Après "Back Widow" et donc, unique film sur le personnage, l'espionne Natasha Romanov, nous voilà dans la poursuite de la phase 4 avec le premier héros asiatique Marvel. Un héros qui, comme on le voit dès les premières minutes du récit, voit sa vie changer dès le berceau avec ce père, membre n°1 et leader de la très secrète mais pour autant puissante organisation terroriste "Les 10 anneaux", dont nous en auront entendu parler via "Iron Man". Une vie ou plutôt une enfance ayant jonglée entre entrainements intensifs et spiritualité maternelle qui conduiront Shang-Chi, de son vrai nom, à maître des arts martiaux et à le cacher volontairement à ses amis les plus récents. Un film donc que je vais critiqué de la même manière que "Space Jam "nouvelle ère" ".
Scénario : Dans l'ensemble, l'histoire reste simple et correct sans non plus faire d'étincelle, Marvel nous à habituer à plus complexe.
Pour celui-ci, j'ai eu une réelle résonnance avec la saga "Star Wars" puisque tous n'est que lien avec la famille. Un enfant vivant en monastère, éduquer à la sagesse par se mère, aux combats par son père, puis laisser en eaux trouble par ce derniers parti en croisade meurtrière.
Un récit ou l'amitié est une réelle force tant notre personnage n'aura finalement pu conter, que sur lui-même et les membres restant dont sa meilleure amie. Puis le récit se poursuit et la passé ressurgit et c'est à ce moment-là que l'on découvre de réelles tensions et différences de mentalité. Un homme que l'on peut très facilement voir en chacun de nous s'il on est également concerner. Un récit qui enfin, à un lien presque direct avec l'univers de "Dr Strange" avec les apparitions de Wong, 2 asiatiques tous 2 maîtres d'arts mystiques, une parfaite cohérence.
Musique et chansons : Une bande-son démonstrative, du hip-hop au RnB jusqu'à une pointe électro, l'ensemble musical fut détonnant et magistrale et nous plongea dans l'urbain pur, Joel P. West signe une partition parfaite, envoutante et poétique, mais livre également la puissance épique lors des scènes des combat explosives.
Direction : Un nouvel homme à la tête d'un long-métrage du MCU pour cette fois-ci nous montrer les premiers pas de ce nouvel héros, une direction millimétrée et maîtrisée dans un cumul de scènes démonstrative et chorégraphiées à l'unanimité.
Casting : Si Ben Kingsley est bien connu pour avoir incarner un faux Mandarin dans "Iron-Man 3", l'ensemble, intégralement issue de la culture asiatique, est quasiment inconnue au bataillon public mais offre une prestation impeccable, dotée d'humour, de franchise et de sincérité dans une toute nouvelle aventure. Simu Liu, Awkwafina, Tony Leung Chiu-wai, Meng'er Zhang et Michelle Yeoh forment le groupe essentiel et principal du casting.
V.F.X. : Depuis "Iron man" en 2008, la qualité visuelle s'est montrer dès le départ à la hauteur en montrant un procédé visuel démesurer, un réalisme surpuissant et une immersion totale.
Ici et depuis "Captain Marvel", j'ai nettement constater une baisse de qualité, la frontière entre le réel et l'irréel se fit donc avec facilité, j'en concluais alors que Marvel et Disney souhaitaient livrer les films le plus vite possible et tenir les cadences quitte à baisser la vigilance sur ces derniers. Avec "Shang-Chi" je me confirme cela tant nombre de scènes m'auront clairement déçu par leur vision numérique lamentable, aux frontières de "prévisualisation". Le grand final explosif fut à moitié réussi je ne mâche pas mes mots.
Combats / chorégraphies : Un film mettant à l'honneur l'art chinois, l'art martial et sa poésie à toute épreuve. Des simples scènes d'entrainement aux combats, chacune et chacun furent doter d'une maîtrise absolue.
Une maîtrise offrant dans la toute première scène (rencontre entre les parents de notre héros), une poésie chorégraphique sublime et fluide à la photographie exemplaire. les combats mettant en scène les anneaux de puissance donnèrent une puissance digne de Thor et offrirent des moments parfaitement détonnant. Le final avec ce magnifique dragon chinois fut exemplaire avec Shang-Chi s'adonnant à la manière d'Aquaman.
Humour : Comme depuis le début de la franchise, Marvel sait jongler entre passages banal, scènes clés et humour, des passages léger qui s'engouffre toujours avec talent pour fluidifier le récit et assouplir des moments parfois rude, Awkwafina
alias Katy est le personnage par excellence qui, ici-même, offre la panel comique sans pour autant tomber dans la surenchère navrante.
La phase 4 démarre seulement mais nous offre un nouvel élan, un nouveau personnage et nouvel univers qui pour l'avenir du MCU, promet énormément.
La scène post-générique le prouve avec Banner, Wong et Danvers étudiant une première fois les anneaux de notre duo héroïque, expliquant ainsi que leur vie ne leur appartient désormais plus totalement, et qu'ils doivent se tenir près pour le futur.
cela tombe bien, nous le somme aussi. Le rendez-vous désormais prit pour les "Eternels".