Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
[...] Sasha Polak raconte une histoire de peau et de reconstruction, dans tous les sens du terme, avec une sensualité et une force de résilience inouïes.
L'Express
par Antoine Le Fur
[...]"Dirty God" est un film aussi réussi que nécessaire.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce portrait vibrant de femme évoluant dans un milieu modeste n’est pas hyperoriginal, mais il ne se complaît pas dans le pathos et sonne toujours juste. Cela tient en grande partie à l’interprétation saisissante d’une non-professionnelle, Vicky Knight, elle aussi marquée dans sa chair.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Sacha Polak signe un portrait de femme rageur, aux antipodes du mièvre, porté par une actrice inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
[...] le portrait frondeur et émouvant d'une jeune mère marquée par les stigmates d'une attaque à l'acide.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Un drame à l'anglaise, qui carbure au courage et au charisme de son interprète principale.
L'Obs
par François Forestier
Un drame sombre, poignant (le bébé de Jade fond en larmes en voyant sa mère), mais aussi pesant et dur à supporter. Le « sale dieu » du titre, c’est celui qui autorise la maltraitance des femmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
"Dirty God" a un sujet fort, à tel point que sa forme ne lui rend pas justice tant elle est déférente d’une sorte de tradition du cinéma indépendant anglais, mêlant chronique sociale des classes populaires à quelques timides envolées lyriques.
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré des longueurs, Dirty God a le mérite de traiter un sujet tristement d’actualité. Le portrait sensible d’une femme en pleine reconstruction.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Cette chronique foncièrement féministe aborde, avec une esthétique pop et une mise en scène un peu « clipesque », le combat, autant physique que moral, d’une jeune femme pour se réapproprier sa vie et son corps face au regard des autres. Elle-même gravement brûlée, l’actrice débutante Vicky Knight insuffle une force étonnante à son personnage, jamais victime.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
"Dirty God" fait appel à une interprète marquées par des brûlures depuis l’enfance, Vicky Knight, présence nerveuse et agile qui navigue très bien dans ce récit d’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Ce parcours d'une mère défigurée vaut surtout pour surtout pour la performance exceptionnelle de l'actrice Vicky Knight.
Positif
par Fabien Baumann
On voudrait ne pas avoir à évoquer la scène des hirondelles qui volent au ralenti dans la boîte de nuit de Marrakech. Ou les apparitions aronofskyennes de cet humain volatile emplumé de noir, mais sexy, qui hante les rêves de l’héroïne. Car Sacha Polak gâche, par ces déplorables effets, toute la singularité de son nouveau film.
Première
par Thierry Chèze
Des moments intenses et troublants où son interprète, Vicky Knight (elle-même grande brûlée), donne la pleine mesure de son impressionnant talent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Et si Polak ne s’exempte pas parfois de forcer un peu grossièrement le trait dans l’illustration de son propos dans le rapport au physique (top-models, sites porno, hijab), ce n’est que pour mieux cerner les contours d’un parcours cabossé mais pas fracassé.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Guillemette Odicino
Le film convainc moins lorsque la réalisatrice s’éloigne du réel pour des visions horrifiques qui flirtent avec le giallo italien des années 1970. Reste cette jeune héroïne brûlée mais bravache qui ne baisse jamais la tête, imposant un beau visage de résilience.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Dirty God se perd parfois dans d'inutiles rebondissements, mais reste une belle étude de personnage.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un honnête récit de résilience, qui n’échappe pas entièrement, toutefois, à un certain attrait pour la macération.
BIBA
[...] Sasha Polak raconte une histoire de peau et de reconstruction, dans tous les sens du terme, avec une sensualité et une force de résilience inouïes.
L'Express
[...]"Dirty God" est un film aussi réussi que nécessaire.
L'Humanité
Ce portrait vibrant de femme évoluant dans un milieu modeste n’est pas hyperoriginal, mais il ne se complaît pas dans le pathos et sonne toujours juste. Cela tient en grande partie à l’interprétation saisissante d’une non-professionnelle, Vicky Knight, elle aussi marquée dans sa chair.
Les Fiches du Cinéma
Sacha Polak signe un portrait de femme rageur, aux antipodes du mièvre, porté par une actrice inspirée.
Marie Claire
[...] le portrait frondeur et émouvant d'une jeune mère marquée par les stigmates d'une attaque à l'acide.
CinemaTeaser
Un drame à l'anglaise, qui carbure au courage et au charisme de son interprète principale.
L'Obs
Un drame sombre, poignant (le bébé de Jade fond en larmes en voyant sa mère), mais aussi pesant et dur à supporter. Le « sale dieu » du titre, c’est celui qui autorise la maltraitance des femmes.
La Septième Obsession
"Dirty God" a un sujet fort, à tel point que sa forme ne lui rend pas justice tant elle est déférente d’une sorte de tradition du cinéma indépendant anglais, mêlant chronique sociale des classes populaires à quelques timides envolées lyriques.
Le Figaro
Malgré des longueurs, Dirty God a le mérite de traiter un sujet tristement d’actualité. Le portrait sensible d’une femme en pleine reconstruction.
Le Journal du Dimanche
Cette chronique foncièrement féministe aborde, avec une esthétique pop et une mise en scène un peu « clipesque », le combat, autant physique que moral, d’une jeune femme pour se réapproprier sa vie et son corps face au regard des autres. Elle-même gravement brûlée, l’actrice débutante Vicky Knight insuffle une force étonnante à son personnage, jamais victime.
Les Inrockuptibles
"Dirty God" fait appel à une interprète marquées par des brûlures depuis l’enfance, Vicky Knight, présence nerveuse et agile qui navigue très bien dans ce récit d’émancipation.
Ouest France
Ce parcours d'une mère défigurée vaut surtout pour surtout pour la performance exceptionnelle de l'actrice Vicky Knight.
Positif
On voudrait ne pas avoir à évoquer la scène des hirondelles qui volent au ralenti dans la boîte de nuit de Marrakech. Ou les apparitions aronofskyennes de cet humain volatile emplumé de noir, mais sexy, qui hante les rêves de l’héroïne. Car Sacha Polak gâche, par ces déplorables effets, toute la singularité de son nouveau film.
Première
Des moments intenses et troublants où son interprète, Vicky Knight (elle-même grande brûlée), donne la pleine mesure de son impressionnant talent.
Rolling Stone
Et si Polak ne s’exempte pas parfois de forcer un peu grossièrement le trait dans l’illustration de son propos dans le rapport au physique (top-models, sites porno, hijab), ce n’est que pour mieux cerner les contours d’un parcours cabossé mais pas fracassé.
Télérama
Le film convainc moins lorsque la réalisatrice s’éloigne du réel pour des visions horrifiques qui flirtent avec le giallo italien des années 1970. Reste cette jeune héroïne brûlée mais bravache qui ne baisse jamais la tête, imposant un beau visage de résilience.
Voici
Dirty God se perd parfois dans d'inutiles rebondissements, mais reste une belle étude de personnage.
Le Monde
Un honnête récit de résilience, qui n’échappe pas entièrement, toutefois, à un certain attrait pour la macération.