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Résultat : L’acteur Simu Liu, habilement choisi par Destin Daniel Cretton, incarne un héros malgré lui qui découvre son passé au cœur des légendes chinoises dans ce film bourré d’action et de rebondissements, l’un des plus réussis produits par Marvel depuis Black Panther.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Plus brutal qu’à l’accoutumée (avec des scènes de bastonnade impeccablement chorégraphiées et filmées), un poil plus dark que les « origin story » qui l’ont précédé, Shang-Chi réussit sur tous les tableaux et augure du meilleur pour l’avenir du MCU.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le film certes a ses défauts mais il offre un agréable moment d’évasion aussi féérique que bagarreur, qui se clôt sur un ultime combat épique et visuellement impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Il n'empêche, en plongeant le récit initiatique de ce nouveau héros Marvel dans l'encre de la fantasy chinoise ancestrale, le metteur en scène Destin Daniel Cretton renouvelle le genre grâce à un creuset créatif inédit. Le spectacle est souvent à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Si l'univers imaginé par Destin Daniel Cretton ne parvient pas tout à fait à s'affranchir de la recette Marvel, il souffle un vent de fraîcheur sur un univers cinématographique qui commence à lasser.
On est ici plus proche des « Detective Dee », films fantastiques à la Tsui Hark, ou de « Tigre et dragon », d’Ang Lee, que de Hulk ou Iron Man. Et la première référence à l’univers Marvel déjà connu n’intervient qu’au bout d’une heure. Cela n’empêche en rien d’apprécier ce nouvel opus, virevoltant et pour le moins exotique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Au sein de Shang-Chi s'affrontent une recette Marvel toujours aussi pauvre et un récit d'aventures bastonnantes plus décomplexé qu'à l'accoutumée. C'est le second qui l'emporte, d'une courte tête.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
On peut regretter un scénario parfois inabouti (l’obsession peu crédible du Mandarin à croire que son épouse est toujours vivante), ou un personnage totalement inutile (le comédien), ce qui n’empêche pas l’ensemble de fonctionner sans hiatus, porté par un rythme qui ne faiblit jamais.
Dès la scène d’introduction, racontant cette « légende des Dix Anneaux », le film s’éloigne des standards de la formule Marvel pour raconter plusieurs siècles en quelques minutes, tout en poésie et en impressionnantes chorégraphies d’arts martiaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Un récit initiatique enthousiasmant sur la quête des origines, la transmission et le deuil, avec les légendaires Tony Leung et Michelle Yeoh, toujours au top.
Disney sort du chapeau un nouveau personnage : voici donc Shang-Chi, le héros Marvel qui fait du kung-fu. Le casting asiatique est de haute volée, les chorégraphies de combat réussies et les personnages gagnent en épaisseur au long du film. Une bonne surprise.
Le film n’est pas déplaisant mais assez paresseux ; comme il faut bien qu’un héros Marvel sauve le monde, le dernier tiers nous embarque dans un univers merveilleux dénué d’originalité, et sur une ligne narrative vue cent fois.
En dépit de sa légèreté de ton (parfois efficace), le film ne parvient pas à apporter, à l’aube de quatrième phase du MCU, un véritable renouvellement à l’intérieur d’un cinéma dont la formule s'avère irrémédiablement industrielle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Chaque nouveau film Marvel doit être examiné au microscope pour déceler les nouveautés promises, et finalement presque invisibles tant la formule est bien huilée. Shang-Chi et la légende des dix anneaux ne déroge pas vraiment à la règle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L’expérience tient du grand écart facial : on peut s’ennuyer follement — scénario cousu de fil blanc, débauche pas toujours heureuse d’images de synthèse, etc. —, tout en appréciant, çà et là, quelques jolies idées (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Un film d'action drôle et spectaculaire.
20 Minutes
Résultat : L’acteur Simu Liu, habilement choisi par Destin Daniel Cretton, incarne un héros malgré lui qui découvre son passé au cœur des légendes chinoises dans ce film bourré d’action et de rebondissements, l’un des plus réussis produits par Marvel depuis Black Panther.
Filmsactu
Plus brutal qu’à l’accoutumée (avec des scènes de bastonnade impeccablement chorégraphiées et filmées), un poil plus dark que les « origin story » qui l’ont précédé, Shang-Chi réussit sur tous les tableaux et augure du meilleur pour l’avenir du MCU.
LCI
Le film certes a ses défauts mais il offre un agréable moment d’évasion aussi féérique que bagarreur, qui se clôt sur un ultime combat épique et visuellement impressionnant.
Le Figaro
Il n'empêche, en plongeant le récit initiatique de ce nouveau héros Marvel dans l'encre de la fantasy chinoise ancestrale, le metteur en scène Destin Daniel Cretton renouvelle le genre grâce à un creuset créatif inédit. Le spectacle est souvent à couper le souffle.
Le Journal du Geek
Si l'univers imaginé par Destin Daniel Cretton ne parvient pas tout à fait à s'affranchir de la recette Marvel, il souffle un vent de fraîcheur sur un univers cinématographique qui commence à lasser.
Le Parisien
On est ici plus proche des « Detective Dee », films fantastiques à la Tsui Hark, ou de « Tigre et dragon », d’Ang Lee, que de Hulk ou Iron Man. Et la première référence à l’univers Marvel déjà connu n’intervient qu’au bout d’une heure. Cela n’empêche en rien d’apprécier ce nouvel opus, virevoltant et pour le moins exotique (...).
Première
Entre séquence de combat millimétré et scène de comédie impeccable, le nouveau Marvel est une réussite.
Ecran Large
Au sein de Shang-Chi s'affrontent une recette Marvel toujours aussi pauvre et un récit d'aventures bastonnantes plus décomplexé qu'à l'accoutumée. C'est le second qui l'emporte, d'une courte tête.
L'Ecran Fantastique
On peut regretter un scénario parfois inabouti (l’obsession peu crédible du Mandarin à croire que son épouse est toujours vivante), ou un personnage totalement inutile (le comédien), ce qui n’empêche pas l’ensemble de fonctionner sans hiatus, porté par un rythme qui ne faiblit jamais.
La Croix
Dès la scène d’introduction, racontant cette « légende des Dix Anneaux », le film s’éloigne des standards de la formule Marvel pour raconter plusieurs siècles en quelques minutes, tout en poésie et en impressionnantes chorégraphies d’arts martiaux.
Le Journal du Dimanche
Un récit initiatique enthousiasmant sur la quête des origines, la transmission et le deuil, avec les légendaires Tony Leung et Michelle Yeoh, toujours au top.
Les Fiches du Cinéma
Disney sort du chapeau un nouveau personnage : voici donc Shang-Chi, le héros Marvel qui fait du kung-fu. Le casting asiatique est de haute volée, les chorégraphies de combat réussies et les personnages gagnent en épaisseur au long du film. Une bonne surprise.
Mad Movies
Le résultat s'avère de bonne tenue, l'influence orientale étant plutôt bien digérée.
Positif
Le film n’est pas déplaisant mais assez paresseux ; comme il faut bien qu’un héros Marvel sauve le monde, le dernier tiers nous embarque dans un univers merveilleux dénué d’originalité, et sur une ligne narrative vue cent fois.
Critikat.com
En dépit de sa légèreté de ton (parfois efficace), le film ne parvient pas à apporter, à l’aube de quatrième phase du MCU, un véritable renouvellement à l’intérieur d’un cinéma dont la formule s'avère irrémédiablement industrielle.
Libération
Chaque nouveau film Marvel doit être examiné au microscope pour déceler les nouveautés promises, et finalement presque invisibles tant la formule est bien huilée. Shang-Chi et la légende des dix anneaux ne déroge pas vraiment à la règle.
Télérama
L’expérience tient du grand écart facial : on peut s’ennuyer follement — scénario cousu de fil blanc, débauche pas toujours heureuse d’images de synthèse, etc. —, tout en appréciant, çà et là, quelques jolies idées (...).