Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Tout, du clair-obscur à l’aridité du montage, du cadre aux mouvements de caméra, donne à éprouver la ferveur et la détresse du héros, ainsi que la violence intellectuelle et physique qu’il subit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Dans un film d’une simplicité et d’une beauté fascinante, le réalisateur Alberto Fasulo fait littéralement émerger de l’obscurité le regard et la voix d’un meunier italien du XVIe siècle accusé d’hérésie, qui se bat pour défendre sa liberté de penser.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
"Menocchio" s’installe tout contre le visage-paysage de son rocailleux héraut, et sculpte l’obscurité fangeuse de son récit pour aboutir à une œuvre imparfaite, un peu inaboutie, mais vertigineusement riche de son dénuement, d’une modernité désarmante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Lorenzo Codelli
Tenant toujours sa caméra rembrandtienne au poing, Fasulo réussit à percer les espoirs frustrés de ce phalanstère faux catholique.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Cette attention picturale aux gros plans, aux visages, aux émotions inscrites dessus, à la complexité d'une âme, évoque à diverses reprises "La Passion de Jeanne d'Arc" de Dreyer [...].
Première
par Thomas Baurez
Tourné avec des acteurs non professionnels, ce film tire toute sa force d’une sagesse exemplaire. C’est ce qu’on appelle faire corps avec son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Le résultat est à la fois austère dans son propos théologico-politique et sensuel dans sa mise en scène. Avec un travail superbe sur la lumière, plus proche des clairs-obscurs de Rembrandt que des peintres religieux de la Renaissance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Si le cinéaste souhaite redoubler par les moyens cinématographiques la déshumanisation progressive de l’accusé, son geste n'échappe pas à une certaine contradiction.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Dommage que la mise en scène trop lourde desserve un sujet et un personnage (réel) très intéressants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Marcos Uzal
Drôle d’hommage à un homme libre que de ne le montrer qu’à partir du moment où sa liberté est rendue muette, contrainte à se renier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Mathieu Macheret
Tourné en clairsobscurs naturels, le film gâche ses visées esthétiques par des prises de vues informes, imitant le « tremblé » documentaire.
L'Obs
Tout, du clair-obscur à l’aridité du montage, du cadre aux mouvements de caméra, donne à éprouver la ferveur et la détresse du héros, ainsi que la violence intellectuelle et physique qu’il subit.
La Croix
Dans un film d’une simplicité et d’une beauté fascinante, le réalisateur Alberto Fasulo fait littéralement émerger de l’obscurité le regard et la voix d’un meunier italien du XVIe siècle accusé d’hérésie, qui se bat pour défendre sa liberté de penser.
Les Fiches du Cinéma
"Menocchio" s’installe tout contre le visage-paysage de son rocailleux héraut, et sculpte l’obscurité fangeuse de son récit pour aboutir à une œuvre imparfaite, un peu inaboutie, mais vertigineusement riche de son dénuement, d’une modernité désarmante.
Positif
Tenant toujours sa caméra rembrandtienne au poing, Fasulo réussit à percer les espoirs frustrés de ce phalanstère faux catholique.
Transfuge
Cette attention picturale aux gros plans, aux visages, aux émotions inscrites dessus, à la complexité d'une âme, évoque à diverses reprises "La Passion de Jeanne d'Arc" de Dreyer [...].
Première
Tourné avec des acteurs non professionnels, ce film tire toute sa force d’une sagesse exemplaire. C’est ce qu’on appelle faire corps avec son sujet.
Télérama
Le résultat est à la fois austère dans son propos théologico-politique et sensuel dans sa mise en scène. Avec un travail superbe sur la lumière, plus proche des clairs-obscurs de Rembrandt que des peintres religieux de la Renaissance.
Critikat.com
Si le cinéaste souhaite redoubler par les moyens cinématographiques la déshumanisation progressive de l’accusé, son geste n'échappe pas à une certaine contradiction.
Le Figaro
Dommage que la mise en scène trop lourde desserve un sujet et un personnage (réel) très intéressants.
Libération
Drôle d’hommage à un homme libre que de ne le montrer qu’à partir du moment où sa liberté est rendue muette, contrainte à se renier.
Le Monde
Tourné en clairsobscurs naturels, le film gâche ses visées esthétiques par des prises de vues informes, imitant le « tremblé » documentaire.