Mais quelle grosse croûte cinématographique ! J'avais déjà trouvé très faible le premier "Venom" sorti en 2018 (7/20), mais Columbia Pictures a réussi le tour de force de faire pire avec cette suite hideuse et stupide ! Le symbiote noir affreux et lourdingue est toujours présent dans le corps d'Eddie Brock (Tom Hardy), mais il va désormais y en avoir un second couleur sang dans le corps du méchant Cletus Kassady (Woody Harrelson) ! Préparez-vous à force noire contre force rouge ! Et le tout dans une ambiance moche au possible, et bien sûr avec des dialogues pitoyables et un scénario minimaliste ! Un vrai carnage pour le coup ! Très mauvais, fuyez ! Site CINEMADOURG.free.fr
Voici le plus gros navet de l’année. Pas grand chose a dire , histoire nulle , scenario nul , rien a retenir , seul bon point , ce film n'est pas trop long.
Le 1 était largement meilleur Le film est tournée à des dates différent un coup Tom Hardy et mince un coup il est gros mais seul un pros avec un œil de magicien le verra . (merci covid 19 ) histoire déjà vu est revu film très courts 1h37 y'a des série qui durent plus longtemps tous ce passe si vite ds le film la mutation de carnage qui gère ses pouvoir mieux que venom 1 min après la transformation c pas top il aurait fallu rajouter 40 min pour que le film soit bien . Désolé je dévoile pas on voit tout ds la bande annonce .
Avec tous les mauvais avis, je m attendais au pire.. finalement j ai passé un bon moment..de l humour (certe un peu lourd parfois mais bon ca fait aussi parti du personnage) et de l action tout du long du film et je conseille de le voir en salle " ice dolby son" ca vaut vraiment le coup pour toute les scenes d actions.
Une comédie ridicule alors qu'il s'agit d'un des plus grands méchant de l'histoire, sans profondeur, ni réel histoire. Pendant 1h on ne comprend pas ou le film veux nous mener... tout ça pour finalement avoir 20 minutes de combat à la fin ou venom est d'une faiblesse ridicule.
Après un premier volet correct, ce deuxième opus est un beau ratage, qui accouche d'un film sans saveur ni originalité. Ce "Venom 2" se révèle creux, laid, grotesque, et cherche sa raison d'être dans tous les sens. Il se moque aussi bien des comics que des spectateurs venus chercher un spectacle convenable. Cette suite sans âme ridiculise son anti-héros et sa star, Tom HARDY. Le scénario est insignifiant, la mise en scène chaotique, c'est un édifiant rappel de tout ce qu'il ne faut pas faire en matière de film de super-héros.
Deuxième opus sans grande saveur qui ne relèvera pas le premier. Le côté humoristique du premier film m'avait gêné, on a le droit dans celui-ci à une double ration, trop lourde et enfantine. L'histoire est trop courte, ce qui fait que rien n'est réellement approfondi, surtout en ce qui concerne Kasady/Carnage. Les effets spéciaux sont là, le scénario reste tout de même dynamique mais malheureusement pas assez travaillé. Bon point pour la scène post-générique cependant.
Ridicule... Rien ne va.. les personnages ne sont pas attachants, aucune explications sur pourquoi carnage est né, pourquoi Venom en à peur à par qu'il est rouge (???). Bref j'ai eu le temps de m'ennuyer en si peu de temps. Le seul moment intéressant est la scène post générique et encore tout le monde s'en doutait Bref si vous voulez passé un moment oubliable allez y
Malheur m'en a pris d'aller voir Venom : Let There Be Carnage après tout le monde. Tout semble avoir été dit dans la presse ou sur les réseaux. Alors que faire ? Bon, tentons alors de donner une explication à cet inexplicable objet cinématographique. Rappelons-nous le premier Venom. Non, pas le film, ne soyez pas masochistes. Plutôt sa calamiteuse gestion par Sony et Arad Productions, qui a même rejailli lors de la promo avec un Tom Hardy plus désabusé que jamais d'avoir vu l'œuvre tronçonnée sur les bancs du montage. À l'arrivée, un succès commercial certes. Mais le retour de bâtons fut à la hauteur de l'injure faite au personnage, à son univers, à sa tonalité et à ses fans bien entendu. Et si Let There Be Carnage avait été envisagé non pas comme une rédemption mais en tant que punition ultime ? Une théorie bien sûr, loufoque sans aucun doute. Est-elle pour autant inenvisageable ?
Tom Hardy rempile et il l'a eu si mauvaise avec le premier qu'on lui laisse co-signer le scénario. Comment pourrait-il aller plus loin dans l'affront ? Pourtant, c'est ce qu'il fait. Eddie Brock, journaliste ? C'est bien simple, dans ce volet il aurait pu tout aussi bien être charpentier, barman ou ballerine qu'on ne verrait pas la différence. Brock est devenu un loser intégral, tellement idiot et mauvais à sa tâche qu'on se demande comment on peut décemment essayer de le faire passer pour un gratte-papier. Et face caméra ? En 2018, l'absence de crédibilité de l'acteur était pénible. Aujourd'hui, Hardy n'essaie même plus d'y croire lui-même. Sa destination ? Le point de non-retour. Il l'atteint avec brio. Loin de cachetonner avec indifférence, l'interprète met toute son énergie à torpiller le personnage dans un sidérant concours de grimaces et de gesticulations. À moins d'être inconscient ou scatophile, je ne vois aucune autre explication que l'auto-sabotage pour justifier une telle contre-performance. Et le plus beau, c'est que le reste fait ton sur ton. Woody Harrelson et Naomie Harris cabotinent au delà de toute expression. Seule Michelle Williams arrive à faire illusion quand elle sert à quelque chose, donc très rarement.
Andy Serkis remplace Ruben Fleischer à la caméra. Autrement dit le pape de la motion-capture et le réalisateur de Mowgli, autrement plus réussi que le remake fainéant du Livre de la Jungle par Jon Favreau. Une valeur ajoutée pour la technique ? Oh que non. Si le carnage a lieu, c'est aussi parce que Serkis ne fait rien pour l'empêcher. Zéro investissement sur les scènes d'action, zéro tempo comique, zéro envergure, et comment passer outre ce rythme ? Comme le script n'avait visiblement aucun sens à l'écrit, le choix a donc été fait de boucler le film en quatrième (voire cinquième) vitesse. Le miracle opère : au lieu de masquer les très nombreuses aberrations, ce procédé les rend encore plus flagrantes. On se retrouve avec une trame abracadabrante, des transitions sans queue ni tête et des points d'orgue dévastateurs. Comme la séquence d'animation qui sort de n'importe où, en décalage total avec le ton qui se voudrait débridé et sanguinolent (une seule goutte de sang dans tout le film). Ou ce combat entre Brock et son "colocataire" agrémenté d'effets spéciaux ignobles. Puis cette bataille finale, à ranger parmi les plus laides du genre. Tout cela tient pourtant de l'anecdote face au vrai "morceau de bravoure" de Let There Be Carnage, situé dans une boîte de nuit. Un moment qui l'intronise comme le plus bel héritier de Batman & Robin. Contre toute attente, Venom 2 assume une relation crypto-gay entre Brock et le symbiote puisqu'on y fait plusieurs références verbales. C'est à cet instant précis - au milieu de ce cataclysme provoqué - que la production devient un geste sympathique.
On pourra en penser ce que l'on veut, mais on ne pourra pas ôter au long-métrage sa grande cohérence dans le carnage. Rares sont ceux à avoir poussé le bouchon aussi loin, et c'est pour ça qu'on s'en souvient. Comment donc classer cette suite ? Insoutenable, honteuse et stupéfiante ; trop nulle pour être sauvée, trop mauvaise pour être oubliée. Admettons qu'elle fera date pour les films de super-héros. Impossible d'y rester insensible, ce qui la différencie de pas mal de productions équivalentes. On jubilerait presque à voir toute la clique rejoindre les rangs des super-héros depuis longtemps réduits à une formule marketing éculée pour y mettre la pagaille. Et qui sait, en finir avec ces interminables univers qui s'étendent pour mieux se ratatiner ? Au point où on en est, ça ne fera pas beaucoup de mal.
Le film ne se prend même pas au sérieux comme on peut le prendre au sérieux? spoiler: Et pour la fameuse scène post générique: dégoûtée, j’en ai pas envie. Pas envie de voir cette version de Venom avec Spider Man qui mérite un film avec des enjeux plus dramatiques.spoiler:
Bon ben on va pas épiloguer plus longtemps : après un 1er volet qui fut déjà un beau ratage, cette suite enfonce le clou, en dénaturant encore un peu plus le personnage de Venom et en l'enterrant définitivement.
Un film trop long et trop rushé à la fois et rempli de séquences d'une terrible gênance. Et l'arrivé d'Andy Serkis et de Woody Harrelson n'y changera absolument rien.
Bref, sans être vulgaire, fuyez devant ce truc qui porte très bien son titre.
Cette suite reprends là où a fini l'autre pour ainsi dire, et le duo ne semble pas avoir beaucoup évolué à l'exception près que Venom désire avoir de plus en plus de liberté, plus d'indépendance malgré Eddie Brock. Le début est assez logique, efficace mais sans surprise mêlant un peu de violence, des joutes Venom vs Eddie plus ou moins réussies, et un humour plus ou moins cynique. La vraie déception est que le film reste dans un niveau "tous publics" alors que Venom mérite d'assumer sa violence et sa rage, et que dire de son adversaire ! Le film s'avère donc beaucoup trop sage ! On a donc aucun frisson, aucun sursaut ou aucune surprise narrative, on peut même être agacé par le cabotinage de Tom Hardy (ce n'est clairement pas son meilleur rôle). Les effets spéciaux sont impressionnants et restent un atout majeur dans ce film, surtout en ce qui concerne Carnage qui n'est pas si facile à incarner. En ce qui concerne Carnage, on sent aussi qu'on a voulu atténuer la folie de ce psychopathe, dans un trop plein explicatif superflu en l'excusant presque. Un blockbuster sans personnalité fait à la chaîne. Site : Selenie