Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un véritable chef-d’œuvre, incandescent et fascinant, qui ravira les fans de la première heure de Björk et les amateurs d’un certain art du cinéma d’auteur à la façon d’Ingmar Bergman.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Sophie Charlin
Ce conte cruel et poétique semble lui aussi sorti de la terre islandaise et nous arrive encore tout plein du mystère des confins.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Avec un peu plus de tension dramatique, de pleins et de déliés, cela aurait pu être un chef-d’œuvre. Quoi qu’il en soit, cette évocation poétique habitée par ses interprètes – dont la lumineuse Björk – distille un charme puissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
C’est beau, angoissant et très dépouillé, avec la première apparition de Björk (22 ans).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Iris Brey
Tourné en noir et blanc dans des paysages insulaires austères et sublimes, la cinéaste déplace le conte à la fin du Moyen-Âge. Cela lui donne une aura mythologique et mystique, renforcée par l’incursion du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Anne Dessuant
Le noir et blanc magnifiquement restauré renforce l’intemporalité du film, comme les formules magiques en forme de litanies psalmodiées par les deux sorcières — dont Björk dans son premier rôle qui, avec son visage d’elfe, emporte le film vers le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Quand nous étions sorcières évoque par son imagerie les grands films scandinaves qui portent en eux les survivances païennes. Mais la tendance à l’abstraction de la cinéaste et la présence de Bjork donnent au film une indéniable et séduisante nouveauté.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Premier film de Nietzchka Keene, décédée depuis, et première apparition de Björk à l’écran, "Quand nous étions..." n’était jamais sorti en France. Injustice réparée pour ce récit de sorcières (d’après les frères Grimm) à la mise en scène hiératique mais inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Trente ans après sa sortie, le film de Nietzchka Keene avec une Björk juvénile arrive restauré en France. Austère réécriture d’un conte des frères Grimm, il déçoit par sa préciosité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
Un véritable chef-d’œuvre, incandescent et fascinant, qui ravira les fans de la première heure de Björk et les amateurs d’un certain art du cinéma d’auteur à la façon d’Ingmar Bergman.
Cahiers du Cinéma
Ce conte cruel et poétique semble lui aussi sorti de la terre islandaise et nous arrive encore tout plein du mystère des confins.
L'Humanité
Avec un peu plus de tension dramatique, de pleins et de déliés, cela aurait pu être un chef-d’œuvre. Quoi qu’il en soit, cette évocation poétique habitée par ses interprètes – dont la lumineuse Björk – distille un charme puissant.
L'Obs
C’est beau, angoissant et très dépouillé, avec la première apparition de Björk (22 ans).
Les Inrockuptibles
Tourné en noir et blanc dans des paysages insulaires austères et sublimes, la cinéaste déplace le conte à la fin du Moyen-Âge. Cela lui donne une aura mythologique et mystique, renforcée par l’incursion du fantastique.
Télérama
Le noir et blanc magnifiquement restauré renforce l’intemporalité du film, comme les formules magiques en forme de litanies psalmodiées par les deux sorcières — dont Björk dans son premier rôle qui, avec son visage d’elfe, emporte le film vers le fantastique.
Le Monde
Quand nous étions sorcières évoque par son imagerie les grands films scandinaves qui portent en eux les survivances païennes. Mais la tendance à l’abstraction de la cinéaste et la présence de Bjork donnent au film une indéniable et séduisante nouveauté.
Les Fiches du Cinéma
Premier film de Nietzchka Keene, décédée depuis, et première apparition de Björk à l’écran, "Quand nous étions..." n’était jamais sorti en France. Injustice réparée pour ce récit de sorcières (d’après les frères Grimm) à la mise en scène hiératique mais inspirée.
Libération
Trente ans après sa sortie, le film de Nietzchka Keene avec une Björk juvénile arrive restauré en France. Austère réécriture d’un conte des frères Grimm, il déçoit par sa préciosité.