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HamsterPsycho
120 abonnés
1 182 critiques
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3,0
Publiée le 26 octobre 2021
Petit film Marvel, suite directe de Venom. L'humour est omniprésent, peut-être plus que dans le premier. Mais cet épisode est bien plus gore avec l'apparition de Carnage, à la fois rejeton et ennemi juré de Venom. La production a bien choisi avec Woody Harrelson en psychopathe dégénéré et est en cela fidèle à l'esprit du personnage des comics. C'est sûr que ce n'est pas un chef-d'oeuvre du genre mais c'est rock'n'roll est sympa.
J’ai beaucoup aimer le deuxième volet de Venom, un bon film qui mélange action et humour ! Vraiment pas déçu ! Un film prenant qui a rempli toute mes attentes ! Je née comprend pas trop l’avi négatif que porte le film …
"Venom: Let There Be Carnage" est un film que j'ai bien aimé et qui fait suite à "Venom". Un second volet intéressant mais moins bien que le premier. J'ai bien aimé l'humour mais trop présent dans le film, les scènes d'action sont sympa et les effets spéciaux sont dans l'ensemble bien.
venom vit avec son hôte et prend de temps à autre le contrôle afin de lui préter une puissance supplémentaire. Au cours du film il devra mener une enquête sur un tueur en série. j ai bien aimé le film surtout la relation entre eddie et le venom, les méchants et le rythme du film qui ne retombe jamais par contre les scènes de combats ne m ont pas plu.
Vu en avant-première ce soir, le rôle de Carnage va parfaitement à l'acteur en question. Il y prend plaisir d'ailleurs. L'action y est au rendez-vous. Je le trouve réussi ce second opus. Pour une fois qu'un film donne des rôles aux acteurs qui leurs corresponds vraiment, je trouve que c'est assez rare. Pour les amateurs de Marvel, d'action et d'hôpitaux psychiatrique, foncez le voir.
C'est pas vraiment intéressant, l'histoire est tellement moins prenante que le premier opus. Tout le scénario tourne autour de circonstances absolument évitable qui amène des choses inutilement et ridiculement grave. Heureusement que la scène post crédit montre quelque chose, qui, je pense sera bien plus intéressant que ce film, s'il faut attendre juste les dernières minutes du film pour qu'il soit intéressant et que ça s'arrête parce que ça tease un futur meilleur film, pas fou.
je suis suis clairement ennuyé devant le film, 1h30 qui était interminable pour moi. Moins bien que le premier est pourtant j'adore le personnage de Venom mais un scénario tellement nul j'ai pas du tout accroché je suis déçu
Je trouve cela dommage de ne pas avoir retenu les erreurs du 1er. Film trop rapide qui enchaîne les scènes sans vraiment les traiter. Je lui mets 3 parce que ça reste un bon divertissement.
Magnifique cette suite ce second volet est excellent encore mieux que le premier les effets spéciaux sont geniaux c'est hyper drôle tom hardy comme d'habitude interprète son rôle superbement bien franchement a regarder tout est SUPER !
Le pire, dans ce Venom : Let There Be Carnage calamiteux, est certainement de constater l’incapacité du film à proposer un divertissement un tant soit peu abouti. Les effets spéciaux réussissent l’exploit d’aplatir une image en deux dimensions tant le gloubi-boulga numérique a raison des perspectives, des échelles et des profondeurs de champ. Andy Serkis, roi du trucage à Hollywood, semble aveuglé par l’aspect physique du bestiaire qu’il compose, par la distorsion des corps et la cohabitation de l’homme et du monstre, au point de mépriser la construction d’un récit ordonné, la mise en place d’un rythme et la création/destruction d’icônes.
Le long métrage se présente telle une grosse farce qui a le mauvais goût de recourir à de cette violence et à ce second degré insupportables qui définissent aujourd’hui le blockbuster type. Rien n’est grave, jamais. Une blague, un décalage de situation et le tour est joué : on passe à la suite, et encore et encore. Impression d’avoir sous les yeux un one man show méprisable. Tom Hardy réitère son numéro de pitre, guère plus convaincant que dans le premier volet, confirmant ainsi la tendance de sa carrière à la chute libre depuis quelques années maintenant. Les personnages pourraient être échangés d’une saga à l’autre, nous n’y verrions que du feu : héros qui ne se prend pas au sérieux, femme potiche – elle ne sert à rien ici – mais féministe dans l’âme (!), antagoniste fou et grimaçant dont les propos, maximes à afficher en haut des affiches, résonnent dans le vide des pièces de studio…
Voilà une production sérielle sans saveur ni odeur, très bruyante et terriblement bête qui remplit l’écran d’images inertes dans l’espoir d’occuper la rétine d’un spectateur-consommateur – et, en cela, production certifiée conforme Marvel dont la source créative paraît tarie pour de bon.
Ce film me laisse sans voix. C'est une purge horrible pour quiconque apprécie un minimum le personnage et connait les comics. Déjà que je n'avais pas aimé le premier même si je dois admettre qu'il pouvait se laisser regarder, celui-ci est juste affligeant. En mettant de côté le respect du comics, ce film n'a rien pour lui sauf peut être quelques bons effets spéciaux mais sinon l'histoire est torchée et tronçonnée pour réussir à tenir dans ce timing, je ne vais pas aborder le nombre d'incohérences ahurissant, le jeu d'acteur est loin d'être bon et le pseudo humour tombe à plat à chaque fois. Je crains énormément ce qui risque de suivre avec ce pseudo Vénom ...
C'est quoi ce carnage ... ???!!! Meme un gamin de 10 ans trouverait ça chiant et sans queue ni tête ... Spoilers spoiler: comme s'il suffisait de le mordre pour en devenir un [spoiler][/spoiler ] .. c'est débile et on sent que même les acteurs se demandent ce qu'ils font dans cette galère ...
Malheur m'en a pris d'aller voir Venom : Let There Be Carnage après tout le monde. Tout semble avoir été dit dans la presse ou sur les réseaux. Alors que faire ? Bon, tentons alors de donner une explication à cet inexplicable objet cinématographique. Rappelons-nous le premier Venom. Non, pas le film, ne soyez pas masochistes. Plutôt sa calamiteuse gestion par Sony et Arad Productions, qui a même rejailli lors de la promo avec un Tom Hardy plus désabusé que jamais d'avoir vu l'œuvre tronçonnée sur les bancs du montage. À l'arrivée, un succès commercial certes. Mais le retour de bâtons fut à la hauteur de l'injure faite au personnage, à son univers, à sa tonalité et à ses fans bien entendu. Et si Let There Be Carnage avait été envisagé non pas comme une rédemption mais en tant que punition ultime ? Une théorie bien sûr, loufoque sans aucun doute. Est-elle pour autant inenvisageable ?
Tom Hardy rempile et il l'a eu si mauvaise avec le premier qu'on lui laisse co-signer le scénario. Comment pourrait-il aller plus loin dans l'affront ? Pourtant, c'est ce qu'il fait. Eddie Brock, journaliste ? C'est bien simple, dans ce volet il aurait pu tout aussi bien être charpentier, barman ou ballerine qu'on ne verrait pas la différence. Brock est devenu un loser intégral, tellement idiot et mauvais à sa tâche qu'on se demande comment on peut décemment essayer de le faire passer pour un gratte-papier. Et face caméra ? En 2018, l'absence de crédibilité de l'acteur était pénible. Aujourd'hui, Hardy n'essaie même plus d'y croire lui-même. Sa destination ? Le point de non-retour. Il l'atteint avec brio. Loin de cachetonner avec indifférence, l'interprète met toute son énergie à torpiller le personnage dans un sidérant concours de grimaces et de gesticulations. À moins d'être inconscient ou scatophile, je ne vois aucune autre explication que l'auto-sabotage pour justifier une telle contre-performance. Et le plus beau, c'est que le reste fait ton sur ton. Woody Harrelson et Naomie Harris cabotinent au delà de toute expression. Seule Michelle Williams arrive à faire illusion quand elle sert à quelque chose, donc très rarement.
Andy Serkis remplace Ruben Fleischer à la caméra. Autrement dit le pape de la motion-capture et le réalisateur de Mowgli, autrement plus réussi que le remake fainéant du Livre de la Jungle par Jon Favreau. Une valeur ajoutée pour la technique ? Oh que non. Si le carnage a lieu, c'est aussi parce que Serkis ne fait rien pour l'empêcher. Zéro investissement sur les scènes d'action, zéro tempo comique, zéro envergure, et comment passer outre ce rythme ? Comme le script n'avait visiblement aucun sens à l'écrit, le choix a donc été fait de boucler le film en quatrième (voire cinquième) vitesse. Le miracle opère : au lieu de masquer les très nombreuses aberrations, ce procédé les rend encore plus flagrantes. On se retrouve avec une trame abracadabrante, des transitions sans queue ni tête et des points d'orgue dévastateurs. Comme la séquence d'animation qui sort de n'importe où, en décalage total avec le ton qui se voudrait débridé et sanguinolent (une seule goutte de sang dans tout le film). Ou ce combat entre Brock et son "colocataire" agrémenté d'effets spéciaux ignobles. Puis cette bataille finale, à ranger parmi les plus laides du genre. Tout cela tient pourtant de l'anecdote face au vrai "morceau de bravoure" de Let There Be Carnage, situé dans une boîte de nuit. Un moment qui l'intronise comme le plus bel héritier de Batman & Robin. Contre toute attente, Venom 2 assume une relation crypto-gay entre Brock et le symbiote puisqu'on y fait plusieurs références verbales. C'est à cet instant précis - au milieu de ce cataclysme provoqué - que la production devient un geste sympathique.
On pourra en penser ce que l'on veut, mais on ne pourra pas ôter au long-métrage sa grande cohérence dans le carnage. Rares sont ceux à avoir poussé le bouchon aussi loin, et c'est pour ça qu'on s'en souvient. Comment donc classer cette suite ? Insoutenable, honteuse et stupéfiante ; trop nulle pour être sauvée, trop mauvaise pour être oubliée. Admettons qu'elle fera date pour les films de super-héros. Impossible d'y rester insensible, ce qui la différencie de pas mal de productions équivalentes. On jubilerait presque à voir toute la clique rejoindre les rangs des super-héros depuis longtemps réduits à une formule marketing éculée pour y mettre la pagaille. Et qui sait, en finir avec ces interminables univers qui s'étendent pour mieux se ratatiner ? Au point où on en est, ça ne fera pas beaucoup de mal.
Quelle déception ! Quelle mouche est allée piquer les producteurs de ne pas choisir le précédent réalisateur pour ce nouveau Venom? Pourtant fort de ses deux Zombieland, et du succès du 1er Venom, Ruben Fleischer aurait dû être le candidat le plus pertinent. En effet, la griffe du réalisateur (synthèse d'action explosive, de thriller intense, et d'humour décalé un brin loufoque) collait bien au héros, lui même en proie à ce tiraillement entre la personnalité erratique de son intrus", et de son aspiration à une certaine normalité. La décision des producteurs de choisir le duo Kelly Marcel et Todd McFarlane n'était pas pertinent. Quand bien même les deux cinéastes avaient participé au scénario du 1er Venom, leurs prouesses en tant que réalisateurs ne cassaient pas 3 pattes à un canard. Le moins que l'on puisse dire est qu'ils manquaient tous deux d'expérience. En tout cas ce nouveau Venom est un fiasco. Pour commencer, le scénario est très tarabiscoté, et manque de vraisemblance concernant la naissance et les pouvoirs de la nouvelle création. En outre, le savant dosage (action, suspense, humour) qui avait fait la réussite du 1er opus, n'est non seulement pas respecté, mais en fait, il est totalement chamboulé. Ici, ce n'est pas seulement l'humour qui est loufoque, mais c'est aussi l'action. On n'est plus dans le décalé mais le burlesque, voire même, le grotesque. Si la production ne rappelle pas le Ruben, le clin d'oeil de la fin, évoquant un 3ème opus, n'est rien d'autre que la chronique d'un désastre annoncé.