleversant de justesse, pour qu’un film s’élève vers une dimension nouvelle.
Première
Devenue un épicentre du capitalisme sauvage, Toritama était jadis une ville d’agriculteurs tranquille dont Marcelo Gomes (Il était une fois Veronica) se souvient avec nostalgie. Le contraste entre son humeur chagrine et le dynamisme local nourrit, non sans humour, une réflexion sur l’évolution de nos sociétés.
Cahiers du Cinéma
La précision des cadres rend compte de la répétition des gestes ouvriers, la compsition sonore tisse un hymne heurté. De fabriques en trottoirs, le camaïeu des textiles bleus finit par absorber toute portion de ciel.