Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Pascal Pinteau
POUR - Bien maîtrisé et divertissant de bout en bout, ce deuxième épisode est une excellente surprise.
Le Parisien
par Michel Valentin
Grâce à son format court, moins d’une heure quarante, le film maintient un rythme constant, mais peine à s’élever au-dessus de la moyenne. Si Spider-Man est de la prochaine aventure, il faudra que le poison soit un peu plus foudroyant !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Rolling Stone
par K. Austin Collins
De l'humour, du trash et du divertissement sans conséquence... Venom 2 continue sur la lancée de son prédécesseur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce deuxième volet des aventures de Venom fait plus rigoler que frissonner.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Ce second volet dévoile le symptôme d'une industrie qui ne sait plus du tout quoi faire de la fureur et de l'énergie censées alimenter ses histoires. À l'instar du récent Candyman qui recycle une figure amère et sadique en justicier consensuel, ce blockbuster cherche désespérément une cause à laquelle offrir une colère.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La suite des aventures du super-méchant Marvel amorce un virage vers la comédie avec une intrigue délirante, des acteurs en roue libre (mention à Woody Harrelson) et des effets spéciaux boursouflés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le registre, rehaussé d'effets de ventriloquie amusante pour les dialogues, est malgré tout assez vite épuisé.
Mad Movies
par Laurent Duroche
Venom: Let There Be Carnage n'a pour lui qu'une nervosité et une brièveté dans la débilité qui évite l'ennui.
Première
par Sylvestre Picard
Du reste, Venom 2 ne fait aucun effort pour qu'on l'apprécie (...) Sans ambition. Sans queue ni tête. Et c'est dommage, parce que cela gâche les séquences vraiment fun de Venom 2 comme l'évasion de Carnage de prison, ou cette scène de la boîte de nuit où Venom fait un motivational speech complètement absurde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Un film aussi bête et vulgaire que son prédécesseur.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Venom : Let There Be Carnage se traverse comme une hallucination de tous les extrêmes, écrite, filmée et montée comme une gigantesque plaisanterie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
CONTRE - L’impression générale reste celui d’un ratage complet, un film inutile de plus.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Oui, artistiquement, c’est un carnage.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Ce deuxième Venom n’essaie même plus d’être présentable et part en roue libre du début jusqu’à la fin.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Épileptique, bruyant et incohérent, le nouvel opus des aventures du symbiote donne la migraine. Les crocs de Venom sont émoussés et on se demande ce qu'il adviendra de l'univers Marvel chez les studios japonais.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Point
par Philippe Guedj
On sera bien en peine ici de repérer la moindre trace de respect, et rarement un film aura aussi bien porté son titre.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Une suite en tout point identique au premier Venom : mal fichue et sans grand intérêt, mais vouée à cartonner.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Venom symbolise la peur d’être remplacé par un corps étranger, de ne plus être maitre chez soi ; et Venom, le film, résout cette peur par le rire, un rire burlesque et grossier, un rire de buddy movie outrancier qui donne envie d’être partagé, un bref instant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Cela donne un blockbuster assez bêta et bâclé. Et Tom Hardy ? Une caricature de lui-même. On s’inquiète pour lui. Il est temps qu’il nous revienne dans un film plus conséquent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
POUR - Bien maîtrisé et divertissant de bout en bout, ce deuxième épisode est une excellente surprise.
Le Parisien
Grâce à son format court, moins d’une heure quarante, le film maintient un rythme constant, mais peine à s’élever au-dessus de la moyenne. Si Spider-Man est de la prochaine aventure, il faudra que le poison soit un peu plus foudroyant !
Rolling Stone
De l'humour, du trash et du divertissement sans conséquence... Venom 2 continue sur la lancée de son prédécesseur.
20 Minutes
Ce deuxième volet des aventures de Venom fait plus rigoler que frissonner.
Cahiers du Cinéma
Ce second volet dévoile le symptôme d'une industrie qui ne sait plus du tout quoi faire de la fureur et de l'énergie censées alimenter ses histoires. À l'instar du récent Candyman qui recycle une figure amère et sadique en justicier consensuel, ce blockbuster cherche désespérément une cause à laquelle offrir une colère.
Le Journal du Dimanche
La suite des aventures du super-méchant Marvel amorce un virage vers la comédie avec une intrigue délirante, des acteurs en roue libre (mention à Woody Harrelson) et des effets spéciaux boursouflés.
Le Monde
Le registre, rehaussé d'effets de ventriloquie amusante pour les dialogues, est malgré tout assez vite épuisé.
Mad Movies
Venom: Let There Be Carnage n'a pour lui qu'une nervosité et une brièveté dans la débilité qui évite l'ennui.
Première
Du reste, Venom 2 ne fait aucun effort pour qu'on l'apprécie (...) Sans ambition. Sans queue ni tête. Et c'est dommage, parce que cela gâche les séquences vraiment fun de Venom 2 comme l'évasion de Carnage de prison, ou cette scène de la boîte de nuit où Venom fait un motivational speech complètement absurde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film aussi bête et vulgaire que son prédécesseur.
Ecran Large
Venom : Let There Be Carnage se traverse comme une hallucination de tous les extrêmes, écrite, filmée et montée comme une gigantesque plaisanterie.
L'Ecran Fantastique
CONTRE - L’impression générale reste celui d’un ratage complet, un film inutile de plus.
La Voix du Nord
Oui, artistiquement, c’est un carnage.
Le Dauphiné Libéré
Ce deuxième Venom n’essaie même plus d’être présentable et part en roue libre du début jusqu’à la fin.
Le Journal du Geek
Épileptique, bruyant et incohérent, le nouvel opus des aventures du symbiote donne la migraine. Les crocs de Venom sont émoussés et on se demande ce qu'il adviendra de l'univers Marvel chez les studios japonais.
Le Point
On sera bien en peine ici de repérer la moindre trace de respect, et rarement un film aura aussi bien porté son titre.
Les Fiches du Cinéma
Une suite en tout point identique au premier Venom : mal fichue et sans grand intérêt, mais vouée à cartonner.
Les Inrockuptibles
Venom symbolise la peur d’être remplacé par un corps étranger, de ne plus être maitre chez soi ; et Venom, le film, résout cette peur par le rire, un rire burlesque et grossier, un rire de buddy movie outrancier qui donne envie d’être partagé, un bref instant.
Télérama
Cela donne un blockbuster assez bêta et bâclé. Et Tom Hardy ? Une caricature de lui-même. On s’inquiète pour lui. Il est temps qu’il nous revienne dans un film plus conséquent.