Séance IMAX au Pathé Archamps : La dernière affiche évènement de l'année pour ma dernière soirée ciné de l'année, la fin d'une ère et d'une saga ayant voulue se confrontée au MCU mais qui aura, film après film depuis "Justice League" de Joss Whedon, plongée dans les abysses côté box-office et en enfer côté critiques. Un second volet qui fait d'Aquaman le 2ème héros DC mais 3ème personnage à rempiler, ceci, après Wonder Woman et Harley Quinn, avec cependant un grosse différence niveau récit. De nouveau mise en boîte par James Wan, dont la direction fit encore merveille sur les combats et l'humour, ce second récit laisse place aux retrouvailles entre frères bien plus qu'à la romance rebelle entre Athur et Méra précédemment. Un film qui à évidement bénéficier d'une très mauvaise promo à cause du procès ultra-médiatiser entre Amber Heard et son désormais ex-mari Johnny Depp, un procès qui terni l'image d'un film assuré d'être un échec au vu des trop mauvais résultats de toutes les autres affiches, un tournage dont les infos "croustillantes" ne cessaient d'enflammées la toile numérique... Une double voir triple dose qui n'à donc pas été positive à ce film qui, ne l'oublions pas trop vite, pour son premier volet, fut et reste à ce jour, le premier plus gros succès planétaire pour Warner / DC avec plus d'un milliards de recettes mondiale.
Visuellement impérial comme le premier, truffer de références visuelles (du "Retour du roi" (Seigneur des Anneaux) à "Avatar" (flore sauvage)), cela serait presque un soulagement de ne plus voir de mauvais clin d'œil à Marvel comme Warner là tant voulu, mais à ses propres risques et péril.
Sur le jeu global du casting, tous le monde est parfaitement en place avec
notre reine Nicole Kidman bien plus en avant ainsi que Dolph Lundgren voyant leur second rôle respectif prendre de l'ampleur. Amber à, évidement et malheureusement, moins d'importance. Bien dommage mais nul ne sera vraiment si son procès ou James le voulait réellement de base. Quant à Jason, le roi Atlante s'en donne à cœur joie et dose encore plus son jeu et son caractère. Patrick Wilson alias Horm, rempile et nous régal d'humour, de vacherie fraternelle et fait de son duo un très bon moment. Black Manta enfin voit son rôle timidement évoluer voir voler par l'ennemi final et n'est par conséquent, plus vraiment redouter. Sa vengeance personnelle n'aura elle non plus, pas fait d'étincelles.
Un récit qui comme le précédent, à sût habillement mettre son empreinte environnemental entre visuel magique, visuels animal et leur scènes toujours dantesque. La facilité fut son but final de réchauffement planétaire qui, niveau scénario, n'à pas été réellement à la hauteur. Un final qui n'à pas eu l'ampleur destructrice du précédent qui à eu comme effet, de faire rondement échos à un certains Covid, lui-même déguisé en Sauron. Pour résumer, un régal visuel et sonore ou nos héros se sont retrouver pour la dernière fois, une conclusion réussie malgré un final moins grandiose, néanmoins et comme je l'avais vu venir avec le premier, "Aquaman" restera l'unique duologie du DCEU à avoir sût offrir un récit visuellement impérial, une direction de très haut vol et un jeu global parfait (en plus du "Snyder Cut"). Alors personnellement, merci James, merci Jason, merci Patrick et merci Amber de m'avoir fait rêver 2 fois 2h30 durant. Qu'ils reviennent ou non, seul l'avenir le dira, James Gun (ancien de Marvel) et Peter Safran auront donc le dernier mot pour, qui sait, les faire revenir dans leur nouvelle saga.