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Votre avis sur The Guilty ?
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🎬 RENGER 📼
Un officier du LAPD de Los Angeles, opérateur dans un centre d’appel d’urgence, reçoit un mystérieux appel téléphonique, celui d'une femme qui vient de se faire kidnapper. Mais l'appel s'interrompt brutalement et l'officier va devoir tout mettre en oeuvre pour tenter de lui venir en aide...
Trois ans seulement après l'excellent thriller éponyme réalisé par le danois danois Gustav Möller, les américains n’ont pas tardé à s’y intéresser au point d’en réaliser un remake, quasi plan par plan… C’est dire l'inutilité de l’entreprise, tant l'orignal se suffisait à lui-même. A la réalisation, on y retrouve Antoine Fuqua (Equalizer - 2014) qui dirige pour la seconde fois Jake Gyllenhaal et situe son intrigue intégralement au sein d’un centre d’appel avec pour toile de fond, un gigantesque incendie qui menace Los Angeles (mais tout ça, c’était qu’un prétexte pour casser le huis clos qui faisait toute la saveur du film danois, car dans la version originale, nous n’avions aucune image de l’extérieur, le film était intégralement centré sur l’opérateur téléphonique, tandis que dans la version US, pour casser ce côté anxiogène, ils y ont ajouté des images de la catastrophe filmées en temps réelles, mais qui au final, n’apporte strictement rien à l’intrigue principale).
Ce remake n’a d’intérêt que pour celles et ceux qui n’auraient pas vu l'original, car sincèrement, pour les autres, celui-ci n’a pas grand chose de nouveau à nous offrir (même structure narrative et même histoire), si ce n’est, l’excellente prestation de Jake Gyllenhaal. Là où l’original parvenait à faire en sorte que nous ne soyons plus seulement spectateur mais auditeur d’une traque haletante s’en retrouve ici amoindris par des choix de narration et des plans qui dénaturent complètement le cadre qui était posé (les appels téléphoniques avec de rares incursions extérieurs, notamment en ayant rajouté un pauvre plan sur une voiture de patrouille qui en fin de compte, n’apporte rien à l’histoire).
Finalement, The Guilty (2021) se regarde certes, sans déplaisir mais ne parvient jamais à atteindre les sommets de tensions que pouvait nous procurer le film danois. Et le fait que le film ait échoué sur une plateforme de streaming (Netflix) en lieu et place d’une exploitation en salles en dit long sur l’absence de potentiel réel du film (et n’allez pas me dire que c’est à cause de la pandémie de Covid19, car cela faisait déjà plusieurs mois que le monde entier n’était plus confiné).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Trois ans seulement après l'excellent thriller éponyme réalisé par le danois danois Gustav Möller, les américains n’ont pas tardé à s’y intéresser au point d’en réaliser un remake, quasi plan par plan… C’est dire l'inutilité de l’entreprise, tant l'orignal se suffisait à lui-même. A la réalisation, on y retrouve Antoine Fuqua (Equalizer - 2014) qui dirige pour la seconde fois Jake Gyllenhaal et situe son intrigue intégralement au sein d’un centre d’appel avec pour toile de fond, un gigantesque incendie qui menace Los Angeles (mais tout ça, c’était qu’un prétexte pour casser le huis clos qui faisait toute la saveur du film danois, car dans la version originale, nous n’avions aucune image de l’extérieur, le film était intégralement centré sur l’opérateur téléphonique, tandis que dans la version US, pour casser ce côté anxiogène, ils y ont ajouté des images de la catastrophe filmées en temps réelles, mais qui au final, n’apporte strictement rien à l’intrigue principale).
Ce remake n’a d’intérêt que pour celles et ceux qui n’auraient pas vu l'original, car sincèrement, pour les autres, celui-ci n’a pas grand chose de nouveau à nous offrir (même structure narrative et même histoire), si ce n’est, l’excellente prestation de Jake Gyllenhaal. Là où l’original parvenait à faire en sorte que nous ne soyons plus seulement spectateur mais auditeur d’une traque haletante s’en retrouve ici amoindris par des choix de narration et des plans qui dénaturent complètement le cadre qui était posé (les appels téléphoniques avec de rares incursions extérieurs, notamment en ayant rajouté un pauvre plan sur une voiture de patrouille qui en fin de compte, n’apporte rien à l’histoire).
Finalement, The Guilty (2021) se regarde certes, sans déplaisir mais ne parvient jamais à atteindre les sommets de tensions que pouvait nous procurer le film danois. Et le fait que le film ait échoué sur une plateforme de streaming (Netflix) en lieu et place d’une exploitation en salles en dit long sur l’absence de potentiel réel du film (et n’allez pas me dire que c’est à cause de la pandémie de Covid19, car cela faisait déjà plusieurs mois que le monde entier n’était plus confiné).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Yetcha
Avouons le, j'ai de loin préféré la version originale de Gustav Möller en 2018. La volonté absolue des états-uniens de "remaker" des films qui ont réussi, même modestement, ne fonctionne pas toujours et l'exemple est devant nous. Le principal problème est qu'ici le réalisateur a absolument voulu ajouter des personnages, des "intrigues" secondaires" et trop de dialogues autres que ceux échangés avec la personne au téléphone et tout ça nuit à la tension générale indispensable pour notre empathie et notre accroche. Pas foncièrement mauvais, mais voyez plutôt sans hésiter l'original !
ferdinand75
Moins bon que l’original. La 1ere partie arrive à nous tenir en haleine; La 2eme partie est vraiment poussive. l’acteur principal est bon, même si il surjoue un peu trop souvent. Certains dialogues avec la victime sont vraiment soporifiques.
Ti Nou
Malgré l’impression de déjà-vu (même sans avoir vu le film danois original, on pense aussi à "The call" de Brad Anderson avec Halle Berry), "The guilty" est un thriller efficace, tendu et anxiogène qui a la bonne idée, contrairement au film d’Anderson, de ne jamais nous faire sortir du centre d’appel. Il parvient ainsi à nous faire partager l’impuissance de son protagoniste.
Nicothrash
Grosse surprise ce métrage mais pas dans le bon sens. Jake Gyllenhaal devant la camera et Antoine Fuqua derrière, tout semblait réuni pour un thriller du tonnerre. Malheureusement c'est d'une infâme lenteur, très répétitif et je n'avais jamais vu Gyllenhaal sur-jouer de la sorte. Ça n'en finit pas et le personnage principal est insupportable, d'autant plus qu'on n'y croit pas dans l'ensemble. Reste un petit twist qui révèle un tout petit peu le niveau mais je me suis terriblement ennuyé à part ça. C'est raté à mon sens.
Huis clos à la tension palpable, le scénario est oppressant et bien ficelé. Jake Gyllenhaal est excellent dans son rôle, très juste. Dommage pour la fin qui part en cacahuète.
On devrait pouvoir mettre une note au scénario, à Jake et puis au film. Ce serait 4, 5, 0. Le scénario est grandiose, simple et affuté. Jake est impressionnant et bouleversant, de toute façon, je suis amoureux, un hétérosexuel amoureux, on ne peut pas être insensible à ce pouvoir. Par contre le film est inutile, remake d'un film récent, sans rien y ajouter. La caméra ne sait jamais où se glisser, où se poser. Ce film, ça aurait dû être un film sonore en réalité. Un podcast de fiction, tellement l'image est inutile mais en plus tellement l'image de ce Coupable, n'apporte absolument rien au processus. Quitte à faire travailler notre imagination, le parti pris radical d'une image en permanence noire aurait été plus audacieux et plus judicieux.
The Guilty bénéficie heureusement de la présence de Jake Gyllenhaal car à part cela c’est un huis clos ne proposant rien de très novateur sur la forme et s’appuyant sur une histoire qui se révèle finalement assez banale. Netflix peine décidément à proposer des films de qualité supérieure et se contente comme souvent de la moyenne.
1h30 de tension permanente et pourtant aucune scène d'action, voici l'exploit realisé par Antoine Fuqua et Jake Gyllenhaal ! Il faut dire que le premier est habitué aux films punchy qui savent maintenir l'attention et le second aux rôles originaux et aux films de qualité. L'histoire nous met à la place d'un standardiste d'une centrale d'appels d'urgence, avec l'envie de sauver des vies sans connaître tous les aspects de l'histoire et en dépassant ses fonctions. Le spectateur, par son regard distant, se rend compte des nombreuses erreurs du héros mais comment aurait on réagit à sa place ? La grande partition de Gyllenhaal nous fait prendre conscience de la difficulté de ce métier peu connu et offre à nous spectateurs un pur moment de cinéma.
Dans "The Guilty", Jake Gyllenhaal est au téléphone pendant toute la durée du film!! Que c'est pénible! J'ai décroché assez rapidement. pourquoi faire un remake? Encore une fois, aucun intérêt.
Un bon thriller comme on les aime. Jake Gyllenhaal encore impeccable dans son jeu d'acteur. On est tenu en haleine, et c'est bien ce que l'on attend d'un thriller. La mise en scène est bonne malgré un plat en milieu de film. Pleins de rebondissements et on est bien emporté dans cette tension constante tout le monde du film. Je recommande
The Guilty nous emmène dans une histoire sordide sans jamais la montrer ou la décrire. Dans les coulisses du 911 américain, oreillette vissée sur la tête, Jake Gyllenhaal campe un policier torturé à l’excès, qui subit un appel d’une certaine Emily, en danger de mort. Depuis son poste de standardiste telephonique, il va trouver dans cette histoire une motivation personnelle un peu autodestructrice, qui va l’entraîner dans les trépas de son âme et de celle de la victime.
Thriller psychologique reposant uniquement sur sa qualité d’acteur, dans un lieu fixe et sans autre interlocuteur que ceux qu’il parviendra à joindre par téléphone, the guilty nous plonge dans les ténèbres de l’esprit humain. Si le film réussit à nous tenir en haleine à coup de révélations plus glauques les unes que les autres, il souffre un peu de son parti pris et donne par moment envie de dire “stop, ça suffit”. Le film reste recommandable sans être inoubliable, manquant de relief et de respiration. Mais il génère une sensation de malaise et propose une belle composition d’acteur, même si le surjeu n’est pas loin par moment. Il fallait oser, Jake Gyllenhaal l’a fait.
Thriller psychologique reposant uniquement sur sa qualité d’acteur, dans un lieu fixe et sans autre interlocuteur que ceux qu’il parviendra à joindre par téléphone, the guilty nous plonge dans les ténèbres de l’esprit humain. Si le film réussit à nous tenir en haleine à coup de révélations plus glauques les unes que les autres, il souffre un peu de son parti pris et donne par moment envie de dire “stop, ça suffit”. Le film reste recommandable sans être inoubliable, manquant de relief et de respiration. Mais il génère une sensation de malaise et propose une belle composition d’acteur, même si le surjeu n’est pas loin par moment. Il fallait oser, Jake Gyllenhaal l’a fait.
Aie, Aie, Aie... Un remake bien inutile, apportant de nouveaux éléments tout aussi futiles. Jake Gyllenhaal, pourtant très bon acteur, rend le personnage insupportable. A aucun moment ce remake américain n'arrive à la cheville de la version danoise car rien ne fonctionne à l'écran. Les voix sont insupportables et le personnage principal passe son temps à hurler (dommage dans un film où le son est si important). Jetez-vous sur la version de 2018 et oubliez celle-ci...
Jake Gyllenhaal est un excellent acteur, mais ce remake trop américanisé se place loin derrière l’original, plus sobre, plus palpitant, plus émotionnel. Faites l’effort de voir l’original, même en V.O et vous en serez pas déçu.
A mes yeux, pas mieux que l'original qui m'avait laissé sur ma fin. Gyllenhaal est plutôt convaincant, mais ce remake n'apporte rien de plus, et ça tourne rapidement en rond. Sans interêt
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