Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Elsa Zylberstein et Hippolyte Girardot sont à la hauteur de leurs deux grands personnages.
Le Parisien
par La Rédaction
Le duo Hippolyte Girardot- Elsa Zylberstein porte à force égale la vérité et l'intensité de cette exceptionnelle histoire d'amour que viennent soutenir, avec un casting inspiré, Philippe Torreton en Pierre Laval et Jérôme Deschamps en Georges Mandel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Laurent Heinemann, pour son retour au grand écran, mêle l’histoire tragique de l’Occupation et de la collaboration et l’amour intense entre Jeanne Reichenbach et Léon Blum. En dépit de rares faiblesses, une passionnante évocation, magistralement interprétée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Un beau film, élégant et sobre.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Belle histoire, bon casting... même si l'émotion reste en demi-teinte, pas aussi intense qu'on l'aurait imaginée.
L'Obs
par François Forestier
Tiré du livre de Dominique Missika, le film de Laurent Heynemann (qui a déjà signé des biopics sur Henri Alleg, René Bousquet, Mendès France, Pierre Bérégovoy) retrace, avec force, cette période durant laquelle la France n’était plus la France. Et rappelle qu’il y eut de hautes consciences, dont Léon Blum.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Olivier De Bruyn
Malgré une mise en scène illustrative et les prestations inégales des acteurs, "Je ne rêve que de vous", par la seule force de son récit, suscite l’intérêt et permet de mieux connaître l’histoire fascinante de Jeanne Reichenbach [...].
La Croix
par Céline Rouden
Le réalisateur Laurent Heyneman peine à convaincre avec ce récit du destin singulier de Jeanne Reichenbach qui suivit l’ancien président du conseil socialiste jusqu’à Buchenwald en 1943 pour l’épouser.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
La mise en scène plan-plan est animée par de bons acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Cet épisode méconnu captive, l'interprétation séduit jusque dans son casting secondaire (Torreton en Pierre Laval). Dommage que la réalisation soit si formelle, chloroformée par son sujet.
Ouest France
par Thierry Chèze
Dommage que ce récit passionnant soit gâché par une réalisation aussi scolaire que illustrative.
Première
par Thierry Chèze
Indéniablement, Hippolyte Girardot et Elsa Zylberstein campent parfaitement ces deux personnages. Mais la platitude d’une mise en scène résumée à une très scolaire reconstitution historique empêche ce récit de prendre sa pleine puissance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Thomas Sotinel
De l’exode, du procès de Riom, du camp de Buchenwald aux abords duquel le couple a été incarcéré, on ne fera qu’entendre parler. Cette contrainte, si elle avait été acceptée, aurait pu faire naître un autre film. Le cinéaste la traite comme un mur qu’il faut escalader. A chaque tentative, il retombe.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
[...] biopic consternant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
C’est un brin artificiel dans la reconstitution, pas toujours juste dans la passion, mais on retient l’image d’une femme forte, qui a fini par épouser l’ancien homme d’État, à Buchenwald, tout près du camp de concentration.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
Elsa Zylberstein et Hippolyte Girardot sont à la hauteur de leurs deux grands personnages.
Le Parisien
Le duo Hippolyte Girardot- Elsa Zylberstein porte à force égale la vérité et l'intensité de cette exceptionnelle histoire d'amour que viennent soutenir, avec un casting inspiré, Philippe Torreton en Pierre Laval et Jérôme Deschamps en Georges Mandel.
Les Fiches du Cinéma
Laurent Heinemann, pour son retour au grand écran, mêle l’histoire tragique de l’Occupation et de la collaboration et l’amour intense entre Jeanne Reichenbach et Léon Blum. En dépit de rares faiblesses, une passionnante évocation, magistralement interprétée.
Voici
Un beau film, élégant et sobre.
Femme Actuelle
Belle histoire, bon casting... même si l'émotion reste en demi-teinte, pas aussi intense qu'on l'aurait imaginée.
L'Obs
Tiré du livre de Dominique Missika, le film de Laurent Heynemann (qui a déjà signé des biopics sur Henri Alleg, René Bousquet, Mendès France, Pierre Bérégovoy) retrace, avec force, cette période durant laquelle la France n’était plus la France. Et rappelle qu’il y eut de hautes consciences, dont Léon Blum.
Positif
Malgré une mise en scène illustrative et les prestations inégales des acteurs, "Je ne rêve que de vous", par la seule force de son récit, suscite l’intérêt et permet de mieux connaître l’histoire fascinante de Jeanne Reichenbach [...].
La Croix
Le réalisateur Laurent Heyneman peine à convaincre avec ce récit du destin singulier de Jeanne Reichenbach qui suivit l’ancien président du conseil socialiste jusqu’à Buchenwald en 1943 pour l’épouser.
Le Figaro
La mise en scène plan-plan est animée par de bons acteurs.
Le Journal du Dimanche
Cet épisode méconnu captive, l'interprétation séduit jusque dans son casting secondaire (Torreton en Pierre Laval). Dommage que la réalisation soit si formelle, chloroformée par son sujet.
Ouest France
Dommage que ce récit passionnant soit gâché par une réalisation aussi scolaire que illustrative.
Première
Indéniablement, Hippolyte Girardot et Elsa Zylberstein campent parfaitement ces deux personnages. Mais la platitude d’une mise en scène résumée à une très scolaire reconstitution historique empêche ce récit de prendre sa pleine puissance.
Le Monde
De l’exode, du procès de Riom, du camp de Buchenwald aux abords duquel le couple a été incarcéré, on ne fera qu’entendre parler. Cette contrainte, si elle avait été acceptée, aurait pu faire naître un autre film. Le cinéaste la traite comme un mur qu’il faut escalader. A chaque tentative, il retombe.
Libération
[...] biopic consternant.
Télérama
C’est un brin artificiel dans la reconstitution, pas toujours juste dans la passion, mais on retient l’image d’une femme forte, qui a fini par épouser l’ancien homme d’État, à Buchenwald, tout près du camp de concentration.