Avis : Venom: Let There Be Carnage - Page 7

Venom et Éric, prochainement le nouveau couple de Scènes de ménage. Mais à destination des enfants, par contre, vu le niveau incroyablement puéril des vannes que se jettent les deux héros et le monde des Bisounours dans lequel ils évoluent. Qu'on se le dise : on pense que sa classification est injustifiée, et devrait plutôt l'interdire aux plus de douze ans. On suit donc un Venom trop gentil qui mange du chocolat et des poulets, qui ne fait pas le moindre bobo à personne, qui est trop triste quand il s'éloigne d'Éric, qui a des répliques du niveau de blagues Carambar, et qui fait même un petit speech public sur l'importance de l'amour... On en pleurerait presque, mais de désespoir. On aurait aussi pu faire un carnage (comme il n'y en a pas dans le film, élu titre mensonger) en tordant le cou au compositeur musical qui s'est visiblement endormi sur un orgue (BO infernale), au monteur et au cadreur qui coupent systématiquement tout acte de tuerie (on ne voit jamais rien, le -12 est totalement abusif), à Tom Hardy qui se ridiculise presque autant que son Venom devenu bouffon, et à Woody Harrelson qui ne donne jamais d'autre impression que de gâcher son talent et son temps dans ce navet. On a même failli s'étrangler face à ses spoiler: dernières paroles : "Je ne voulais que ton amitié..."
. On a zappé sur Gulli, non ? Heureusement que cet opus ne dure qu'une heure trente, elle semble souvent longue avant le combat final bâclé en quelques minutes de "fluides" numériques balancés un peu partout (combat très laid) sur fond de gueulantes bestiales (limite préférables aux punchlines épuisantes de Venom). On n'ira pas non plus chercher trop loin dans le scénario qui nous pond que le flic spoiler: obtient des superpouvoirs (mais comment ?!), que Venom est trop puissant pour quasiment tous les humains mais la petite Anne le tolère très bien
(alors ça, ça tombe bien), que l'on se coltine encore cette scène de chute de Mary-Jane, euh, Gwen, euh, Anne, au ralenti en contre-plongée avec le héros qui la rattrape avec sa "toile"... D'ailleurs, la seule scène qui nous a enthousiasmé un brin est celle post-générique, qui annonce une confrontation avec spoiler: Spider-Man
qui nous fait déjà envie ! On essaiera d'ici là d'oublier cette suite pleine de gags puérils et de mièvreries, qui a réduit Venom a l'état de guignol.

Venom, c’est un peu le vilain petit canard de l’univers Marvel, enfin, de la partie de l’univers Marvel dont les adaptations ne tombent pas encore sous la juridiction de Kevin Feige. Pas seulement parce qu’il est moche mais surtout parce que sa première apparition n’était franchement pas terrible, en dépit d’effets d’annonces aussi tonitruants qu’ils avaient été imprudents en annonçant un chef d’oeuvre, et que cette suite parvient à faire encore pire. D’un postulat de départ pas plus débile que celui d’autres franchises à super-héros - un type chelou est parasité par un organisme extraterrestre symbiotique et psychopathe - il ne devait pas être impossible de tirer quelque chose de différent, un peu plus barré ou un peu plus trash que le commun des sauveurs du monde encappés. A l’arrivée, Venom est à peu près aussi subversif que le Grand méchant loup, sa principale activité se résumant à annoncer avec la voix de Batman qu’il a envie de bouffer des gens. Dans toutes ses dimensions, il ressemble à un pur blockbuster de consommation courante, écrit à la va-vite, avec des personnages pas bien épais incarnés avec les pieds, un humour faiblard qui rate systématiquement sa cible et des effets numériques plutôt inférieurs à la moyenne. Là, je parle du premier volet ; en ce qui concerne le second, c’est la même chose sauf que le niveau a encore dangereusement baissé. Il paraît que cette fois, Tom Hardy est crédité comme co-scénariste, ce qui semble clairement indiquer qu’il n’est pas meilleur à l’écriture qu’à la promotion médiatique et qu’il devrait à l’avenir se contenter de s’approprier les personnages que d’autres ont écrit pour lui. En tout cas, c’est un peu déprimant de se dire que pour une fois qu’un personnage Marvel ne passe pas par la moulinette de la “méthode Marvel”, le résultat soit aussi médiocre…

Ayant peu de connaissance sur l' histoire du comics Venom et de son univers , j ' avais était plutôt clément lors de mon visionnage du premier film de Ruben Fleischer , que bien que bourrés de défauts et proche à plusieurs moments du ridicule , j avais trouvé recommandable.
Autant dire que mon avis sera beaucoup plus tranché sur cette suite , tant elle accumule toutes les tares qu' on ne veut plus voir dans une adaptation de comics.
Ici , tous les curseurs du mauvais gout sont poussés au max , et le film plonge allégrement dans le n' importe quoi et dans le grand guignolesque généreux , tout en faisant un gros doigt d' honneur au fans du comics.
Rien ne fonctionne dans cette suite , a tel point que l ' on peut penser à du sabotage pur que se soit devant ou derrière la caméra , personne n' a l ' air un minimum concerné pour proposer un travail propre ( même sans parler d' originalité ou de vision d' auteur).
Rien que devant la caméra , le cabotinage règne en maitre. La relation tissée entre le symbiote et Eddie Brock et décrite comme une sorte de parodie de couple , ridiculisant d ' emblée les deux personnages.
Tom Hardy à l ' air vraiment peu concerné par ce qu' il joue , et Michelle Williams d' habitude bonne actrice n' a ici rien à défendre , tant son rôle se résume à un rôle de soutien , avec quasiment aucun développement.
Seul Woody Harrelson ( à qui l' ont doit les seuls bonnes scènes du métrage) à l' air de s' amuser un minimum dans son rôle de Cletus Kassady/ Carnage qui lui permet de cabotiner bien comme il faut. Juste dommage que l ' on passe complétement à coté de toute la menace et le chaos qu ' est censé représenté Carnage. Pourtant j' ai plutôt bien apprécié la relation qu' il tisse en début de film avec sa femme Frances Barrison ( Naomi Harris plutôt convaincante) et qui se transforme au fur et a mesure en cavale de deux amants torturés ( un peu à la Tueurs Nés en somme , dont ce Venom fait instantanément écho)
La direction d' acteur n ' est donc pas vraiment le fort d ' Andy Serkis et on peu décemment pas dire que sa réalisation soit très inspirée non plus.
Film sur découpé au possible , une illisibilité totale lors des rares scènes d' action présentées ( spoiler: la scène de l ' évasion
est totalement indigeste tant la caméra ne se pose jamais , impossible de comprendre ce qui se passe à l ' écran) , des décors mal exploités dont on se sert trop peu dans l' action , le résultat visuel n ' est jamais à la hauteur.
Les effets spéciaux eux sont assez réussis dans leur globalité et oui le design de Carnage et Venom sont pour moi une des rares réussites du film. Ils arrivent à être imposant et assez menaçants par moments , juste navrant qu' ' on ne tire aucun potentiel de ses deux personnages.
Que dire de l' ambiance totalement surréaliste qui se dégage tout au long du film. Une adaptation de comics qui se veut à l ' origine dark et violent et qui se mute en délire comique à la Tex Avery , où les séquences absurdes et les jeux de mots poussifs s' accumulent; au grand dam des fans de la première heure ( et des autres). La menace qu ' est censé représenté Carnage n' est jamais palpable et Venom est tout aussi mal mis en avant , le scénario préférant le rendre ridicule tout au long du métrage.
L' affrontement des deux anti héros tant attendus et mis en avant dans la promotion du film , se veut encore plus molle et anti iconique qu' un Alien vs Predator , ce limitant à une scène finale , avec quelques jolis plans , mais oubliant tout sentiment de tension ou de grand spectacle.
Tout le traitement des personnages , et la direction voulue prise par le réalisateur ne fonctionne pas. L' écart entre l ' ambiance trop second degré et rigolarde et le sérieux de certaines situations ( spoiler: l' exécution de Kassady par exemple
) rendent le tout bien indigeste.
Evacuons également tout de suite le question de la violence ( ou non ) dédiée au long métrage. Cette suite est encore plus inoffensive et sans danger que le premier volet , et le montage misant constamment sur le hors champs ne fait que confirmer que le film est avant tout pensé pour qu' ' un maximum de personnes puissent le voir.
Aucune goute de sang en trop , bien que des dizaines de mises à morts soient montrées à l ' écran , et les plans de caméras font en sorte d ' en montrer le minimum possible. Pour des symbiotes se nourrissant de cerveaux humains c ' est assez rageant cette censure forcé par pur marketing.

Bien inutile donc que cette suite de Venom , qui enterre définitivement dans la médiocrité un personnage qui méritait mieux qu' un tel traitement , à coté de la plaque.
Quasiment rien ne sauve le film de la nullité abyssale et il est vraiment dommage de passer à coté autant de son sujet et de l ' univers auquel on rend hommage.
Un film qui ne s' adresse a personnage , ni aux néophyte qui connaissent peu les comics d' origine et encore moins à ceux qui sont fans de Venom depuis des années . Un gâchis monumental.

Un film de plus à rajouter à la longue liste des films inutiles ! Script mauvais. Scénario mauvais. Intrigue mauvaise. Aucun intérêt, tant à l'histoire qu'à la saga Marvel. Le premier Venom n'est déjà un chef d’œuvre, mais alors cette suite...

J'ai regardé VENOM: LET THERE BE CARNAGE hier soir. Ce fut un supplice.

Les joutes verbales incessantes entre Venom et Tom Hardi sont insuppotables. Venom est représenté comme un ado capricieux ingérable au point que ça en devient pénible.

Je cherchais un point positif et j'avais envie de dire le combat final mais même là ce moment où spoiler: Venom s'appeçoit que Carnage est un symbiote rouge et qu'il veux fuir quitte à laisser tout le monde mourir même sa "chouchoute" et d'un coup finalement change d'avis la seconde d'après
est finalement assez ridicule car peu sérieux. Dommage.

Venom est un excellent personnage de Comics mais comme souvent, très mal adapté. Ravi de ne pas l'avoir vu en salle à l'époque et ça me conforte dans l'idée de faire la même chose avec les prochains.

Le premier Venom était déjà très médiocre mais alors là, on atteint les bas-fonds du style super-héroïque. Les scénaristes ont abandonné toute tentative de faire quelque chose d'intéressant avec Venom. Ça donne 45 premières minutes qui sont justes délirantes tellement Venom et Eddie Brock forment un duo de bouffon. Et même si c'est nanardesque, ça a le mérite d'être drôle tellement c'est abusé. En revanche, toute la deuxième moitié du film n'est qu'un affrontement sans saveur entre Venom et Carnage avec des effets spéciaux dégueulasses. Bref, à la place de Sony, en voyant qu'on est pas capable de faire un film sérieux sur Venom, je pense qu'il serait tout aussi bien de jouer la carte de la comédie à 100% en se concentrant uniquement sur le duo de bouffon Brock et Venom, ou alors abandonné toute suite ou univers étendu à partir de ces deux films Venom, car là c'est juste immonde et irrattrapable. Faites que cette licence cesse ou assume sa nullité à fond bon sang !

Très décevant, j’avais déjà pas été fan du premier je trouves que un personnage comme venom doit être présenté comme un personnage sombre sans état d’âme (film à là joker), alors que là nous nous retrouvons avec un film enfantin (pour plaire au plus grand nombres) vraiment déçu, les blagues ne fonctionne pas à part pour des enfants et j’ai 22 ans donc pour vous dire mdr, enfin vraiment déçu surtout avec un budget et une distribution pareil, des scénarios à la Marvel et encore…

Affligeant !
Ce film est vraiment nul, soporifique même les 40 premières minutes.
C est un raté phénoménal avec pourtant de bons acteurs qui font le minimum. On est gêné pour eux

Un nanar tout simplement, comme Marvel en fait presque tous les ans mais celui là est un des pires. Suite sans intérêt si ce n'est financier. Tom Hardy qu'est ce que t'es allé faire dans cette franchise...?

Ça se veut drôle mais c'est juste bête. Sympa à la rigueur pour des gamins de 8 à 13 ans, le public de Marvel depuis toujours en somme.

Déçu du traitement de venom et surtout de carnage Tom est top dans son rôle de Eddie
Le film est court avec du rythme sans temps mort
C'est dommage je reste sur ma faim

Je me disais que les Marvel ne pouvait pas de planter après un premier ARC de 22 films
Mais là , je suis dépité , un film creux , avec des blagues qui s'adressent au jeune public , un film sans enjeux , sans scène épique , le premier plantage cata de Marvel , ou alors le début de la lassitude ???

J'aurai mis 0 si j'avais pu pour une fois.
Le truc irregardable, un navet de chez navet comme on en fait plus, scénario nul, acting nul, humour malaisant. Les scénaristes ont clairement chiés une grosse bouse sur le venom et carnage des comics.
Tellement mauvais, qu'on s'est retrouvés à rire de la médiocrité du bordel pendant la séance, ça vaut au moins 0.5

Je n'ai même pas encore fini le film que je sais déjà quoi en penser.
Au bout 20min j'ai tout de suite compris que j'allais être déçu. Étant un grand fan des comics et film de Spiderman, je savais que la représentation ne serais pas fidèle au vue du premier film; mais jamais je n'aurais pensé qu'une œuvre aurais pu être aussi affreuse. Une honte !
Les effets spéciaux ont l'air d'avoir plus de 15 ans, or le film est sorti en 2021.
Tellement de scene ridicule que je ne pourrais jamais toutes les énumérer ici.
Tom Hardy qui est habituellement un bonne acteur, n'a aucune prestance dans ce film.
Les acteurs joue mal et personne ne prend le film au sérieux. Et on comprend pourquoi.
Bref un film à éviter de toute urgence, 1h30 de film ressenti 3h.
Il n'y a rien à sauver !

Venom 2 ça donne surtout envie de se laver les yeux et les oreilles à l'eau de javel. Venom qui veut du chocolat, Venom qui veut pas manger des poules, Venom qui joue le psy d'Eddie. Quel intérêt de changer de réalisateur si c'est pour servir la même bouse boursouflée ?

https://www.cineserie.com/tv-vod/programme-tv/venom-sur-tf1-pourquoi-le-symbiote-aime-t-il-autant-le-chocolat-4625390/

https://www.cineserie.com/news/cinema/venom-2-qui-est-carnage-lantagoniste-du-film-4607820/

https://www.cineserie.com/dossiers/gros-plan/gros-plan-tout-savoir-sur-venom-le-superbe-symbiote-de-lunivers-marvel-2057854/

https://www.cineserie.com/critiques/cine/venom-let-there-be-carnage-une-suite-qui-na-rien-appris-4607788/

https://www.cineserie.com/news/cinema/venom-let-there-be-carnage-on-decrypte-la-scene-post-generique-4631623/

https://www.cineserie.com/news/cinema/venom-let-there-be-carnage-avez-vous-remarque-lhommage-a-stan-lee-4631747/

https://www.cineserie.com/news/cinema/venom-decouvrez-les-origines-de-son-nom-4677880/

Un carnage, c'est le mot parfait.
A l'instar de Deadpool, voilà comment réduire un des meilleur personnage sombre de la franchise Marvel en un guignol décérébré.

Pour un public d'ados. Si vous avez plus de 25 ans, passez votre chemin.