Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On pense à David Lynch devant cette œuvre puissamment originale.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Déborah Lechner
Saules aveugles, femme endormie est une expérience parfois déconcertante, qui à l'instar des personnages demande de lâcher prise pour trouver le sens qui manque a priori.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Son scénario virtuose parvient à tresser des histoires fantastiques en souplesse mais le premier long-métrage de Pierre Földes saisit surtout par sa beauté graphique, la grâce d'un trait aérien et sensuel, d'un dessin sans cesse changeant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thomas Baurez
« Pourquoi tu ne ferais pas un petit voyage ? » Földes, également auteur de la musique, parvient à faire de ces croisements d’histoires un labyrinthe mental et pénètre l’intime de chaque être sans jamais les trahir. Sa mise en scène d’une grâce et d’une pureté absolues, étreint le spectateur pour ne plus le lâcher. Un miracle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Mais, parmi les indices qui flottent dans ce film singulier, fidèle à Murakami, c’est un aphorisme de Nietzsche qui s’impose, comme belle loi du cinéma d’animation : « La plus grande sagesse, c’est de n’avoir peur de rien. »
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Hélène Robert
En employant les potentiels techniques de l’animation, Pierre Földes explore avec acuité les frontières entre le verbal et le non-dit, la réalité ordinaire et l’imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par X. L.
Un récit polyphonique qui juxtapose les partitions solitaires de héros en butte à la dépersonnalisation de la société nipponne, à ses traumas résiduels, au stakhanovisme du monde du travail et à la solitude qui en découle. Un trait angoissant et une mise en scène claustrophobique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si la narration a tendance à s’étirer, on est emporté par ce film pour adultes, scandé par des parenthèses oniriques, qui se démarque par son animation impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt.
Ce récit tout en allers et retours, digressions et fantasmes, progressant par stases et bouffées, le retient par son mélange de réalisme spleenétique et d’ornementations oniriques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Conçu à partir d’une sélection de nouvelles de Murakami, ce film d’animation multiplie les niveaux de réalité, au risque de s’y perdre parfois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Inégal mais passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Camille Brun
Malgré des longueurs, l'ensemble est original et souvent très intrigant.
Le Parisien
par La Rédaction
Clairement destiné aux adultes, un vrai pari compte tenu du peu de succès des films d’animation non destinés aux seuls enfants, le film pêche par ailleurs par un graphisme inégal : fourmillant de belles idées pour les décors, assez repoussant pour les traits des personnages humains.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marie Klock
[...] une adaptation molle d’une nouvelle d’Haruki Murakami.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
On pense à David Lynch devant cette œuvre puissamment originale.
Ecran Large
Saules aveugles, femme endormie est une expérience parfois déconcertante, qui à l'instar des personnages demande de lâcher prise pour trouver le sens qui manque a priori.
Les Echos
Son scénario virtuose parvient à tresser des histoires fantastiques en souplesse mais le premier long-métrage de Pierre Földes saisit surtout par sa beauté graphique, la grâce d'un trait aérien et sensuel, d'un dessin sans cesse changeant.
Première
« Pourquoi tu ne ferais pas un petit voyage ? » Földes, également auteur de la musique, parvient à faire de ces croisements d’histoires un labyrinthe mental et pénètre l’intime de chaque être sans jamais les trahir. Sa mise en scène d’une grâce et d’une pureté absolues, étreint le spectateur pour ne plus le lâcher. Un miracle.
Télérama
Mais, parmi les indices qui flottent dans ce film singulier, fidèle à Murakami, c’est un aphorisme de Nietzsche qui s’impose, comme belle loi du cinéma d’animation : « La plus grande sagesse, c’est de n’avoir peur de rien. »
Bande à part
En employant les potentiels techniques de l’animation, Pierre Földes explore avec acuité les frontières entre le verbal et le non-dit, la réalité ordinaire et l’imaginaire.
L'Obs
Un récit polyphonique qui juxtapose les partitions solitaires de héros en butte à la dépersonnalisation de la société nipponne, à ses traumas résiduels, au stakhanovisme du monde du travail et à la solitude qui en découle. Un trait angoissant et une mise en scène claustrophobique.
Le Journal du Dimanche
Si la narration a tendance à s’étirer, on est emporté par ce film pour adultes, scandé par des parenthèses oniriques, qui se démarque par son animation impressionnante.
Le Monde
Ce récit tout en allers et retours, digressions et fantasmes, progressant par stases et bouffées, le retient par son mélange de réalisme spleenétique et d’ornementations oniriques.
Les Fiches du Cinéma
Conçu à partir d’une sélection de nouvelles de Murakami, ce film d’animation multiplie les niveaux de réalité, au risque de s’y perdre parfois.
Paris Match
Inégal mais passionnant.
Télé Loisirs
Malgré des longueurs, l'ensemble est original et souvent très intrigant.
Le Parisien
Clairement destiné aux adultes, un vrai pari compte tenu du peu de succès des films d’animation non destinés aux seuls enfants, le film pêche par ailleurs par un graphisme inégal : fourmillant de belles idées pour les décors, assez repoussant pour les traits des personnages humains.
Libération
[...] une adaptation molle d’une nouvelle d’Haruki Murakami.