Spider-Man: Across the Spider-Verse - Une Toile d'Humour, de Punchlines et de Web-ception
Quand on m'a dit qu'on allait me projeter dans le Multivers, j'ai pensé qu'ils me préparaient une séance de méditation transcendante. Mais non, c'était "Spider-Man: Across the Spider-Verse" - une expérience plus intense que l'expresso que même Iron Man ne pourrait pas se permettre.
L'histoire, c'est comme une araignée dans un bureau de rédaction, elle tisse sa toile avec une cohérence déconcertante. Le scénario est plus solide que le bouclier de Captain America, avec des rebondissements plus inattendus que la révélation de l'identité de Kylo Ren. Et croyez-moi, même si vous avez autant de connaissances en physique quantique que Deadpool a d'amis, vous allez adorer ce joyeux bordel dimensionnel.
La réalisation, c'est comme si Picasso avait décidé de devenir animateur. Chaque plan est un chef-d'œuvre, une fresque visuelle qui fait ressembler le reste du monde à une vieille photo sépia. Les couleurs sont plus vives que la lampe de poche du Green Lantern, et les décors sont aussi bien choisis que les excuses de Flash pour arriver en retard.
Les choix artistiques sont aussi bien intégrés que les Easter eggs dans un film de Tarantino. Ils sont là, ils sont cool, mais ils ne te tapent pas sur la tête comme une mallette d'Infinity Stones. Même la musique est plus envoûtante que la danse de Groot. Et si vous avez le malheur de cligner des yeux, vous risquez de manquer une référence geek qui passerait plus inaperçue qu'un caméo de Stan Lee.
Les personnages, c'est comme une convention Comic-Con - tous ont leur moment sous les projecteurs. Miles Morales se débrouille plus efficacement que Batman avec une ceinture pleine de gadgets, et Gwen Stacy est plus badass que Wonder Woman avec un coup de pied bien placé. Les égos s'entrechoquent plus violemment que Hulk et Thor jouant à pierre-papier-ciseaux.
Chaque héros a une personnalité aussi unique que Deadpool dans une salle d'interrogatoire. Et le développement de chacun est aussi satisfaisant que voir Tony Stark évoluer d'arrogant à émouvant. Même si vous n'êtes pas un expert en araignées radioactives, vous vous attacherez à eux plus rapidement qu'un symbiote à Eddie Brock.
La narration, c'est comme une conversation entre Rocket et Star-Lord - ça va droit au but, avec juste ce qu'il faut de sarcasme. Pas de blabla inutile, chaque mot compte plus que les derniers mots de Darth Vader. Le film ne s'embarrasse pas de détails superflus, c'est aussi fluide que Flash en plein sprint.
Les références à l'univers des super-héros sont aussi bien intégrées que les gadgets dans la ceinture de Batman. Pas de fan service agaçant ici, chaque clin d'œil est plus subtil qu'un caméo de Stan Lee. Et même si vous ne connaissez pas tous les codes du comic book, vous serez plus à l'aise que Peter Parker dans un laboratoire scientifique.
Je suis plus excité à l'idée de la suite que Rocket lorsqu'il voit une arme de destruction massive. Ce film est une invitation à rester dans l'univers Spider-Verse comme un abonnement Netflix que même Thanos ne pourrait pas annuler. La valse visuelle de deux heures passe plus vite que Flash devant une amende pour excès de vitesse.
En conclusion, "Spider-Man: Across the Spider-Verse" est un chef-d'œuvre qui te colle au plafond du cinéma comme du slime de Ghostbusters. Le scénario et la réalisation fusionnent comme les particules du Multivers, créant une expérience plus mémorable que le sacrifice de Tony Stark. Alors, enfilez votre costume d'araignée et préparez-vous à être secoué plus fort que Thor ne secoue son marteau. C'est du Spider-Man, mais en mieux - c'est une explosion visuelle qui laisse tes sens plus secoués qu'un combat entre Deadpool et Wolverine. Vous n'êtes pas prêt, mais plongez quand même, comme si vous étiez un plongeur dans un océan de références geek. C'est du grand spectacle, mes amis, du grand spectacle.
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Très très bon film, la bande son de Métro est incroyable vraiment le film est vraiment très bien, on attend la partie d’eux pour voir ce que donne la suite
Spider-Man: Across the Multiverse est un chef-d'œuvre d'animation qui allie habilement une histoire captivante et des visuels époustouflants. Les multiples dimensions explorées permettent une variété de styles artistiques uniques, créant une esthétique visuelle riche et dynamique. Les enjeux émotionnels et la croissance personnelle du personnage principal, Miles Morales, font de ce film une expérience inoubliable et une réflexion profonde sur le sens du héros.
Un chef d'œuvre visuel et quel scénario ! Ils ont dépassé le premier opus : une véritable surprise ! Grosse frustration tout de même quand l'inscription "To be continued" s'est affichée mais à la hauteur du bonheur que m'a procuré ce film. A voir sans modération.
J'avais adoré le prmier et bien le deuxième est encore mieux! Le multivers y est exploité parfaitement et tout se tient par rapport au MCU. L'animation est de vrmt très haut niveau et l'intrigue est prenante avec notamment plus d'enjeu que dans le premier
J'avais ADORÉ le 1er qui avait l'air d'une expérimentation visuelle, à laquelle j'ai CARRÉMENT adhéré, en plus d'une histoire présentant Miles Morales et bien d'autres, avec une trame de fond qui se tient Le second volet, on repousse les limites de...TOUT Je le recommande et je regrette TELLEMENT de n'avoir pas eu le temps de le voir en 3D comme le 1er Juste une MÉGA FRUSTRATION...Celles et ceux qui l'auront vu comprendront... j'espère que...
Incroyable a ne pas manquer !!! L'animation est vraiment très top !! Pleins de références au Spider-Verse 🤩 spoiler: Hâte a la partie 2 l'année prochaine 👍🏻👍🏻
Waouh, que dire de ce chef-d’œuvre, l’image le son de scénario tout y est. J’attends avec impatience la deuxième partiespoiler: le rôle de Gwen, Stacy est juste magique et Miles. La mère de Miles m’a beaucoup touché. Et le routeur je n’en dis pas plus. Je vous laisse découvrir mais quelle frustration à la fin.
bientôt 5 ans après le précédent opus ayant changé le spectre des films de super-héros en donnant enfin du (vrai) sang-neuf à la mythologie Spider-Man, Miles Morales revient avec une histoire plus dense et finalement plus profonde que le précédent.
Reprenant certains des personnages marquants du premier film, ce second opus se concentre plus sur la relation entre Spider-Gwen & Miles Morales les deux laissant derrière eux un lourd fardeau et faisant face à une situation difficile. Leur situation ainsi que leurs relations, que ce soit personnelles et inter-dimensionnelles spoiler: (n'étant pas dans le même univers, chaque univers n'ayant qu'un seul super-héros araignée) sont au point mort et finalement plus dramatiques qu'il n'y parait.
Tout cela pour dire qu'il s'agit du point de départ à un récit tentaculaire se déroulant sur plusieurs trames confrontant les héros à des antagonistes surprenants et prennant leur temps pour se révéler tels qu'ils sont réellement.
Derrière ce scénario fouillé et une signification profonde spoiler: (notamment concernant le Spiderverse finalement assez limitant, se rapprochant d'une sorte de causalité/destin qui limite énormément les actions de tous les héros des différentes dimensions) l'animation et la réalisation sont toujours incroyables. L'animation changeant de style très souvent sans oublier de varier les palettes de couleur ainsi que les perspectives n'oublie pas d'être en osmose avec une réalisation virtuose et dynamique donnant toujours l'impression d'être constamment en mouvement avec des personnages ultra rapides.
spoiler: Une audace de mise en scène constamment présente se multipliant à l'approche des révélations liées au Spiderverse qui multiplie les prises de risque stylistique.
Au final, cette suite de Into The Spiderverse arrive à être plus folle et fournie que son aîné et constitue une suite qui surprend sans cesse bien qu'il finisse un peu par se perdre dans sa myriade d'intrigues (toutes importantes cependant) ne sachant pas toujours comment conclure un récit trop dense pour ne tenir que dans un film de 2h15, une durée déjà anormalement longue pour un film d'animation mais qui est clairement plus une qualité qu'un défaut ici.
Et bien voilà c'est pas si compliqué de faire un film qui exploite à merveille le concept de multivers. Le dernier Doctor Strange avait osé quelque truc mais sans plus, mais quand je vois tout l'engouement qu'il y a eu pour Spider-Man No Way Home où on a clairement un scénario sans cohérence car fallait un truc qui tient la route pour montrer un maximum de fan service, qui au final n'est qu'un pétard mouillé avec une bonne dose de nostalgie (tiens ça me rappel une trilogie récente d'une autre grosse franchise tenue par Disney...). Là au moins le fan service est présent mais bien dosé et n'empêche en rien de suivre et comprendre le film. Bien que le film reste assez simpliste (faut que ça reste compréhensible aux enfants) il traite tout de même des sujets bien adulte, et exit toute les blagues pourries typiquement courante dans le MCU. Certain parent le trouveront probablement trop sombre et compliqué pour leur gosse mais bon... le MCU s'adaptent aux enfants, pourquoi les films d'animation ne s'adapteraient-ils pas aux adultes pour une fois ? :D