Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un documentaire aussi déchirant que lumineux, à ne pas manquer
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Denitza Bantcheva
Si Hatidze est proprement inoubliable, le film est à sa hauteur.
Closer
par La Rédaction
Passionnant.
Culturopoing.com
par Marjorie Rivière
Ici, la caméra prend le temps d'observer, de se figer pour capter l'immensité des paysages, la gestuelle précise de la protagoniste, ou encore de simples instants de vie. Seul l'enchaînement des saisons rappelle le temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Honeyland, tourné sur trois ans, célèbre une relation harmonieuse de l’homme avec la nature. Alors que la catastrophe environnementale de l’extinction des abeilles est annoncée, il est temps d’y revenir.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Ce petit voyage en images fait du bien à l'âme.
L'Humanité
par La Rédaction
Au-delà des monts érodés où lutte l’héroïne, les réalisateurs nous plongent, avec ce documentaire, dans une fresque poétique, humble et rythmée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Entre le souvenir de l’Empire ottoman et l’oubli du monde moderne, voici les jours et les travaux d’une femme qui transmet un savoir ancien et communie avec les butineuses. Pas d’eau, pas d’électricité, juste la nature. Ce film poétique a été primé à Sundance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce beau documentaire couronné d’un Grand prix au festival de Sundance s’attache aux pas d’une femme qui vit seule avec sa mère dans un village abandonné de Macédoine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Il réside dans "Honeyland" une foi notable en la nature, au travers du personnage de Hatidze, une des dernières personnes, en Madécoine, à récolter du miel selon la manière traditionnelle.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Honeyland a des airs de conte naturaliste. Au moment où les abeilles disparaissent, mettant l’humanité en danger parce que la nature perd l’un de ses pollinisateurs essentiels, Honeyland fait le portrait d’une apicultrice traditionnelle modèle, gardienne d’une nature dont elle veille toujours à préserver le fragile équilibre.
Le Figaro
par Olivier De Bruyn
Paysages d'une immense beauté, photographie soignée, les réalisateurs offrent une sorte de western russe. On en ressort secoué.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film parvient à s’inscrire dans un ample tissu de quotidien, de travail, de vie, sans sursignifiant, sans image séductrice. La beauté du résultat n’en est que plus tenace et prégnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Remarquable long-métrage dont l’apprentissage gorge chaque plan, devant cette nature qui ne demande rien à personne sinon le respect.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
Un documentaire écologique fascinant, et indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un documentaire d’une actualité brûlante qui, entre douce poésie et paysages grandioses, démontre les conséquences sur la vie humaine de la surexploitation de la nature.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Bastien Gens
L’étrangeté de l’univers d’Honeyland suffit à nous faire oublier le discours écologique un peu trop appuyé pour mieux apprécier la force émotionnelle d’un puissant conte sur la fin d’un monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Marine Langlois
En sortant de la salle, la beauté de la nature reste en tête et le bourdonnement des abeilles dans les oreilles.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Fascinant et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Western crépusculaire ou conte écologique, cette histoire anecdotique, dans un coin reculé du monde, devient le reflet de notre planète entière.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Son montage fait ressembler ce documentaire à une fiction, lui donnant un ton artificiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le chaos est total, familial autant qu’écologique, et la fable aussi édifiante qu’au goût du jour. Hélas, entre-temps, l’on a un peu perdu Hatidze, dont l’ébauche de portrait a fait place à son érection en symbole. La main lourde de la réalisation se fait sentir [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ce documentaire offre à voir des gens qu'on ne voit jamais mais reste aussi austère que ses protagonistes.
Première
par Christophe Narbonne
Tamara Kotevska et Ljubomir Stefanov dressent le portrait édifiant d’un monde qui, à la fois, s’éteint (Hatidze n’a pas d’héritier) et s’éveille (à l’écoresponsabilité).
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Clarisse Fabre
Honeyland finit par se réduire au combat du méchant capitaliste contre la vertueuse apicultrice. Simpliste et racoleur.
Cahiers du Cinéma
par Raphaëlle Pireyre
Le cinéma direct y est utilisé à des fins de fable écologiste édifiante. Dans son sempiternel chemisier jaune, nimbée d’un contrejour « poétique », Hatidze, personnification de la décroissance, s’étiole au point de perdre chair.
Le Parisien
Un documentaire aussi déchirant que lumineux, à ne pas manquer
Positif
Si Hatidze est proprement inoubliable, le film est à sa hauteur.
Closer
Passionnant.
Culturopoing.com
Ici, la caméra prend le temps d'observer, de se figer pour capter l'immensité des paysages, la gestuelle précise de la protagoniste, ou encore de simples instants de vie. Seul l'enchaînement des saisons rappelle le temps qui passe.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Honeyland, tourné sur trois ans, célèbre une relation harmonieuse de l’homme avec la nature. Alors que la catastrophe environnementale de l’extinction des abeilles est annoncée, il est temps d’y revenir.
Femme Actuelle
Ce petit voyage en images fait du bien à l'âme.
L'Humanité
Au-delà des monts érodés où lutte l’héroïne, les réalisateurs nous plongent, avec ce documentaire, dans une fresque poétique, humble et rythmée.
L'Obs
Entre le souvenir de l’Empire ottoman et l’oubli du monde moderne, voici les jours et les travaux d’une femme qui transmet un savoir ancien et communie avec les butineuses. Pas d’eau, pas d’électricité, juste la nature. Ce film poétique a été primé à Sundance.
La Croix
Ce beau documentaire couronné d’un Grand prix au festival de Sundance s’attache aux pas d’une femme qui vit seule avec sa mère dans un village abandonné de Macédoine.
La Septième Obsession
Il réside dans "Honeyland" une foi notable en la nature, au travers du personnage de Hatidze, une des dernières personnes, en Madécoine, à récolter du miel selon la manière traditionnelle.
Le Dauphiné Libéré
Honeyland a des airs de conte naturaliste. Au moment où les abeilles disparaissent, mettant l’humanité en danger parce que la nature perd l’un de ses pollinisateurs essentiels, Honeyland fait le portrait d’une apicultrice traditionnelle modèle, gardienne d’une nature dont elle veille toujours à préserver le fragile équilibre.
Le Figaro
Paysages d'une immense beauté, photographie soignée, les réalisateurs offrent une sorte de western russe. On en ressort secoué.
Les Inrockuptibles
Le film parvient à s’inscrire dans un ample tissu de quotidien, de travail, de vie, sans sursignifiant, sans image séductrice. La beauté du résultat n’en est que plus tenace et prégnante.
Sud Ouest
Remarquable long-métrage dont l’apprentissage gorge chaque plan, devant cette nature qui ne demande rien à personne sinon le respect.
Télérama
Un documentaire écologique fascinant, et indispensable.
aVoir-aLire.com
Un documentaire d’une actualité brûlante qui, entre douce poésie et paysages grandioses, démontre les conséquences sur la vie humaine de la surexploitation de la nature.
Critikat.com
L’étrangeté de l’univers d’Honeyland suffit à nous faire oublier le discours écologique un peu trop appuyé pour mieux apprécier la force émotionnelle d’un puissant conte sur la fin d’un monde.
Franceinfo Culture
En sortant de la salle, la beauté de la nature reste en tête et le bourdonnement des abeilles dans les oreilles.
Le Journal du Dimanche
Fascinant et émouvant.
Les Echos
Western crépusculaire ou conte écologique, cette histoire anecdotique, dans un coin reculé du monde, devient le reflet de notre planète entière.
Les Fiches du Cinéma
Son montage fait ressembler ce documentaire à une fiction, lui donnant un ton artificiel.
Libération
Le chaos est total, familial autant qu’écologique, et la fable aussi édifiante qu’au goût du jour. Hélas, entre-temps, l’on a un peu perdu Hatidze, dont l’ébauche de portrait a fait place à son érection en symbole. La main lourde de la réalisation se fait sentir [...].
Ouest France
Ce documentaire offre à voir des gens qu'on ne voit jamais mais reste aussi austère que ses protagonistes.
Première
Tamara Kotevska et Ljubomir Stefanov dressent le portrait édifiant d’un monde qui, à la fois, s’éteint (Hatidze n’a pas d’héritier) et s’éveille (à l’écoresponsabilité).
Le Monde
Honeyland finit par se réduire au combat du méchant capitaliste contre la vertueuse apicultrice. Simpliste et racoleur.
Cahiers du Cinéma
Le cinéma direct y est utilisé à des fins de fable écologiste édifiante. Dans son sempiternel chemisier jaune, nimbée d’un contrejour « poétique », Hatidze, personnification de la décroissance, s’étiole au point de perdre chair.