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CapitaineC
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3,5
Publiée le 28 décembre 2021
Bien aimé ce film, plus oppressant qu'angoissant vue la ville... Beaucoup de belles images, la fin est très forte, Magimel est vraiment très bon, encore une fois, grosse actualité pour lui. Le film tient bien en haleine, je recommande si vous aimez les films atmosphériques et fantastiques.
Un film d'ambiance, un huis clos en plein désert !! Dubaî terre d'exil d'une galerie de personnages qui se cotoyent sans liens apparents d'aucun fuyant une vie misérable d'autres cherchant à faire table rase d'un passé douloureux.Mais cet Eldorado apparent, opportunité d'une seconde chance se révèle oppressant et angoissant. Benoît Magimel en proie à des hallucinations surnage dans cet environnement aux confins de la folie dans lequel apparaît à nouveau (après son interprétation dans "de son vivant" ) les difficultés de la relation père-fils. Un film très original dans ses prises de vue et dans son intrigue qui laisse le spectateur trouver en lui même le sens qu'il veut lui donner.Il mérite d'être vu car il symbolise la diversité que doit offrir le cinéma
Une bouse énorme ! Aucun dialogue aucune histoire ! J'ai perdu mon temps. Je me suis forcée à regarder jusqu'à la fin mais j'ai du avancer quelques passages tellement je me faisais chier et je pèse mes mots !!!! Benoît qu'est ce que tu as fait dans ce film?? Dégoûtée.
Film subtil, angoissant, Benoit Magimel toujours aussi incroyable, pas l'habitude de voir ce genre de film sur la TV, ça fait du bien, ça change des films qui se ressemblent tous ! Et Dubaï ! Hallucinant !
Une bonne surprise, j'attendais pas grand chose de ce film, le début est super prenant, j'ai été tenu en haleine et malgré l'histoire qui nous déstabilise on se laisse porter. Attention c'est pas grand public, c'est un peu étrange genre les premiers Dune Villeneuve. À voir pour qui aime le cinéma de genre différent des grosses machines américaines...
J'ai eu la chance de le voir lundi dernier en avant première sur grand écran. Simon est chirurgien cardiaque et débarque à Dubaï avec son fils. Très vite, on commence à sentir que quelque chose ne va pas, et qu'il y a un lourd passif. Les gratte ciels interminables, les immenses centres commerciaux climatisés systématiquement vides, cernés par les autoroutes, elles aussi quasi désertes, de la capitale émiratie font penser aux nouvelles de JG Ballard. Et tout va de travers. Sa première opération (à cru, on a vraiment l'impression d'être dans le bloc) se conclut par la mort du patient, son déménagement est perdu dans un container quelque part en mer (un répondeur qui ne répond jamais est son seul contact avec le déménageur), et les caméras dans chaque pièce de sa maison renforcent la paranoïa de Simon, de plus en plus persuadé que son fils et lui ne sont pas les seuls hôtes de ces lieux. L'ombre du Horla de Maupassant commence alors à flotter sur les dunes du désert, portée par un vent sec. Benoit Magimel est un très grand, et le gamin (Igor Van Dessel) est saisissant. J'ai adoré, à partir de ce soir sur OCS !
Un film rare et subtil ! Ça fait du bien de sortir d'une projection en se questionnant sur les différents niveaux de lecture qui sont abordés. Simon, chirurgien et veuf, arrive à Dubai pour faire son deuil et reconstruire un nouvel espace de vie avec son fils. Peu à peu, sa vie sombre entre une réalité abrupte et des repères intérieurs qui deviennent flous, inquiétants. Envahi de sensations étranges, il a du mal à faire la part de choses entre le réel et d'éventuels phénomènes hallucinatoires. Sa perte de connexion avec la réalité est mise en parallèle avec la vie d'un autre couple d'expatriés dont les velléités et choix sont instables, inquiétants. Le désir de liberté individuelle vient s'opposer à la présence intrusive des caméras de surveillance présentes partout dans cette ville désertique de Dubai, jusqu'à la remettre en question. que nous reste-il en dehors de la soumission et jusqu'ou? Les ambiances sont suggérées par un excellent jeu d'acteurs qui vous emportent avec eux dans le doute, la peur, l'interrogation de la réalité vécue ou perçue. Bravo encore pour ce film et merci de nous invite à ces réflexions si capitales pour notre avenir commun!
J’ai adoré Magimel qui prend vraiment une dimension incroyable dans ce film On ne l’a jamais vu comme ça Le film est vraiment singulier , c’est un film de genre , la ville de Dubaï y est montrée d’une manière très oppressante Le casting est vraiment surprenant Amis cinéphiles , courez y , ce film est pour vous
Cadrages et musiques intrigants. Décors dépaysants futuristes et pourtant réels. Villa incroyable dans complexe résidentiel surréaliste. Des clones sacrifiés ou hallucinés. Tout est suggéré, tout est ambiancé. Je n'ai rien révélé et pourtant.... Mystérieux film avec un Magimel toujours aussi passionnant dans son jeu minimaliste...
Un film singulier, que l'on ne peut pas classer, et c'est d'ailleurs un de ses grands atouts ! On se laisse prendre par la montée en puissance du scénario tout en subtilité. Quel plaisir de retrouver Benoît Magimel, dans ce rôle qu'il incarne à merveille. Un tournage angoissant, oppressant dans cette ville superficielle, déshumanisée qu'est Dubai. Un film à voir. Merci Samuel !
Une tension qui cloue au siège du début à la fin, des acteurs justes jusqu'au bout, un univers entre rêve (cauchemar?) et réalité. Bref à voir et à écouter avec attention !
Benoît Magimel arrive à rester ce talentueux acteur, même dans un film dont les interrogations sur sa légitimité sont bien plus nombreuses que les plaisirs sensoriels apportés. Il est plaisant pour un spectacteur amateur de scénarii tortueux de se faire malmener ; mais il est indispensable que la finalité apporte son lot de (bonne) suprise. "DUNE DREAMS" peine alors à convaincre, et tout se résume : tout ça pour ça ?
Aucun sens. Un environnement inhabituel qui fait plaisir, de belles images de Dubaï, un background simple mais intéressant (déménagement d'un veuf et son fils pour une nouvelle vie) et des acteurs plaisants. Et puis on suit quelques péripéties sans grand intérêt, tout en de demandant ce que sont spoiler: ces doubles/clones qu'on aperçoit à 2 reprises sans savoir ce qu'ils sont ou apportent à l'histoire. Le pitch est simple:spoiler: le père n'est pas heureux, il est pensif, il couche, il découvre son double à 10 min de la fin, ce double lui fout un coup de marteau et prend sa place.
FIN ! .
Sérieusement qu'est ce qu'on veut nous raconter ? Qu'est ce que sont ces spoiler: doubles concrètement ? Ou que symbolisent ils ? Aucune idée, aucune morale, aucun Twist, aucune émotion, aucun plaisir. Raté complet.
Je me suis forcée à aller au bout car j'adore Magimel....mais vraiment nul. Très lent, une intrigue mal ficelée,mais pourquoi dépenser de l'argent dans une telle production?