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6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par La Rédaction
Le Ballon attaché, sans doute son chef-d’œuvre, s’éloigne encore davantage du réalisme, l’acidité se mêle à l’absurde.
Le Monde
par La Rédaction
Quatre films splendides de Binka Jeliazkova (...) Le Ballon (1967), effarant chef d’oeuvre, bascule du côté de l’allégorie (...) une épopée hirsute et désordonnée, formellement extravagante (même les chiens sont sous titrés !).
Libération
par Nathalie Dray
Qu’importe l’étrangeté déconcertante du film, demeure l’irrésistible force et la splendeur des images, auxquelles on s’abandonne volontiers.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par La Rédaction
Binka Jeliazkova manie l’allégorie avec un savoir-faire teinté d’ironie et de gravité, à la façon d’un Emir Kusturica (…) Ses images sont d’une beauté sidérante, poétiques et politiques à la fois.
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
S’ensuit un film poursuite choral où le ballon fait figure de personnage principal et d’idéal de toutes les projections, le second étant, personnage d’autant plus fort et libre qu’il se passe lui de toute interprétation, une jeune fille en fuite par monts et par vaux, allégorie poursuivant le thème de la jeunesse et pouvant représenter également le cauchemar d’une auteure en situation inconfortable dans son propre pays (elle est admirée et reconnue, mais pas défendue).
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Chef-d’œuvre inédit de la cinéaste bulgare Binka Jeliazkova, Le Ballon attaché se moque de la petitesse humaine par le biais d’une fable satirique et poétique à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Le Ballon attaché, sans doute son chef-d’œuvre, s’éloigne encore davantage du réalisme, l’acidité se mêle à l’absurde.
Le Monde
Quatre films splendides de Binka Jeliazkova (...) Le Ballon (1967), effarant chef d’oeuvre, bascule du côté de l’allégorie (...) une épopée hirsute et désordonnée, formellement extravagante (même les chiens sont sous titrés !).
Libération
Qu’importe l’étrangeté déconcertante du film, demeure l’irrésistible force et la splendeur des images, auxquelles on s’abandonne volontiers.
Télérama
Binka Jeliazkova manie l’allégorie avec un savoir-faire teinté d’ironie et de gravité, à la façon d’un Emir Kusturica (…) Ses images sont d’une beauté sidérante, poétiques et politiques à la fois.
Culturopoing.com
S’ensuit un film poursuite choral où le ballon fait figure de personnage principal et d’idéal de toutes les projections, le second étant, personnage d’autant plus fort et libre qu’il se passe lui de toute interprétation, une jeune fille en fuite par monts et par vaux, allégorie poursuivant le thème de la jeunesse et pouvant représenter également le cauchemar d’une auteure en situation inconfortable dans son propre pays (elle est admirée et reconnue, mais pas défendue).
Les Fiches du Cinéma
Chef-d’œuvre inédit de la cinéaste bulgare Binka Jeliazkova, Le Ballon attaché se moque de la petitesse humaine par le biais d’une fable satirique et poétique à la fois.