Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Positif
par Stéphane Goudet
Et l'on est emporté par l'énergie qui s'y déploie, par la puissance des émotions qu'il suscite, du rire franc aux larmes plus ou moins contenues, par la rapidité et l'efficacité des changements de registres et par l'audace des ellipses.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Mikhanovsky tire le meilleur parti d’un art du déshabillage révélant les grandeurs cachées de sa petite Amérique bricolée.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film plein d’exubérance qui ne vous veut que du bien.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Intéressant et drôle.
L'Obs
par François Forestier
Un film bordélique à l'électricité joyeuse.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film en ébullition qui laisse échapper beaucoup d’humanité et d’amour.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dans ce mélange d’excentricités, de tendresse et de tragédie, réside sans doute un peu de ce mystère qu’est l’âme russe frotté au melting-pot américain. Rafraîchissant.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Une dépense d’énergie grandissante brillamment traduite par le montage précis, rythmé et foutraque. Revigorant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film file à toute berzingue, ménageant de rares pauses sentimentales et familiales fort émouvantes et douces. Le film regorge, déborde d'amour et d'angoisse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
En brassant l’âpreté naturaliste d’un regard documentaire sur le handicap, la trivialité du récit picaresque et les ressorts du drame social [...], Mikhanovsky emboutit beaucoup de registres et ne lésine pas sur les passages en force, mais ricoche parfois, et pas que par inadvertance, sur de vrais moments de délicatesse prélevés à l’anarchie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Kirill Mikhanovsky abuse parfois des effets de montage comme pour passage en noir et blanc superflu mais "Give Me Liberty" touche tellement au coeur que l'on est prêt à tout lui pardonner.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Jessica Saval
Mais Give Me Liberty est bien plus que la somme de ses performances. Interrogation douce-amère des notions de transmission et de devoir, il n’hésite pas à aborder de difficiles sujets de société tels que la dépendance, le racisme et les violences policières… mais y injecte toujours une dose d’humour salvatrice. Que demander de plus ?
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Guillemette Odicino
Cette épopée joyeuse et tendre renouvelle la comédie sociale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Grâce à une écriture inspirée, le jeune réalisateur fait preuve d’un humanisme bouleversant à l’égard de ces personnages de laissés pour compte, et nous entraîne dans un récit d’apprentissage d’une énergie électrisante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une aventure picaresque, menée à toute berzingue, sur un mode quasi documentaire, dans laquelle les digressions et les accidents de parcours deviennent les normes. Le film russe le plus échevelé de l'année — tourné en Amérique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
S’il a fait appel à quelques comédiens, le cinéaste filme surtout des non-professionnels qui apportent à Give me liberty son authenticité foisonnante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
C’est précisément au coeur du chaos que Kirill Mikhanovsky déniche l’image d’un peuple : une joyeuse cacophonie dont les éclats intempestifs et contradictoires sont toujours susceptibles de réveiller une énergie insurrectionnelle. Chaos relayé par une mise en scène toujours aux abois (...).
Ouest France
par La Rédaction
Un road-trip urbain prenant, aux allures de grenades dégoupillée.
Première
par Thierry Chèze
Kirill Mikhanovsky joue à fond sur cette surabondance d’imprévus pour signer une comédie sociale aussi joyeuse qu’épuisante, aussi sensible qu’irritante. Un feelgood movie pas comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Corentin Lê
Traverser l’espace urbain et social se résume ici à lire un catalogue en diagonale, sans jamais prendre le temps de s’arrêter sur l’une des pages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un premier film sincère mais sans véritable enjeu.
Positif
Et l'on est emporté par l'énergie qui s'y déploie, par la puissance des émotions qu'il suscite, du rire franc aux larmes plus ou moins contenues, par la rapidité et l'efficacité des changements de registres et par l'audace des ellipses.
Cahiers du Cinéma
Mikhanovsky tire le meilleur parti d’un art du déshabillage révélant les grandeurs cachées de sa petite Amérique bricolée.
CinemaTeaser
Un film plein d’exubérance qui ne vous veut que du bien.
Femme Actuelle
Intéressant et drôle.
L'Obs
Un film bordélique à l'électricité joyeuse.
La Voix du Nord
Un film en ébullition qui laisse échapper beaucoup d’humanité et d’amour.
Le Journal du Dimanche
Dans ce mélange d’excentricités, de tendresse et de tragédie, réside sans doute un peu de ce mystère qu’est l’âme russe frotté au melting-pot américain. Rafraîchissant.
Les Fiches du Cinéma
Une dépense d’énergie grandissante brillamment traduite par le montage précis, rythmé et foutraque. Revigorant.
Les Inrockuptibles
Le film file à toute berzingue, ménageant de rares pauses sentimentales et familiales fort émouvantes et douces. Le film regorge, déborde d'amour et d'angoisse.
Libération
En brassant l’âpreté naturaliste d’un regard documentaire sur le handicap, la trivialité du récit picaresque et les ressorts du drame social [...], Mikhanovsky emboutit beaucoup de registres et ne lésine pas sur les passages en force, mais ricoche parfois, et pas que par inadvertance, sur de vrais moments de délicatesse prélevés à l’anarchie.
Paris Match
Kirill Mikhanovsky abuse parfois des effets de montage comme pour passage en noir et blanc superflu mais "Give Me Liberty" touche tellement au coeur que l'on est prêt à tout lui pardonner.
Rolling Stone
Mais Give Me Liberty est bien plus que la somme de ses performances. Interrogation douce-amère des notions de transmission et de devoir, il n’hésite pas à aborder de difficiles sujets de société tels que la dépendance, le racisme et les violences policières… mais y injecte toujours une dose d’humour salvatrice. Que demander de plus ?
Télérama
Cette épopée joyeuse et tendre renouvelle la comédie sociale.
aVoir-aLire.com
Grâce à une écriture inspirée, le jeune réalisateur fait preuve d’un humanisme bouleversant à l’égard de ces personnages de laissés pour compte, et nous entraîne dans un récit d’apprentissage d’une énergie électrisante.
L'Humanité
Une aventure picaresque, menée à toute berzingue, sur un mode quasi documentaire, dans laquelle les digressions et les accidents de parcours deviennent les normes. Le film russe le plus échevelé de l'année — tourné en Amérique.
La Croix
S’il a fait appel à quelques comédiens, le cinéaste filme surtout des non-professionnels qui apportent à Give me liberty son authenticité foisonnante.
Le Monde
C’est précisément au coeur du chaos que Kirill Mikhanovsky déniche l’image d’un peuple : une joyeuse cacophonie dont les éclats intempestifs et contradictoires sont toujours susceptibles de réveiller une énergie insurrectionnelle. Chaos relayé par une mise en scène toujours aux abois (...).
Ouest France
Un road-trip urbain prenant, aux allures de grenades dégoupillée.
Première
Kirill Mikhanovsky joue à fond sur cette surabondance d’imprévus pour signer une comédie sociale aussi joyeuse qu’épuisante, aussi sensible qu’irritante. Un feelgood movie pas comme les autres.
Critikat.com
Traverser l’espace urbain et social se résume ici à lire un catalogue en diagonale, sans jamais prendre le temps de s’arrêter sur l’une des pages.
Le Figaro
Un premier film sincère mais sans véritable enjeu.