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Voyage entre l’espace et le temps abolis, à la chronologie disloquée, Eureka est un adieu au monde, qui le fuit vers l’au-delà, le rêve et l’immatériel. Il nous immerge dans ses secrets, gardant jusqu’au bout son énigme au fond de lui.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dix ans après son dernier film, l’Argentin est de retour avec une prodigieuse fresque hypnotique en trois parties, reliées par le sort fait aux communautés autochtones d’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Eureka prend le risque de contredire son titre : ce n’est pas un « j’ai trouvé » qu’Alonso expose à vol d’oiseau, mais le non sequitur tragique des éternels exclus de l’Histoire.
Alonso ne joue pas, comme on pourrait le croire, contre le récit, mais investit ce dernier avec l’imprécision flottante du rêve, en faisant de la durée le catalyseur d’un effacement des cloisons géographiques et temporelles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On pense à Apichatpong Weerasethakul (Oncle Boonmee) ou Hayao Miyazaki (Princesse Mononoké). Comme eux, cinéaste d’une nature spirituelle, Lisandro Alonso créé des images et un récit ésotériques, à la hauteur de leurs intentions : planant.
Lisandro Alonso est un « voyeur », une qualité pour un cinéaste, qui observe l’Autre, particulièrement lorsqu’il est en état d’osmose avec la nature, et en tire un dernier espoir de vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La splendeur d’Eureka tient beaucoup à sa progression imprévisible, cette façon d’avancer dans les ténèbres, où la durée du plan semble abolir les frontières de l’espace. Lisandro Alonso porte ici à son paroxysme la conception d’un cinéma chaman et passe-muraille, où le monde débouche sur le rêve, où la réalité accède à son envers.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
En 2h30, trois parties, autant de temporalités et de lieux, Lisandro Alonso nous fait voyager à travers l’Amérique et ses représentations. Foisonnant et sauvage, Eureka est film dans lequel on peut aussi bien se perdre que s’épanouir avec enchantement.
Film en trois parties qui explorent chacune un genre différent - le western, le polar, le récit d’aventure -, mais toujours avec un même regard halluciné, « Eurêka » confirme le talent du cinéaste argentin pour créer une atmosphère aux confins du fantastique et du songe éveillé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
D’où le mélange des formes narratives ou filmiques (western, réalisme, mythe), d’où le montage fluide, d’où enfin la présence d’un oiseau-âme, signe d’une liberté retrouvée et d’un univers réconcilié.
Cette œuvre déroutante et féerique affirme sa foi en l’image et en son mystère, fait confiance à l’incarnation des comédiens (vive Chiara Mastroianni !) et à l’intelligence du spectateur. Pas si fréquent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Eureka est un film schizophrène, coupé en deux. Lisandro Alonso se fait possiblement très bon shamane et soudain mauvais cinéaste. C’est d’autant plus frustrant que la première moitié, sidérante de beauté et d’une mélancolie d’horloger, restera possiblement comme l’une des plus belles choses vues au cinéma cette année.
C’est un voyage dans le temps et l’espace, qui privilégie les sensations, le rêve, les croyances — l’animisme et la métempsychose. Des images précieuses signées d’un explorateur doublé d’un chamane.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Eureka apparaît donc comme un objet de cinéma hybride et envoutant. Pour sûr, on n’aura pas tout compris, mais est-il nécessaire de tout maîtriser dans une œuvre d’art ?
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le récit, découpé en trois segments qui s’emboîtent façon poupées russes, s’avère inégal et décousu, désarçonnant par son âpreté, ses scènes qui s’étirent et plombent le rythme.
Culturopoing.com
Voyage entre l’espace et le temps abolis, à la chronologie disloquée, Eureka est un adieu au monde, qui le fuit vers l’au-delà, le rêve et l’immatériel. Il nous immerge dans ses secrets, gardant jusqu’au bout son énigme au fond de lui.
Libération
Dix ans après son dernier film, l’Argentin est de retour avec une prodigieuse fresque hypnotique en trois parties, reliées par le sort fait aux communautés autochtones d’Amérique.
Cahiers du Cinéma
Eureka prend le risque de contredire son titre : ce n’est pas un « j’ai trouvé » qu’Alonso expose à vol d’oiseau, mais le non sequitur tragique des éternels exclus de l’Histoire.
Critikat.com
Alonso ne joue pas, comme on pourrait le croire, contre le récit, mais investit ce dernier avec l’imprécision flottante du rêve, en faisant de la durée le catalyseur d’un effacement des cloisons géographiques et temporelles.
Franceinfo Culture
On pense à Apichatpong Weerasethakul (Oncle Boonmee) ou Hayao Miyazaki (Princesse Mononoké). Comme eux, cinéaste d’une nature spirituelle, Lisandro Alonso créé des images et un récit ésotériques, à la hauteur de leurs intentions : planant.
L'Humanité
Lisandro Alonso est un « voyeur », une qualité pour un cinéaste, qui observe l’Autre, particulièrement lorsqu’il est en état d’osmose avec la nature, et en tire un dernier espoir de vie.
Le Monde
La splendeur d’Eureka tient beaucoup à sa progression imprévisible, cette façon d’avancer dans les ténèbres, où la durée du plan semble abolir les frontières de l’espace. Lisandro Alonso porte ici à son paroxysme la conception d’un cinéma chaman et passe-muraille, où le monde débouche sur le rêve, où la réalité accède à son envers.
Le Point
Une épopée poétique, une immersion sensorielle… Une grande expérience de cinéma.
Les Fiches du Cinéma
En 2h30, trois parties, autant de temporalités et de lieux, Lisandro Alonso nous fait voyager à travers l’Amérique et ses représentations. Foisonnant et sauvage, Eureka est film dans lequel on peut aussi bien se perdre que s’épanouir avec enchantement.
Ouest France
Un geste d'une beauté poétique fulgurante.
Paris Match
Film en trois parties qui explorent chacune un genre différent - le western, le polar, le récit d’aventure -, mais toujours avec un même regard halluciné, « Eurêka » confirme le talent du cinéaste argentin pour créer une atmosphère aux confins du fantastique et du songe éveillé.
Positif
D’où le mélange des formes narratives ou filmiques (western, réalisme, mythe), d’où le montage fluide, d’où enfin la présence d’un oiseau-âme, signe d’une liberté retrouvée et d’un univers réconcilié.
Première
Une œuvre collective, d'une beauté saisissante.
L'Obs
Cette œuvre déroutante et féerique affirme sa foi en l’image et en son mystère, fait confiance à l’incarnation des comédiens (vive Chiara Mastroianni !) et à l’intelligence du spectateur. Pas si fréquent.
Les Inrockuptibles
Eureka est un film schizophrène, coupé en deux. Lisandro Alonso se fait possiblement très bon shamane et soudain mauvais cinéaste. C’est d’autant plus frustrant que la première moitié, sidérante de beauté et d’une mélancolie d’horloger, restera possiblement comme l’une des plus belles choses vues au cinéma cette année.
Télérama
C’est un voyage dans le temps et l’espace, qui privilégie les sensations, le rêve, les croyances — l’animisme et la métempsychose. Des images précieuses signées d’un explorateur doublé d’un chamane.
aVoir-aLire.com
Eureka apparaît donc comme un objet de cinéma hybride et envoutant. Pour sûr, on n’aura pas tout compris, mais est-il nécessaire de tout maîtriser dans une œuvre d’art ?
Le Journal du Dimanche
Le récit, découpé en trois segments qui s’emboîtent façon poupées russes, s’avère inégal et décousu, désarçonnant par son âpreté, ses scènes qui s’étirent et plombent le rythme.