Très beau film .le duo hippolyte Girardot et Elsa Zylberstein est magnifique . Cette relation est forte et très émouvante . On s avait très bien que le film allait se porter sur leur relation . Autre chose je trouve désolant les critiques de la plupart des spectateurs mais ça ça les regarde ....je ne ferai aucun commentaire !!!!!!lais j en pense pas moins !!!
Ce film peut être déconcertant pour un spectateur qui s'attend à un film historico-politique ou politico-historique. J'ai choisi d'aller le voir simplement attiré par le nom de Léon Blum. J'ai trouvé que le point d'observation est très surprenant mais c'est cette surprise qui a emporté mon adhésion. Je trouve dommage que la critique et les réactions du public semblent montrer un manque de compréhension de l'originalité artistique de la mise en scène et de l'excellent jeu des acteurs.
Tres beau film, très bien interprété, très bien filmé, Elsa Zylberstein le porte sur ses épaules. On découvre une partie de la vie de Leon Blum. Le film aurait pu (du) être + médiatisé et diffusé dans plus de salles. J ai adoré.
Film très émouvant, tiré d'une histoire vraie. Hypolite Girardot incarne parfaitement Léon Blum et Elsa Zylberstein à le tempérament de feu qui sied à son rôle.
Avant première Orléanaise dans le cadre du festival international du film Cannes 1939. Nous avons eu le privilège d'une rencontre avec Hippolyte Girardot , soit Léon Blum, rôle tout en retenu, et élégance des sentiments, accompagné de Laurent Heymann, réalisateur et co-scénariste et de sa productrice Nelly. Film se situant en période de guerre, mais ou tout est axé sur les 2 personnages principaux, leurs attentes, leurs espoirs, leurs doutes face à l'emprisonnement, filmé avec simplicité, et beau partage émotionnel, un film à partager !
je ne souscris pas aux critiques tres mauvaises qui ont ete faites sur ce film. Je l'ai pour ma part trouve tres interessant sur le plan historique, il permet notamment de découvrir beaucoup de personnages importants et de lieux qui ont marque cette epoque. Le scenario ainsi que le jeu des acteurs sont aussi assez bons. Donc un film bien superieur a la plupart des navets et films tordus ou violents qu'on peut voir sur les ecrans.
De bons acteurs qui font de leur mieux dans un scénario un peu trop statique ; guère de références aux réalités de l'époque, ou simplement par évocation (pourquoi ne pas inclure quelques images documentaires par exemple?) ; des jeunes qui voient ce film risquent de se faire une idée très particulière et particulièrement édulcorée des souffrances de l'époque. Une fois de plus l'exception devient la règle: les gardiens du camp sont russes, Russophobie oblige, qui se sont mis au service des nazis (et non des Allemands) peut-être pour "sauver leur peau". Cela a dû exister, mais on n'entend guère qu'eux, à croire que l'on veut suggérer que les Soviétiques étaient les alliés des nazis . La libération du camp de Buchenwald aurait été la conséquence d'un bombardement allié : curieux pour le seul camp qui s'est autolibéré la veille de l'arrivée de militaires français et américains ! (libération dont on va très bientôt célébrer l'anniversaire du reste). Et c'est seulement à cette occasion que les tourtereaux se rendent compte de l'horreur du camp juste à côté : très bizarre. Enfin, un happy end obligatoire qui ravirait la commission américaine de censure cinématographique : Blum a encore eu une activité politique après la libération, si je me souviens bien... d'un célèbre décret. L'histoire par le petit bout de la lorgnette déformante ? Dommage pour Elza Zylberstein qui mérite mieux que ce roman à l'eau de rose propagandiste. Mais les voitures sont très belles.
Moi qui craignais une reconstitution historique, plate et sans saveur, j'avoue ne pas avoir été déçu.
Ce didactisme assumé plombe l'ambiance. L'histoire d'amour entre Jeanne Reichenbach et Léon Blum sonne creux. Elle n'est pas véritablement ancrée dans sa dimension historique et manque singulièrement de passion.
Quant à la réalisation, digne du théâtre filmé, elle se laisse guider par la sagesse des décors, l'aspect flambant neuf des accessoires et le parfait état des costumes tout droit sortis du pressing du coin. Résultat : le rendu est bien lisse et les plis (trop) parfaits. Enfin, que dire des acteurs si ce n'est qu'ils récitent des dialogues surfaits trop souvent émis sur un ton monocorde.
Le réalisateur, Laurent Heynemann, semble hésiter dans ses choix de mise en scène en raison d'une absence de parti pris. Si le rôle historique de chacun des protagonistes n'est abordé que trop superficiellement, il est également à regretter que le récit amoureux manque de souffle, voire de lyrisme.
Dommage, il en ressort un film presque oubliable...