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Un film glacé et glaçant centré sur le thème du deuil, sinon impossible, du moins douloureux, nous arrive cette semaine de Suède. Son réalisateur, Johannes Nyholm, louvoie entre l’atrocité implacable d’un Michael Haneke et la théâtralité libératrice d’un David Lynch. Pesant, diront certains. Léger et assez hypnotique, dirai-je… comme le vol d’un moustique qui vous nargue tout au long de la nuit !
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Johannes Nyholm réalise un film onirique et troublant, inclassable comme un David Lynch, commençant comme La guerre est déclarée de Valérie Donzelli, s’apparentant à la structure narrative de Un jour sans fin de Harold Ramis et s’achevant sur une profonde incertitude, comme dans Zabriskie Point de Michelangelo Antonioni.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Confronté au deuil, un couple se retrouve piégé dans un cauchemar mortel qui ne cesse de se répéter. En dépit d’une production modeste, ce film de l’étrange, entre le conte morbide et le drame intime, séduit par ses ambitions et son apparat hybrides.
Loin d’être irréprochable, le film de Johannes Nyholm souffre de beaucoup trop aimer l’inquiétante étrangeté des monstres lynchiens et croule sous le poids de cette paternité trop pillée. Mais il y a quelque chose d’envoûtant à emprunter la forme du film d’horreur pour réfracter partout la douleur insurmontable de la perte d’un enfant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Même si la violence que suggère le film et l’absurdité de certaines péripéties nous perdent un peu, le film aborde tout autant des thèmes forts et émouvants : le deuil, la perte de son prochain qui mène à la perte de soi. Et puis, enfin, le pardon.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Dommage de voir Nyholm réduit au savoir-faire d’un énième petit manipulateur, quand son artisanat mérite de viser des sphères autrement plus émouvantes.
Ce n’est pas que le réalisateur manque de talent : il sait planter une atmosphère. Mais son film est ultradéplaisant, truffé de scènes sadiques ou d’idées horrifiantes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Vainement psychologisant et artificiel sur le fond, ce huis clos en extérieur riche en références se révèle malgré tout séduisant sur la forme, instaurant une ambiance lugubre, malaisante et un suspense prenant.
Réglé comme un jeu vidéo en mode hardcore, [le film] puise son inspiration aussi bien dans la terreur primitive des contes que dans le symbolisme appuyé d'un Yorgos Lanthimos, et séduit un temps par son aspect composite. (...) Le film s'affaisse malheureusement sous un esprit de sérieux plombant et s'encombre d'un sadisme aussi déplaisant qu'inutile.
Culturopoing.com
Un film glacé et glaçant centré sur le thème du deuil, sinon impossible, du moins douloureux, nous arrive cette semaine de Suède. Son réalisateur, Johannes Nyholm, louvoie entre l’atrocité implacable d’un Michael Haneke et la théâtralité libératrice d’un David Lynch. Pesant, diront certains. Léger et assez hypnotique, dirai-je… comme le vol d’un moustique qui vous nargue tout au long de la nuit !
L'Ecran Fantastique
Là où le film frappe durablement, c'est en épousant la forme du conte bucolique et folklorique [...].
Ouest France
Aussi effrayant que perturbant.
Positif
Le Suédois Johannes Nyholm confirme son goût pour un cinéma insolite, fantastique, dérangeant… et énigmatique [...].
Télérama
Derrière le conte étrange, une métaphore déchirante sur le deuil.
aVoir-aLire.com
Johannes Nyholm réalise un film onirique et troublant, inclassable comme un David Lynch, commençant comme La guerre est déclarée de Valérie Donzelli, s’apparentant à la structure narrative de Un jour sans fin de Harold Ramis et s’achevant sur une profonde incertitude, comme dans Zabriskie Point de Michelangelo Antonioni.
Le Monde
Le cinéaste conjugue avec un certain talent l’abstraction de la métaphore et la rhétorique cruelle du cinéma de terreur.
Les Fiches du Cinéma
Confronté au deuil, un couple se retrouve piégé dans un cauchemar mortel qui ne cesse de se répéter. En dépit d’une production modeste, ce film de l’étrange, entre le conte morbide et le drame intime, séduit par ses ambitions et son apparat hybrides.
Libération
Loin d’être irréprochable, le film de Johannes Nyholm souffre de beaucoup trop aimer l’inquiétante étrangeté des monstres lynchiens et croule sous le poids de cette paternité trop pillée. Mais il y a quelque chose d’envoûtant à emprunter la forme du film d’horreur pour réfracter partout la douleur insurmontable de la perte d’un enfant.
Paris Match
Perturbant mais stimulant, avec une vraie inventivité formelle pour représenter le long et impossible travail du deuil.
Première
Un film à rapprocher également du formidable Long Weekend de Colin Eggleston qui a récemment bénéficié d’une ressortie en salles.
Rolling Stone
Même si la violence que suggère le film et l’absurdité de certaines péripéties nous perdent un peu, le film aborde tout autant des thèmes forts et émouvants : le deuil, la perte de son prochain qui mène à la perte de soi. Et puis, enfin, le pardon.
Cahiers du Cinéma
Dommage de voir Nyholm réduit au savoir-faire d’un énième petit manipulateur, quand son artisanat mérite de viser des sphères autrement plus émouvantes.
L'Obs
Ce n’est pas que le réalisateur manque de talent : il sait planter une atmosphère. Mais son film est ultradéplaisant, truffé de scènes sadiques ou d’idées horrifiantes.
Le Journal du Dimanche
Vainement psychologisant et artificiel sur le fond, ce huis clos en extérieur riche en références se révèle malgré tout séduisant sur la forme, instaurant une ambiance lugubre, malaisante et un suspense prenant.
Mad Movies
Vous aimez souffrir ? N'hésitez pas une seule seconde [...] et foncez.
Les Inrockuptibles
Réglé comme un jeu vidéo en mode hardcore, [le film] puise son inspiration aussi bien dans la terreur primitive des contes que dans le symbolisme appuyé d'un Yorgos Lanthimos, et séduit un temps par son aspect composite. (...) Le film s'affaisse malheureusement sous un esprit de sérieux plombant et s'encombre d'un sadisme aussi déplaisant qu'inutile.