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(...) Lasse Hallström a réussi la prouesse de mêler intimement une histoire, en surface, digne d'un beau conte de fées, à des questionnements, en profondeur, très philosophiques, sur la tolérance, la liberté, la rigidité morale (...)
(...) une fable légère qui sous prétexte des bienfaits du cacao nous dispense un message de tolérance, de liberté et des plaisirs de la vie. Aussi louable soit cette métaphore du bonheur humain, la façon dont elle est livrée est désarmante de naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Lasse Hallström, a imaginé un conte de fées en plein coeur de la Bourgogne sans éviter les images d'Epinal sur la France des années cinquante. Il livre une comédie légère et douce-amère, à la réalisation un peu languissante.
De la lourdeur de la construction narrative à la grossièreté de plans éculés, de la direction d'acteur pataude aux dialogues grotesques, chaque élément collabore à faire de ce récit un parangon du ridicule cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
(...) tout cela respire à plein nez les faux sentiments, la fausse humanité, la fausse poésie, le faux cinéma : autrement dit, c'est de la télévision riche. Moralité : les chocolats de Mlle Binoche soulèvent le coeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Vous vous souvenez du merveilleux "Festin de Babette" (...) ? "Le chocolat" (...) en est l'antithèse absolue. Aussi épais et obtus que "Le Festin de Babette" est raffiné et intelligent. Ce n'est pas du chocolat, c'est du porridge.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Rien à redire sur le message de tolérance mais quelle lourdeur dans la façon de l'amener et quel ramassis de clichés. Pour parfaire l'ensemble, il ne manque plus qu'un air d'accordéon et un béret basque.
Cette critique de l'esprit de clocher est louable, mais la caricature de ce petit village réduit à un spectacle de marionnettes et le propos prétendu politique de cette comédie sont traités avec tant de vacuité que Le Chocolat ennuie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) on se croirait dans une histoire de la comtesse de Ségur où les méchants se prennent les pieds dans les tapis et où les enfants tristes sourient à nouveau... Tout ceci sous une couche d'humanisme un peu athée aussi niais que philosophiqument correct.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) une indigeste somme involontairement kitsch qu'il livre, sombrant peu à peu dans le grotesque, ce qu'aggrave encore une carence totale de direction d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Rien à redire sur le message (...), mais la façon dont il est délivré est désarmante de naïveté. Pas un personnage qui ne semble sorti d'un vieux livre d'images (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le film confirme, s'il en était besoin, l'état de désastre esthétique et idéologique dans lequel s'est embourbée la maison de production «indépendante» Miramax depuis qu'elle appartient aux Studios Disney
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
MCinéma.com
(...) Lasse Hallström a réussi la prouesse de mêler intimement une histoire, en surface, digne d'un beau conte de fées, à des questionnements, en profondeur, très philosophiques, sur la tolérance, la liberté, la rigidité morale (...)
Cinopsis.com
(...) une fable légère qui sous prétexte des bienfaits du cacao nous dispense un message de tolérance, de liberté et des plaisirs de la vie. Aussi louable soit cette métaphore du bonheur humain, la façon dont elle est livrée est désarmante de naïveté.
Le Figaro Magazine
Parfois, on est content que la réalité nous lâche un peu la rétine, ça repose, mais à ce point-là, ça risque d'endormir.
Le Parisien
Lasse Hallström, a imaginé un conte de fées en plein coeur de la Bourgogne sans éviter les images d'Epinal sur la France des années cinquante. Il livre une comédie légère et douce-amère, à la réalisation un peu languissante.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
(...) deux heures de lourde métaphore sans grâce ni invention.
Chronic'art.com
(...) fable mielleuse et indigeste (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
De la lourdeur de la construction narrative à la grossièreté de plans éculés, de la direction d'acteur pataude aux dialogues grotesques, chaque élément collabore à faire de ce récit un parangon du ridicule cinématographique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) tout cela respire à plein nez les faux sentiments, la fausse humanité, la fausse poésie, le faux cinéma : autrement dit, c'est de la télévision riche. Moralité : les chocolats de Mlle Binoche soulèvent le coeur.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Vous vous souvenez du merveilleux "Festin de Babette" (...) ? "Le chocolat" (...) en est l'antithèse absolue. Aussi épais et obtus que "Le Festin de Babette" est raffiné et intelligent. Ce n'est pas du chocolat, c'est du porridge.
Le Journal du Dimanche
Rien à redire sur le message de tolérance mais quelle lourdeur dans la façon de l'amener et quel ramassis de clichés. Pour parfaire l'ensemble, il ne manque plus qu'un air d'accordéon et un béret basque.
Le Monde
Cette critique de l'esprit de clocher est louable, mais la caricature de ce petit village réduit à un spectacle de marionnettes et le propos prétendu politique de cette comédie sont traités avec tant de vacuité que Le Chocolat ennuie.
Les Inrockuptibles
Attention : navet.
Première
(...) on se croirait dans une histoire de la comtesse de Ségur où les méchants se prennent les pieds dans les tapis et où les enfants tristes sourient à nouveau... Tout ceci sous une couche d'humanisme un peu athée aussi niais que philosophiqument correct.
Repérages
(...) une indigeste somme involontairement kitsch qu'il livre, sombrant peu à peu dans le grotesque, ce qu'aggrave encore une carence totale de direction d'acteurs.
Télérama
Rien à redire sur le message (...), mais la façon dont il est délivré est désarmante de naïveté. Pas un personnage qui ne semble sorti d'un vieux livre d'images (...)
Urbuz
Le film confirme, s'il en était besoin, l'état de désastre esthétique et idéologique dans lequel s'est embourbée la maison de production «indépendante» Miramax depuis qu'elle appartient aux Studios Disney