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Sorti à la sauvette, un Romero pas mal du tout, à mi-chemin entre la bande dessinée The Crow et L'homme qui rit, de Victor Hugo (on exagère, bien sûr, mais il y a un peu de ça !).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) après un début alléchant, détaillant les fantasmes mortifères de Creedlow, Bruiser rebondit au rythme somnambulique d'un honnête téléfilm fantastico-policier. Manifestement tourné rapidement et dans des conditions économiques restreintes, ce film très sage en regard des outrances passées du réalisateur, risque de décevoir les fans de Zombie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les personnages de Bruiser ne sont plus ceux, viséraux et palpitants, des précédents films de Romero. Ils sont déjà des fantômes, simples figures de carnaval déambulant à la manière d'automates tristes et désincarnés.
Ce qui s'annonçait comme un croisement thématique entre les tourments intérieurs d'un Darkman et les extériorisations vengeresses d'un Batman se révèle au final n'être qu'un thriller fantastique assez plat, mollement filmé, où même les scènes de vengeance (...) paraissent bien pâles et sans saveur par rapport aux morceaux anthologiques antérieurs du maître.
Venant après plusieurs années de projets avortés, Bruiser fait peine à voir. On devine ce qui a pu intéresser Romero dans cette histoire de vengeance sociale. Hélas, l'ex-grand cinéaste n'en fait rien, par manque de moyens sans doute mais aussi d'inspiration.
[le] film ressemble un peu trop à un mauvais slasher. Epilogue foireux inclu. La déception est d'autant plus amère que l'écriture affûtée de Romero fait parfois irruption à travers une description acide du corporatisme et de la réussite sociale.
Télérama
Sorti à la sauvette, un Romero pas mal du tout, à mi-chemin entre la bande dessinée The Crow et L'homme qui rit, de Victor Hugo (on exagère, bien sûr, mais il y a un peu de ça !).
Libération
(...) après un début alléchant, détaillant les fantasmes mortifères de Creedlow, Bruiser rebondit au rythme somnambulique d'un honnête téléfilm fantastico-policier. Manifestement tourné rapidement et dans des conditions économiques restreintes, ce film très sage en regard des outrances passées du réalisateur, risque de décevoir les fans de Zombie.
Cahiers du Cinéma
Les personnages de Bruiser ne sont plus ceux, viséraux et palpitants, des précédents films de Romero. Ils sont déjà des fantômes, simples figures de carnaval déambulant à la manière d'automates tristes et désincarnés.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Ce qui s'annonçait comme un croisement thématique entre les tourments intérieurs d'un Darkman et les extériorisations vengeresses d'un Batman se révèle au final n'être qu'un thriller fantastique assez plat, mollement filmé, où même les scènes de vengeance (...) paraissent bien pâles et sans saveur par rapport aux morceaux anthologiques antérieurs du maître.
Les Inrockuptibles
Venant après plusieurs années de projets avortés, Bruiser fait peine à voir. On devine ce qui a pu intéresser Romero dans cette histoire de vengeance sociale. Hélas, l'ex-grand cinéaste n'en fait rien, par manque de moyens sans doute mais aussi d'inspiration.
Mad Movies
(...) rien n'y fait : le film se liquéfie dans sa critique lourdingue du conformisme capitaliste.
Première
[le] film ressemble un peu trop à un mauvais slasher. Epilogue foireux inclu. La déception est d'autant plus amère que l'écriture affûtée de Romero fait parfois irruption à travers une description acide du corporatisme et de la réussite sociale.